Zach Miller Taille – Après avoir fait de son mieux, il a finalement échoué. Dans de multiples interviews après la course, il l’a dit lui-même : « je cours à la vie à la mort ». Ne vous embêtez pas avec les calculs ; tout ce qui l’intéresse, c’est de s’imposer. Faites tout ce que vous pouvez et, si nécessaire, déposez vos armes. Parce qu’il avait épuisé toutes les options, il ne ressentait ni colère ni défaite. Nous ne vous rendrions pas service si nous n’incluions pas également le coureur américain Steve Prefontaine, légende des années 1970.
Dès qu’il a dit : “Quelqu’un va peut-être me battre”, j’ai eu envie de me scotcher au milieu et de me couvrir de boue avant le début de la course. Mais il doit faire de l’exercice pour y parvenir. De plus, il a déclaré : « Je cours pour voir qui est le plus courageux ». Même si Zach Miller est décédé à l’âge de vingt-cinq ans, il me met toujours en colère.
Il la poursuit avec une obsession maniaque.
Le monde stérile et bâclé du sport professionnel aurait besoin d’une bonne dose d’absurdité. Regardez la vidéo ci-dessous pour voir comment il a défendu avec succès son titre North Face 50 mile (pour mettre en perspective l’arrivée de cette année, le légendaire Benoit Cori a terminé 36e).
Les deux derniers kilomètres de sa course sont tout simplement une hallucination ; il se donne à fond pour franchir la ligne d’arrivée à l’embarcadère, et il le fait à un rythme plus adapté à une manche de fractionné sur piste. Mais après 80 kilomètres, les choses ont changé.
Pour compléter l’anecdote, il a également remporté le CCC sur l’UTMB et le Madeira Island Ultra Trail. La même tournure fait douter de la véracité de cette affirmation. À une époque où même les sportifs sont censés planifier chaque mouvement, il est étonnant de voir quelqu’un accomplir un exploit de manière irrationnelle. Il risque de se blesser davantage et peut-être de mettre sa santé en danger, mais il me rend heureuse et sinon, à quoi sert le sport ?
Le nec plus ultra des courses de chevaux sur terrain trail. À l’approche de la compétition de trail Ultra Trail du Mont-Blanc (UTMB Mont-Blanc), les coureurs de montagne du monde entier se préparent à l’événement. Puisque plusieurs des meilleurs athlètes du monde seront en compétition, l’édition 2023 restera dans les mémoires comme l’une des compétitions les plus intenses de l’histoire.
Il y a beaucoup de traileurs qui souhaitent obtenir une bonne place à l’UTMB, il est donc important de les identifier. Chez RUNNEA, nous avons mis en avant le meilleur de l’UTMB 2023, mais nous l’avons fait en pensant à l’équipement utilisé par les coureurs de trail professionnels, en particulier leurs chaussures de trail.
L’UTMB Mont-Blanc est l’itinéraire de randonnée le plus connu pour une bonne raison.
En 2003, le mythe de l’UTMB Mont-Blanc est né. La renommée de cette ancienne route n’a fait que croître depuis. C’est pourquoi tous les grands athlètes de l’histoire ont cherché à y laisser une part d’eux-mêmes. Plusieurs noms notables du sport sont décédés depuis, notamment les femmes Lizzy Hawker, Courtney Dauwalter et Krissy Moehl et les hommes Kilian Jornet, François D’Haene et Xavier Thévenard.
Cependant, l’avantage de l’UTMB est que la moyenne Le coureur peut vivre quelque chose de vraiment unique. C’est pourquoi se procurer un dossard pour l’Ultra Trail du Mont Blanc est un rêve devenu réalité pour quelques privilégiés.
Zach Miller Taille : 6’5″
Pourtant, l’Ultra Trail du Mont Blanc est une épreuve d’endurance extrême, parcourant 171 kilomètres et gagnant 10 000 mètres de dénivelé (un tour complet du sommet mythique du Mont Blanc). Cet itinéraire est unique dans la mesure où il traverse trois pays (Italie, Suisse et France) en un seul voyage continu.
Sur l’UTMB 2023, les favoris sont Zach Miller, Jim Walmsley et le Français Germain Grangier, qui admirent tous la magnifique vue sur le Mont Blanc. Kilian Jornet et François D’Haene, deux des plus grands noms de l’ultramarathon, ont tous deux été blessés et donc incapables de participer à l’UTMB cette année.
Si Zach Miller et Jim Walmsley parvenaient à éliminer la « malédiction américaine » qui gangrène cette course depuis sa création en 2003, ils auraient réalisé les rêves d’un pays. Jim Walmsley affrontera un redoutable adversaire de l’UTMB en la personne de Zach Miller en 2023.
Le coureur américain Zach Miller est un habitué de l’UTMB. Il a fait ses débuts à cette compétition en 2015, lui offrant huit années d’expérience. Depuis, il n’a cessé de revenir, sûr de savoir comment gagner. Après avoir manqué beaucoup de temps en raison de blessures, il est revenu l’année dernière et s’est classé sixième.
Miller est un coureur expérimenté qui a participé à de nombreuses compétitions d’ultra-trail. Il a terminé deux fois dans le top 10 de l’UTMB, mais n’a jamais gagné. Il revient sans cesse pour tenter encore une fois de remporter le prix ultime de l’histoire de cette course.
Jim Walmsley : l’Américain inflexible
Un autre coureur américain, Jim Walmsley, s’habille pour rivaliser avec Zach Miller. Walmsley, triple champion du Western States Endurance Run, a passé la majeure partie de l’année dans les Alpes françaises à s’entraîner pour l’Ultra-Trail du Mont-Blanc (UTMB). Une course extrêmement exigeante qui s’étend sur 171 kilomètres et gagne 10 000 mètres de dénivelé.
Walmsley, qui participe à l’UTMB pour la sixième fois, espère que l’absence de plusieurs coureurs d’élite de la course lui donnera une chance de prendre enfin la première place. Même s’il est en tête depuis Courmayeur, Zach Miller tente toujours de lui « tirer la bourre ».
Zach Miller et Jim Walmsley ont eu une vive dispute le soir de l’UTMB 2023. Après que Zach Miller ait accéléré pendant la pause de Bonatti et rattrapé Jim Walmsley, la course à la tête s’est enflammée. Les deux athlètes continuent leur combat sans prendre de répit.
Jim Walmsley est resté calme malgré huit minutes d’avance à Arnouvaz, où Zach Miller menait. Sur les sentiers du Mont Blanc, tout peut arriver à tout moment et la compétition est loin d’être terminée. Zach Miller va-t-il devenir le premier Américain à remporter l’UTMB, ou Jim Walmsley fera-t-il un retour miraculeux ? En juin, un petit tollé a éclaté à propos du ravito de pommes de terre légèrement chauffé de Zach Miller.
La météo a été parfaite pour l’UTMB cette année, ce qui est une excellente nouvelle pour les athlètes. Il y a peut-être de la neige sur le Grand col Ferret, mais cela n’arrêtera pas les randonneurs. Les coureurs, menés par Jim Walmsley, se préparent à affronter de nouveaux obstacles.
Le coureur de fond Zach Miller a trouvé l’amour dans les collines et les zones boisées du comté de Lancaster en Pennsylvanie. Après avoir terminé ses études, il obtient un emploi sur un bateau de croisière, où il s’entraîne sur une piste d’athlétisme et participe à des épreuves de cross-country, perfectionnant paradoxalement sa capacité à courir sans s’arrêter.
Pour se préparer à ses victoires au JFK 50 Mile 2013 dans le Maryland et au Lake Sonoma 50 2014 en Californie, il a passé beaucoup de temps sur le tapis roulant, a monté les escaliers du navire et a monté et descendu l’ascenseur d’innombrables fois.
Il se rend ensuite à Manitou Springs, dans le Colorado, à mi-hauteur de Pikes Peak, pour prendre des mesures des sentiers d’altitude apparemment interminables de Barr Camp.
Il n’existe pas de centre de formation pour le nouveau gardien du célèbre refuge, qui vit à environ 3 000 mètres d’altitude. Mon objectif en écrivant cet essai est de transmettre la profondeur de mon respect pour cet Américain extraordinaire. Expliquer le pourquoi est également très important. Discutons de créativité, de folie et de performance.
Zack Miller. Vous pouvez effectuer une recherche Google pour le terme si vous avez besoin d’explications supplémentaires. Si vous avez été attentif tout au long du dernier UTMB, vous savez de quoi je parle. Zach Miller, le petit Américain qui joue en cross-court comme un Français, est un cas intéressant. Les coureurs crient souvent : “C’est facile, il suffit de le lancer et ensuite d’accélérer !” alors qu’ils passent devant les pelotons.
Cet Américain de 26 ans réside dans le Colorado, à une altitude de « du dénivelé en veux-tu, en voilà », une expression courte pour « du dénivelé en veux-tu, en voilà ». Il ne porte pas non plus de montre et court seul pendant la journée, avec seulement un petit sac à dos et un petit poumpoum pour se protéger.
Et avec ça, il était parti. Ignorez un instant le caractère unique et le raffinement de Zach Miller et dites-moi ce qui le rend si adorable. En termes simples, ils sont à la mode en ce moment. Il n’a presque aucun avantage en début de course alors que tout le monde est encore en train de se jauger et d’élaborer des stratégies. Il se lance tête baissée dans le combat, essayant désespérément de réduire la distance.
L’alarme se déclenche vraiment de temps en temps. En vérité, il a débuté avec une énorme avance sur l’UTMB et n’a fini que sixième après un passage à vide tardif. J’ai des frissons à chaque fois que je les revois. Contrairement à l’Américain moyen, il n’était pas armé, et le vainqueur final, Ludovic Pommeret non plus. Pourtant, ils n’ont pas abandonné ni se sont enfuis. Une bête extrêmement dangereuse qui a été blessée.
Quel pourcentage de coureurs auraient abandonné s’ils avaient vu le podium s’effondrer ? Combien de temps auraient-ils marché pour informer tous ceux qu’ils rencontraient qu’ils pouvaient « mieux profiter de l’ambiance du cours et que c’est bien là l’essentiel » ? Pas lui, c’est sûr.