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Affaire Michele Moriame
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Affaire Michele Moriame – Certains voisins de la personne disparue diront avoir entendu des crises lors de leur interrogatoire. Henri Pacchioni est mis en garde visuelle le 19 octobre 1989. Il a tout avoué. C’est juste un événement bizarre pour lui.

En effet, il raconte aux enquêteurs qu’il a frappé sa femme inconsciente, la faisant tomber au sol et se cogner la tête contre la hauteur du lit. Dans les Bouches-du-Rhône, l’homme explique pourquoi il a jeté sa femme décédée dans le canal de Marignane. Personne ne reverra plus jamais la photo de la victime. Alors qu’il se trouve dans les bars, il envisage de tenter de mettre fin à ses jours.

Pacchioni a de nouveau été accusé de meurtre lors de la disparition de son compagnon en 1989. Depuis son téléphone portable, il envoie une lettre à son fils issu d’une précédente relation. Une grammaire aléatoire, mais un message sérieux : « Si tu le veux, tu peux admettre que tu as passé la nuit avec elle en disant « j’étais avec elle » ou « j’ai couché avec elle ».

Je le savais, mais j’étais trop gêné. Je dois l’admettre. Ils ne savent pas où est la vérité maintenant parce qu’il n’y a plus de preuves, mais on peut supposer que les flics vont inévitablement t’engloutir néanmoins. Fils, aide-moi chaque mois… ne me laisse pas devenir crevassé là-dedans. Si vous m’aidez, je vous promets de toucher beaucoup d’argent si vous voulez que ce soit pour nous deux.

Aucune réponse du fils car la police a confisqué la lettre. Pour alimenter le feu, papa continue de remuer la marmite. Devant les juges des Bouches-du-Rhône, il a plaidé son innocence des accusations de meurtre volontaire. Mais en janvier, il déclare à la police : « Un soir, d’un geste de colère, je me suis étranglée ».

Pour l’instant, il nie avoir jamais fait une telle affirmation. Et il soutient pleinement l’idée ridicule selon laquelle son fils a couché avec Michele. Où vas-tu, incohérences ? Soupe aux paccheri. “Je sais très bien que les dés sont contre moi dans cette affaire. Puis il a dit au jury : “Condamnez-moi”.

Ils l’ont rendu aujourd’hui, lui infligeant une peine pénale de deux décennies au lieu des vingt demandées par le procureur général Etienne Ceccaldi. Il y avait un corps dans l’étang. Et Henri Pacchioni s’est remis à résoudre des mystères. Car malgré cette condamnation, personne ne sait ce qui est arrivé à Michèle Moriamé, 32 ans, le 1er avril 1989.

Henri Pacchioni, son ancien compagnon, avoue devant le juge d’instruction neuf mois plus tard que lui et Henri se sont disputés cette nuit-là. Selon lui, Michèle n’est plus en vie car sa tête a heurté le plafond du lit. L’homme paniqué a jeté le cadavre dans un étang. Le corps n’a jamais été retrouvé. Par contre, en plein premier procès d’Henri, en juin 1991, un autre corps est découvert non loin du domicile de Michèle. Nous concluons à tort qu’il pourrait s’agir d’elle et lui renvoyons le dossier.

Trois mois plus tard, Pacchioni s’échappe du centre de rééducation où il a été emmené après avoir tenté de se suicider en s’immolant à plusieurs reprises. Au début de sa quête, il retrouve sa fille avec Michèle, source de leurs désaccords. À 7 ans, Emilie est déjà gravement psychotique et limite autiste. Pacchioni ne veut pas être endormi ni recevoir de tranquillisants. Il compte la guérir avec son affection. Il galope avec elle.

Emilie et lui s’appellent Perez et ils envisagent de vivre la vie ensemble. D’abord à Sardaigne, où Henri passe quelques mois à la recherche de crabes. Enfin, au Brésil, où Pacchioni achète des émeraudes pour les revendre aux « courtisans » européens, nous nous trouvons. Il affirme avoir gagné une somme d’argent importante, qu’il a déposée sur un compte bancaire suisse sous son vrai nom.

Mais il est contraint de se cacher à Rio après une embrouille sur des émeraudes impayées. Après avoir été retrouvé par ses créanciers, il est contraint de rentrer en France pour s’installer. Sa fausse carte d’identité a cependant été volée. Il visite l’ambassade de France, où de nouvelles lui sont installées. Il est toujours et pour toujours M. Pérez.

Le dimanche 27 août à 21h10, RMC Story présentera un épisode de l’émission Faites entrer l’accusé qui reviendra sur une affaire qui n’a pas encore livré tous ses secrets. La belle et le taulard, c’est le titre du numéro d’aujourd’hui de Faites entrer l’accusé, qui enquête sur le meurtre de Jacques Serraye.

Un chauffeur de bus excentrique qui utilise sa position officielle comme garantie de transit de drogue pour toute la durée de sa carrière. La victime d’une expulsion par représailles, âgée de 59 ans, a été retrouvée morte dans un piège sous l’antre de la vermine. Mais même si ses assassins ont été correctement condamnés, la justice n’a pas pleinement éclairé leur cas.

Jacques, Chaffat et Sylvain, le dealer libertin et son amant.

Jacques Serraye, 59 ans, a une apparence intrigante. Tout au long de sa vie, il a profité des longs trajets qu’il effectuait à bord de son camion pour convoyer de la drogue malgré sa réputation de chauffeur lourd, sympathique et sans histoire.

https://youtu.be/x0uCx5KU_CE
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En septembre 2011, son corps est découvert calciné dans le coffre de sa propre voiture, incitant les enquêteurs à envisager un système de responsabilisation du concessionnaire. Pourtant, la réalité est bien différente de cette histoire.

Serraye aurait rencontré Chaffat Abdallah, 40 ans, et Sylvain Rouvio, 52 ans, juste avant sa mort, selon des enquêtes menées auprès de son entourage immédiat. Après avoir purgé 18 ans de prison pour meurtre en groupe en 2017, le groupe connu sous le nom des « amants diaboliques » a été libéré en 2017. Mais alors, pourquoi ?

Ensemble, ils devaient écrire une musique qui reflète les sentiments grandissants de Jacques Serraye pour Chaffat. Selon Chaffat, c’est quelque chose qui a beaucoup ébranlé Sylvain Rouvio. Grâce à un message envoyé à la fille de son ami, Rouvio a avoué vouloir donner une leçon à la victime pour avoir prêté ses désirs pédophiles aux intérêts amoureux de sa petite amie. Les condamnations de la fille de la victime

Pour la sécurité de Chaffat de Sylvain Rouvio, le SMS “où es-tu chérie ?”

L’accueil a été plutôt sympathique. Je savais que mon père était un trafiquant de drogue. Il voyageait fréquemment, en moyenne deux fois par mois, gagnait beaucoup d’argent, tout en vivant modestement. Très jeune, il s’est fait un ami au Maroc qui l’a aidé à mettre le pied dans la porte. Il ne s’est jamais arrêté. Il a chargé sa Peugeot 306 et s’est rendu en Espagne pour récupérer une partie des fonds obtenus illégalement.

Jusqu’à vingt mille euros pourraient être gagnés, soit de quoi payer des vacances. Mais la nuit de sa mort, il tomba dans un guet-apens tendu par Chaffat et Rouvio. J’en suis tout à fait sûr. Ils avaient l’intention de le voler à l’aveugle.

Les histoires romantiques qu’il envoyait par SMS à la jeune Chaffat étaient bien sûr entièrement inventées. Il était lié à Chaffat, qui réussit à l’attirer dans une zone isolée proche de Cazères. Selon la loi, Sylvain Rouvio est responsable du coup de feu mortel, et Chaffat l’a aidé à placer le corps de la victime dans le coffre de sa voiture avant d’y mettre le feu.

Jalousie ou crime odieux, le mystère reste entier. Le meurtre de Jacques Serraye s’est produit dans l’extrême sud de la Haute-Garonne dans la nuit du 28 au 29 septembre 2011. Même si un chant du libertin On présume que ce couple est à l’origine de sa mort. 11 ans plus tard, les détails entourant sa mort restent, au mieux, obscurs.

Même 11 ans après les événements, le voile autour de l’assassinat de Jacques Serraye en Haute-Garonne n’est toujours pas levé. Dans la nuit du 28 au 29 septembre 2011, une automobile a été retrouvée calcinée dans un champ à l’extérieur de la petite ville de Chaum, à l’extrême sud-ouest de la Haute-Garonne. Le corps d’un homme de 59 ans se trouvait à l’intérieur.

À la suite du décès de Jacques Serraye, tous deux ont été condamnés à 18 ans d’isolement pénal. Le téléphone du couple libertin conserve encore une zone d’ombre 11 ans plus tard. L’assassinat de Jacques Serraye en Haute-Garonne reste toujours entouré de mystère 11 ans après les faits. Le corps d’un homme de 59 ans a été découvert dans une voiture incendiée dans une carrière proche de la commune de Chaum,

Entre amour et chanson : l’affaire Jacques Serraye

En prison, Jacques Serraye rencontre enfin ses assassins. Après sa retraite, le chauffeur de bus rachète le Café des Mineurs, longtemps fermé, à Ronchamp (Haute-Saône). Cette personne forme désormais un couple libertin avec Sylvain Rouvio.

L’homme de 59 ans revient ce soir-là d’Alicante pour voir Chaffat Abdallah. Malheureusement pour lui, un couple libertin a revendiqué son assassinat et proposé des explications contradictoires.

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