Ysabelle Lacamp Fils – La nouvelle du décès d’Ysabelle Lacamp, comédienne et auteure, a laissé le monde de l’édition en deuil. Ysabelle Lacamp, romancière et actrice française qui a partagé la vedette avec Alain Delon, est décédée mardi d’un cancer à l’âge de 68 ans, a annoncé son éditeur.
Dans un communiqué relayé par l’AFP, la maison d’édition Editions Bruno Doucey l’a saluée comme une “femme lumineuse” et “auteur de nombreux romans à succès”, dont le roman Le Baiser du dragon (1986) et L’Éléphant bleu (1990). Ysabelle Lacamp, dont les parents sont français et coréens, a joué dans de nombreux films et émissions de télévision. Elle est surtout connue pour ses rôles aux côtés de Jean-Paul Belmondo dans Le Marginal (1983) et aux côtés d’Alain Delon dans un épisode de la série Fabio Montale (2002). Elle abandonne Helmut et son fils Caspar.
Ce bel hommage a été publié dans son intégralité sur le site Actualitté. Fille de l’écrivain et journaliste Max-Olivier Lacamp et d’une mère coréenne, « Ysabelle a hérité dans ces doubles racines d’un art du métissage et de la résistance », comme on peut le dire. Elle a d’abord travaillé comme comédienne avant d’étudier le chinois et le coréen à l’Université de Londres et à l’Institut d’études orientales de Paris. Ses premiers employeurs sont Claude Berri, Jacques Deray et Tony Garlif.
La plume d’Ysabelle Lacamp finira par l’emporter, et elle deviendra l’auteur de nombreux romans comme “Une jeune fille bien faite” (Albin Michel, 1991), “L’Homme sans fusil” (Seuil, 2002), et “La Joggeuse de Nuages” (Flammarion, 2008). Elle a rencontré Bruno Doucey et Murielle Szac en 2011, et leur amitié ultérieure les a amenés à rejoindre la rédaction collective du livre Ceux qui ont dit non (Actes Sud Jeunesse).
Bruno Doucey, collection Sur le fil, 2018), Robert Desnos ressuscite dans une rencontre bouleversante avec l’enfant juif survivant du ghetto de Terezin. Un livre plutôt intense , un peu comme elle-même. La déclaration poursuit en disant: “Elle croyait avant tout au triomphe de la beauté, de l’humanité et de l’écriture sur la laideur et la cruauté de la vie.”
Ysabelle Lacamp, romancière et comédienne qui a travaillé avec Alain Delon, est décédée à l’âge de 68 ans des suites d’un cancer, a annoncé mardi son éditeur, les éditions Bruno Doucey.Dans un communiqué, les éditions Bruno Doucey l’ont saluée comme une “femme lumineuse” et “auteur de nombreux romans à succès”, dont “Le Baiser du dragon”, publié en 1986, et “L’Éléphant bleu”, publié en 1990. Son roman de 2018 “Ombre parmi les ombres” était un récit fictif de la mort de Robert Desnos au camp de concentration nazi de Theresienstadt le 8 juin 1945.
Ysabelle Lacamp, dont les parents sont français et coréens, a joué dans de nombreux films et émissions de télévision. Elle est surtout connue pour ses rôles aux côtés de Jean-Paul Belmondo dans Le Marginal (1983) et aux côtés d’Alain Delon dans un épisode de la série Fabio Montale (2002).
Elle a fait sa marque dans le monde littéraire avec des romans comme “The Dragon Whisperer” et “The Blue Elephant”, mais elle a également fait des vagues dans le monde du théâtre avec des rôles mémorables aux côtés de légendes comme Jean-Paul Belmondo et Alain Delon. Ysabelle Lacamp, actrice et romancière française, est décédée à l’âge de 68 ans des suites d’un cancer.
La triste nouvelle a été annoncée en ce jour de 2023, le 27 juin, par son éditeur Bruno Doucey, comme le rapporte l’agence de presse française AFP : la romancière française Ysabelle Lacamp était décédée à l’âge de 68 ans. L’artiste, dont l’éditeur l’appelait une “femme luminaire” et “auteur de romans à succès”, est décédée après une bataille de trois ans contre le cancer.
L’auteur Ysabelle Lacamp était la fille de l’écrivain et journaliste Max-Olivier Lacamp et d’une femme d’origine coréenne. Son œuvre la plus récente, Ombre parmi les ombres de 2018, était consacrée aux derniers jours de Robert Desnos en tant que poète et résistant.Un écrivain et actrice qui avait initialement choisi Alain Delon dans le rôle
Diplômée de l’Institut des langues orientales de Paris avec une licence de chinois et de coréen, l’artiste ne s’installe pas dans une vie romanesque. Ysabelle Lacamp a également travaillé comme actrice de cinéma et de télévision. Elle a collaboré avec deux acteurs majeurs du septième art :
Alain Delon dans un épisode de la série télévisée française de 2002 Fabio Montale basé sur le travail de Jean-Claude Izzo et Jean-Paul Belmondo dans le film de 1983 Le Marginal. Roger Hanin a réalisé la comédie dans Train d’enfer en 1984 et Claude Berri a réalisé le long métrage Je vous aime en 1980. En 1991, on la voit pour la dernière fois au grand écran dans La Tribu d’Yves Boisset. Elle a joué des petits rôles dans des épisodes des feuilletons policiers “Les Enquêtes du commissaire Maigret” et “Les Cinq dernières minutes”, tous deux diffusés sur petit écran.
Une mère et son mari
L’éditeur Ysabelle Lacamp a déploré une femme au “sourire aussi généreux que son cur, aux enthousiasmes et à l’affection jaillissante pour les autres”, comme l’indique un communiqué publié en son honneur. Une artiste qui a élu domicile dans les Cévennes, entre les communes de Monoblet et de Saint-Roman-de-Codières, et qui a aussi joué les rôles de mère et d’épouse. Un soutien est adressé au mari d’Ysabelle Lacamp, Helmut, et à leur fils, Caspar, et aux autres membres de la famille dans un communiqué relayé dans son intégralité sur le site ActuaLitté.
La nouvelle de son décès a été rendue publique mardi par son éditeur, Bruno Doucey, qui l’a saluée comme une “femme lumineuse” et “l’auteur de nombreux romans à succès”, comme le premier de 1986, Le Baiser du dragon, et le 1990 suite, L’Éléphant bleu.Ysabelle Lacamp a eu une carrière d’actrice réussie grâce à son père français et sa mère coréenne. En 1983, “Le Marginal”, elle partage la vedette avec Jean-Paul Belmondo.
Son âge était de 68 ans. Le 26 juin, à Paris, Ysabelle Lacamp est décédée. Une tumeur maligne qu’elle combattait depuis près de trois ans l’a finalement rattrapée. L’un des plus beaux sourires de la république littéraire est de partir avec ce grand romantique. Un sourire qui ne s’est jamais estompé, quelles que soient les circonstances.
Un de ses derniers livres, Ombre parmi les ombres (éditions Bruno Doucey), fait allusion à un personnage marquant de la poésie française du nom de Robert Desnos et porte le titre ironique du même nom. L’état d’esprit avec lequel elle a abordé ce projet était très similaire au sien.
Lorsque le camp de concentration de Terezin est libéré en mai 1945, Léo Radek est le seul enfant encore en vie. Après une longue marche, le poète Robert Desnos échoue lamentablement dans ce camp. Tout a changé après avoir rencontré ce gamin. C’était l’histoire qu’elle tenait le plus à cœur et qu’elle avait hâte de partager.
Voici les éditions françaises La triste nouvelle a été annoncée par Bruno Doucey, sa dernière maison d’édition, qu’il a cofondée avec Murielle Szac. Doucey a dit d’elle : « Quand Ysabelle Lacamp écrit, c’est une vibration des astres qui la parachève, la transcende et la brûle », à de multiples reprises, dont la sortie de son livre Ombre parmi les ombres et la parution de George Sand. : pas aux préjugés (in Actes sud Jeunesse).
Lorsque la grippe prend le dessus sur elle, elle organise une fête avec des mots, laisse ses personnages rêver en grand et nous emmène faire un tour. C’est pourquoi la rencontre avec Robert Desnos, le “poète volcanique” qui a fait danser les gens avec les mots et les morts jusqu’à son dernier souffle, était une “preuve de vie”.
Née à Neuilly-sur-Seine d’un père français et d’une mère coréenne, elle a d’abord eu une belle carrière au cinéma. Elle a travaillé avec des réalisateurs français de renom comme Yves Boisset, Claude Berri, Francis Perrin, Jacques Deray, Tony Gatlif et Roger Hanin, et son “jeu tout en finesse” et sa “beauté eurasienne” ont conquis le public. La musique a également été influencée par elle.
Sa carrière littéraire débute par une succession d’énormes best-sellers, dont une douzaine de livres publiés par Lattès (dont “Le Baiser du dragon”) et Albin Michel (dont “La Fille du ciel” et “L’Eléphant bleu”) à la fin de les années 1980 et le début des années 1990. Après cela, elle a voulu écrire plus comme elle-même, bien que ces livres aient eu moins de succès commercial.
On pense à “L’Homme sans fusil” (Seuil, 2002) ou “L’Homme qui avalait les nuages” (Flammarion, 2008). Elle n’a jamais ressenti de ressentiment face à l’accueil qu’elle a reçu et a plutôt canalisé son enthousiasme vers l’organisation de festivals littéraires. Parce qu’elle faisait vivre un grand poète, elle était ravie de pouvoir discuter d’Ombre dans l’ombre. Son éditeur, Bruno Doucey, remarquait : « Dans ce camp de Terezin [Desnos est morte dans ce camp de concentration en Tchécoslovaquie] où elle nous enseigne, l’émotion est toujours épanouie de rire.