
Claude Sarraute Jeune – Personne ne peut prétendre qu’il n’a jamais été surpris par les lignes de ramassage sordides de ce faux idiot. Mais aucun journaliste ne peut nier à quel point il est difficile de trouver une bonne idée qui réussisse aussi à être drôle tous les jours pour un texte qui doit être rendu au plus tard à 21h30. Traverser la rue Claude Sarraute en direction de l’historique World Building signifiait rencontrer une tornade blonde tous les matins alors que la plupart des gens dormaient encore.
Elle a commencé sa journée en prenant le métro jusqu’à Pont-Marie, qui était proche de l’île Saint-Louis où elle et Revel vivaient. De là, elle est descendue à la Chaussée-d’Antin, où elle a pris son cachet quotidien de corydrane, un stimulant à base d’aspirine et d’amphétamines.
Le 11 juillet 1992, elle écrit sa dernière entrée “Sur le vif”, “A bientôt”, qui commence par “Je m’en vais, là, les enfants”. Je vais demain. Et une fois les vacances terminées, vous ne pourrez plus me trouver à mon endroit habituel : le coin supérieur droit du journal. Nous y mettons un frein.
Ce n’est pas que j’ai quelque chose contre le fait de fumer de l’herbe; au contraire, j’aime passer du temps avec toi. Mais j’ai l’impression de tourner en rond dans ma petite cage. Je veux vraiment un nouveau départ. Pas du tout idiot. Extrêmement long. » Contrairement à « Sur le vif », son nouveau dossier « Quelle histoire ! » n’est pas devenu un incontournable de la publication. Sans l’autorisation écrite expresse de World, il est illégal de reproduire toute section d’un article. Veuillez consulter nos conditions de vente pour plus de détails.
Claude Sarraute écrivait des livres sur la plage pour pouvoir “changer de longueur, pas de ton”, comme elle le disait en plaisantant. Cinq ans, alors parlez-en ! De (JC Lattès, 1985) à (Flammarion, 2017) en passant par le très réussi (Flammarion, 1987) Coco, la liste est longue. Elle a utilisé son charisme et sa facilité d’expression pour animer des émissions de radio humoristiques de son vivant et après avoir quitté la planète.
De 1985 à 1995, j’ai écouté “Gross Heads” de Philippe Bouvard. Puis en 2014, Ruquier ramène ses interprétations de “Les Grosses Têtes”, “Rien à cirer” et “On va s’gêner”. Parfois, elle devait s’absenter du travail en raison de problèmes de santé, et à son retour, elle se plaignait de la façon dont la “vieillesse” avait tout gâché.
La carrière de Claude Sarraute s’est étendue au-delà du journalisme et du commentaire; elle a été une figure marquante de l’émission Les grosses têtes de RTL pendant de nombreuses années. On l’a entendue sur Rien à cirer sur France Inter et On va s’gêner sur Europe 1, toutes deux aux côtés de Laurent Ruquier, des années 2000 à 2014.
Ecrivain et journaliste, Claude Sarraute est la fille de l’auteur “Enfance” et auteur de renom Nathalie Sarraute. Claude Sarraute, née à Paris en 1927, étudie le droit, puis la littérature, et enfin l’anglais, avant de s’essayer à la comédie en 1949. Mieux artiste des mots que de la peinture, elle intègre les équipes du “Sunday Express” et ” Monde” en tant qu’écrivain. Claude Sarraute a travaillé pendant de nombreuses années pour le prestigieux journal français Le Monde, d’abord comme rédacteur en chef de la rubrique “Spectacles” puis comme chef du département “Télévision”.
Philippe Bouvard l’invite à participer aux « Grosses têtes », mais elle décide plutôt de rejoindre l’équipe des chroniqueurs de Laurent Ruquier. C’était en 1995. Elle regarde alors “On a tout essayé” sur France 2 après avoir regardé “On a tout essayé” sur Europe 1.
Elle a su allier le sérieux du Monde à la fantaisie des Grosses Têtes tout en restant une femme libre et une journaliste indépendante. Tout l’amusait et piquait sa curiosité. Elle a été une journaliste dévouée jusqu’à la fin, documentant sa propre mort. Laurent Ruquier l’a saluée comme une “véritable journaliste jusqu’au bout” dans un communiqué transmis à l’AFP.
Une plume acérée, une voix sans retenue et un bon sens sans égal. Claude Sarraute fait partie de la communauté française depuis plus de 60 ans, en tant qu’écrivain, critique et chroniqueur. Son esprit vibrant et sa subtile irrévérence nous manqueront”, a tweeté la ministre de la Culture Rima Abdul Malak. Claude Sarraute est né le 24 juillet 1927 à Paris de la célèbre écrivaine Nathalie Sarraute et de l’avocat Raymond Sarraute.
Elle avait déjà été mariée deux fois avant d’épouser Jean-François Revel, philosophe, écrivain, journaliste et universitaire avec qui elle a vécu près de 40 ans jusqu’à sa mort en 2006. Le Monde rapporte qu’avant d’être enterrée à côté de son mari au Cimetière du Montparnasse, elle fit graver son nom sur la pierre tombale. Auteure de plusieurs romans qu’elle a cruellement qualifiés de “clowneries” (dont “Allô, Lolotte, c’est Coco”, “Ah ! l
Contre “l’ancien racisme”
De 1952 à 1992, elle travaille comme journaliste au journal Le Monde, principalement dans les rubriques « Spectacles » et « Télévision ». En 1983, elle publie la chronique quotidienne irrévérencieuse “Sur le vif”, qui devient un immense succès. Le quotidien mardi dans la nécrologie de l’autrice rapporte que son « célèbre billet, qu’elle voulait d’une +pipelette+ », dans lequel elle parlait librement de sa « Mimi » (François Mitterrand) et de « Jacquot » (Jacques Chirac ), qui n’appréciait pas toujours ses propositions, “détonnait” dans un journal fier de sa réputation de mystique.
Martin Tzara, son fils, en a fait l’annonce à l’AFP le 20 juin 2023. Claude Sarraute, journaliste et romancier, est décédé à l’âge de 95 ans. Né le 24 juillet 1927 à Paris de Raymond Sarraute, éminent avocat, et Nathalie Sarraute, membre du cercle littéraire du Nouveau Roman, le jeune Claude a commencé sa formation par des cours à la Faculté des Lettres et de Droit avant d’obtenir sa licence d’anglais. À 22 ans, elle décide de poursuivre une carrière dans la comédie mais y renonce après seulement trois ans.
Elle dira plus tard de sa carrière insaisissable : « J’étais une meilleure comédienne en ville que sur scène. Claude Sarraute se recentre sur le journalisme, travaillant d’abord avec des publications étrangères dont le bureau parisien du Sunday Express. Ensemble, ils font partie intégrante de la rédaction du quotidien Le Monde, où elle s’est fait connaître en une décennie, notamment par son travail à la rubrique « Spectacles ».
En 2017, elle revient sur cette expérience fructueuse dans la même publication. Comme j’avais déjà fait du théâtre et que je me considérais comme un comique, j’ai été chargé des programmes de théâtre et de cinéma. Puis j’ai eu une « promotion », et on m’a permis d’écrire des lignes concises comme « Reprise au théâtre Truc de la pièce Machin ». Ensuite, on m’a donné la permission de créer des titres. Chaque jour, je visitais la Comédie-Française et l’Opéra pour savoir qui avait été promu aux grades supérieurs et qui endossait les rôles de divers personnages lyriques. En tant que tel, c’était un must. (…)
En 1985, elle publie son premier roman, Dites donc !, et en 1987, elle fait ses débuts à la télévision dans L’Heure de Vérité, dans lequel elle interviewe Georges Marchais. Le grand public l’a redécouverte après qu’elle ait rejoint “la bande à Ruquier” en 1995. Tout au long de sa carrière, d’On a Tout Essayer aux Grosses Têtes en passant par On va s’gêner, Claude Sarraute a distillé sa perspicacité et son humour avec beaucoup de subtilité et d’élégance. , ouvrant souvent un terrain inattendu dans le processus. Elle a toujours été ouverte sur ses sentiments pour le gewurtzraminer, en buvant un verre tous les soirs avec ses amis.
Claude Sarraute est né le 24 juillet 1927 dans le Paris authentique. Elle a étudié à la prestigieuse Ecole Alsacienne (inspirée par l’humaniste strasbourgeois Jean Sturm) dans sa jeunesse avant de poursuivre une carrière de journaliste au Monde et dans d’autres publications.
Elle s’est éteinte à son domicile parisien entre dimanche soir et lundi matin. Elle a été exposée par les « Grosses têtes » de Philippe Bouvard, bien qu’elle soit bien connue du grand public pour ses apparitions dans de nombreuses émissions de Laurent Ruquier. Elle a passé une partie importante de sa carrière en tant que journaliste couvrant la culture et les médias du monde entier. La lettre “Sur le vif” était également signée par elle.
Bien qu’elle soit la fille de la célèbre romancière Nathalie Sarraute, Claude a su se faire un nom dans le monde du journalisme. Elle excelle à jouer les fausses ingénues car elle est capable de créer un vrai personnage à la fois léger et naïf. Elle a compris l’art subtil de la tromperie verbale, du mot qui fait mouche à l’œil qui pétille.
Ce mardi matin dernier, Laurent Ruquier lui a rendu hommage. Je vivais encore en France dans les années 90 quand j’ai rencontré une femme très étonnante. Le journaliste de RTL se souvient : « Tout de suite, je lui ai dit : il faut que tu nous rejoignes. “Elle m’a répondu. Et ça fait 30 ans que ça dure.
