Taille Christiane Taubira -L’actuelle garde des Sceaux et ministre de la Justice, Christiane Taubira, a été nommée à ce poste le 16 mai 2012, après avoir servi dans les administrations de Jean-Marc Ayrault .C’est une femme politique française.
L’homme politique française Christiane Taubira est née le 2 février 1952 à Cayenne, en Guyane.
Elle a été l’une des premières défenseures de l’indépendance du Guyana et a contribué à la fondation du parti politique Walwari en 1992. Elle s’est battue pour la reconnaissance de la traite des êtres humains et de l’esclavage comme crimes contre l’humanité alors qu’elle était députée du Guyana de 1993 à 2012. Parallèlement, elle a été membre du Parlement européen de 1994 à 1999.
Elle s’est présentée à la présidence en 2002 en tant que candidate du Parti radical de gauche (PRG), mais elle n’a obtenu que 2,32 pour cent des voix au premier tour, la plaçant ainsi au douzième rang.Elle a été ministre de la Justice au sein des administrations de Jean-Marc Ayrault I et II,
Manuel Valls I et II et François Hollande de 2012 à 2016, et est aujourd’hui garde des Sceaux. Dans son rôle, elle plaide en faveur d’une mesure au Parlement qui légaliserait le mariage et l’adoption entre personnes de même sexe.
Elle a démissionné en janvier 2016 en raison de son désaccord avec la proposition visant à priver les terroristes condamnés de leur nationalité française.Elle a reçu 500 signatures des élus mais s’est retirée deux jours avant la date limite des parrainages. Elle ne s’est donc pas présentée à la présidentielle en 2022 malgré sa victoire à la primaire populaire.
Personnalité politique Christiane Taubira est née à Cayenne, en Guyane, le 2 février 1952.
Elle a fait ses débuts en politique en tant que combattante pour l’indépendance et a ensuite contribué à la fondation du parti guyanais Walwari. De 1993 à 2012, elle a été députée représentant le premier siège du Guyana. Elle a joué un rôle déterminant dans l’adoption d’une législation qui a commencé à qualifier l’esclavage et la traite de crimes contre l’humanité.
Elle s’est présentée à la présidence en 2002 en tant que candidate du Parti radical de gauche (PRG), mais elle n’a obtenu que 2,32 pour cent des voix au premier tour, la plaçant ainsi au douzième rang.Entre les administrations de Jean-Marc Ayrault I et II et de Manuel Valls I et II, elle a été garde des Sceaux et ministre de la Justice du 16 mai 2012 au 27 janvier 2016.
Elle défend la mesure qui la légaliserait. -le mariage sexuel au Parlement dans ce rôle.Ses parents étaient divorcés. La mère de Christiane, Bertille, était une gardienne décédée à l’âge de 49 ans. Bertille a eu seule onze enfants, dont cinq ont été engendrés par le père de Christiane, Georges, épicier à Cayenne.
Georges avait abandonné ses enfants. Elle et Roland Delannon, leader indépendantiste, qu’elle a rencontré à la fin des années 1970, sont nés Lamine (né en 1979), Nolywé (né en 1981), Diawara (né en 1986) et Djamila (née en 1988). Ils se sont mariés en 1987.
Après que Roland Delannon ait utilisé la liste de son épouse pour constituer une liste dissidente pour les élections régionales de 1998, le couple s’est séparé en 2002 lors d’une crise politique.Le retrait du PRG de la présidentielle est un énorme revers pour Christiane Taubira.
La candidature de Christiane Taubira a été “retirée”, selon le chef du Parti radical de gauche (PRG), Guillaume Lacroix, qui en a fait l’annonce lundi 14 février. Le soutien de Taubira est stable autour de 3% dans les sondages. Le parrainage des élus de cette formation n’est plus encouragé.
La candidature de l’ancien ministre de la Justice est remise en question depuis sa désignation par la « Primaire populaire », fin janvier. Le “retrait” du Parti radical de gauche de la campagne de Christiane Taubira, officiellement annoncé le 14 février par son président Guillaume Lacroix, met de l’huile sur le feu.
A la suite d’une conférence de presse au cours de laquelle un journaliste l’a réintroduit, le chef de ce petit parti a pris la parole. La déclaration selon laquelle “le PRG se retire” de la campagne de l’ancien garde des Sceaux a été rendue publique par Guillaume Lacroix et elle a une portée symbolique importante.
Il avait précisé il y a quelques minutes seulement que les élus du PRG étaient “libres de parrainer comme ils le souhaitent” et “sans aucune pression”. Christiane Taubira, qui n’est plus membre du parti, n’est plus incitée à solliciter leur soutien financier.
“Le mandat du PRG reposait sur une stratégie de rassemblement de gauche sur laquelle il faut agir aujourd’hui et que Christiane Taubira n’a pas réussi à réaliser”, écrit Guillaume Lacroix dans une lettre à ses militants, expliquant que cette tournure des événements était nécessaire. parce que Taubira n’avait pas réussi à rallier d’autres candidats derrière elle.
Mentorats importants
Une série de tweets de Christiane Taubira a décrit en réponse « une péripétie au moment crucial pour le pays ».”Ne perdons pas de vue “celles et ceux qui ont tant besoin de justice et d’espoir, et que les brinquebalements à gauche plongent dans le découragement”; “ils ont leurs limites, leur agenda n’est pas le mien”, a-t-elle insisté.
Pour le candidat, le défi reste de taille. Il existe peut-être un vivier au sein du réseau de plus de 300 élus du PRG, puisque le PRG est responsable de 35 des 47 parrainages approuvés jusqu’à présent par le Conseil constitutionnel.
Obtenir 500 signatures dans une gauche divisée allait être un défi. Maintenant, c’est un accomplissement.Léanie Buaillon, représentante du “Collectif Taubira pour 2022”, a répondu à l’AFP : “Nous allons chercher des sponsors, mais c’est un peu court (sic)”.
Cliquez ici pour lire : Les “petits” candidats face à une course folle aux parrainages
“Nous allons appeler les maires de France à ne pas laisser Christiane Taubira sans possibilité d’être candidate le 4 mars”, a réclamé Christian Paul, proche de la candidate et ancien député socialiste. Le 4 mars est également la date limite pour la collecte des graines.
“C’est de l’impeachment (entrave, NDLR), les socialistes sont entraînés dans le précipice par une candidate qui ferait mieux de défendre son programme”, a dénoncé M. Paul, l’ancien insoumis, qui estime que le candidat socialiste du PRG , Anne Hidalgo, est à l’origine de ce coup dévastateur.
Déceptions après déceptions
Patrick Kanner, chef des sénateurs socialistes et proche collaborateur de la maire de Paris Anne Hidalgo, a démenti auprès de l’AFP être impliqué dans une quelconque manœuvre depuis les Antilles.Dans les prochains jours, le « Collectif Taubira » organisera une manifestation devant le Conseil Constitutionnel afin de l’interpeller sur ce prétendu blocage du parrainage.
“Pas de parti, pas de financement, pas de sponsoring : c’est un virage prévisible à gauche dans la campagne”, a déclaré Patrick Kanner en haussant les épaules. Aller encore très loin est difficile.Plusieurs choses ont mal tourné dans la campagne de Christiane Taubira.
Pour commencer, ses adversaires de gauche se sont moqués de sa candidature à la Primaire populaire, manifestation à laquelle ils s’étaient initialement opposés. De plus, les enquêtes qui auraient pu générer un sentiment d’unité ne se sont pas concrétisées.
Pendant ce temps, les partisans de Christiane Taubira ne comprenaient pas pourquoi Anne Hidalgo continuerait à se présenter aux élections “quand elle est à 1,5%, le choix de son.Début février, Christiane Taubira s’est ridiculisée devant la fondation Abbé Pierre, ce qui n’a fait qu’accroître le sentiment d’impréparation des rivaux.
Pouvons-nous voir le bout du chemin ici ? “Nous ne sommes pas sûrs d’être sur la ligne de départ le 4 mars”, admet une source proche de Christiane Taubira.Un ancien ministre revient sur son passage aux côtés de Christiane Taubira, dimanche 23 janvier 2022. Lors de la campagne présidentielle de 2022, il n’a clairement pas valorisé les efforts du candidat.
A gauche comme à droite, la campagne présidentielle est officiellement lancée. Les dimanches 10 et 24 avril 2022, les Français auront la possibilité de voter pour les candidats de leur choix. Ce groupe comprend Christiane Taubira, qui a été ministre de la Justice sous François Hollande et son successeur.
Nous n’oublierons jamais sa lutte pour légiférer sur l’égalité conjugale. Il semble garder de très bons souvenirs de son mandat à la tête de l’État. Elle est désormais officiellement candidate à la présidence, et elle a parfaitement le droit de le faire.
La candidature à l’Elysée de Christiane Taubira a été déclarée. Depuis, l’ex-ministre a essuyé de nombreuses critiques, notamment de la part de personnes qui n’ont eu que des éloges à l’égard de Christiane Taubira tout au long de son mandat.
Le dimanche 23 janvier 2022, un ancien ministre déchire son ancien collègue dans Le Parisien. L’ancien ministre socialiste désormais du côté d’Anne d’Hidalgo rappelle que “c’était brutal” lorsque lui et ses acolytes étaient place Vendôme.
Il a agi de manière impolie. C’était une penseuse accomplie qui évitait le travail physique autant que possible. Sur son bureau, il y avait une pile croissante de paraphes attendant une signature. Il affirme qu’il ignorait totalement les détails techniques des dossiers.
Celui qui est « intolérant »
François Hollande, quant à lui, se montre subtil sur son ancien collaborateur très caractéristique : il disait dans son livre d’octobre Affronter (Ed. Stock) que « sa méthode de travail a souvent déconcerté son entourage, active la nuit plus que le jour, allergique à tout contraire administratif, intolérante face à toute lenteur de procédure.
” Emmanuel Macron est l’actuel président de la France. Un candidat qui ne pouvait pas convaincre tout le monde.L’épisode de “Nice-Matin” du 10 janvier présentait une interview de Michèle Cotta. Selon le journaliste et écrivain niçois qui a étudié toute la présidence.
En prétendantes, Christiane Taubira n’est pas une adversaire redoutable.
Elle a été assez directe. Lundi 10 janvier, la journaliste, chroniqueuse et écrivaine française Michèle Cotta s’est entretenue avec le journal Nice-Matin. En avril 2022, cette politologue française, qui a couvert toutes les élections présidentielles de la Ve République, livre son avis sur la majorité des candidats à l’Élysée. Il s’agit de Christiane Taubira.
Elle pourrait devenir candidate si elle remporte la première place à la Primaire populaire de janvier, même si elle n’est pas encore officiellement inscrite à la course. Mais Michèle Cotta pense qu’elle ne sera pas une adversaire redoutable. Loin d’être sympathique à l’ex-ministre de François Hollande, le journaliste de 84 ans a déclaré.
“Elle ne sera qu’une candidate de plus, quoi qu’elle dise”. Elle affirme qu’elle n’a « aucun espace politique » du tout.Christiane Taubira a annoncé le 17 décembre qu’elle n’avait jusque-là “envisagé” de se présenter à la présidentielle.
La députée de 69 ans a cependant déclaré son intention d’entrer à la Primaire populaire dimanche 9 janvier, alors qu’elle était en déplacement à Bondy, en Seine-Saint-Denis. Une campagne citoyenne, soutenue par 300 000 militants, est prévue du 27 au 30 janvier pour désigner un candidat commun de gauche.
Ils ont vérifié leur inscription sur les listes électorales à l’aide d’un numéro de téléphone portable et d’un numéro de carte bancaire française au 10 janvier 110 000 pour être exact.De l’issue dépendra la décision de l’ancien ministre de la Justice de se présenter à la présidentielle en avril. La plus belle légitimité, a assuré Christiane Taubira, c’est celle-là.
C’est sa « dernière opportunité » de s’unir à la gauche, comme elle l’a dit. Lorsqu’on lui demande si d’autres prétendants de gauche à l’Élysée devraient emboîter le pas, l’ancien député guyanais a répondu. Toutefois, Jean-Luc Mélenchon et Yannick Jadot ont réaffirmé leur refus d’y participer.