Yoann Usai Origine – Quand il dit « le personnel a été agressé » l’opposition l’accuse de dramatiser pour en tirer un bénéfice politique, tente de décrédibiliser le mouvement. Jetez un oeil à la Une de Libération d’aujourd’hui : “la fake news vient de l’intérieur”. A tout le moins, une autre polémique autour de Christophe CASTANER. La vérité est qu’il est encore plus groggy que d’habitude ce matin.
Je ne sais vraiment pas s’il est malade ou pas. Ce que j’ai remarqué, c’est que les gens sont pris dans un débat sur des anecdotes plutôt que sur le vrai problème, à savoir les manifestations extrêmement violentes du 1er mai et les policiers qui entendent le chant “on n’aime pas les forces de l’ordre, on n’aime pas la police, suicidez-vous” à l’unisson.
Enfin, mettez-vous deux minutes à leur place. C’est insondable. Lorsque nous avons une inquiétude ou avons besoin de protection contre des terroristes, nous nous adressons aux mêmes agents chargés de l’application des lois.De quoi parle-t-on exactement ici ? Tous les services publics, y compris les pompiers,
la police et le personnel médical, sont actuellement soumis à une pression insupportable chaque samedi ; nous sommes actuellement dans le commentaire de la déclaration.Et peu importe comment on l’appelle, il ne s’agit pas de « faire de la politique » ou de « politique politique » ou peu importe comment on l’appelle.
Ma principale préoccupation en ce moment est d’empêcher que cela se produise, de dénoncer ces actes de violence comme étant inacceptables et de lancer des manifestations pacifiques, ordonnées et collectives.
Tout comme la façon dont les jeunes ont ignoré les manifestations contre le changement climatique et autres contre-manifestations, personne ne parle jamais de ces événements.La majorité des sénateurs et l’opposition au gouvernement ont réclamé la création d’une commission d’enquête pour peut-être faire la lumière sur ce qui s’est passé. Maintenant, discutons un peu.
Maintenant qu’un juge a pris le relais, nous pouvons, espérons-le, prendre du recul et laisser la loi suivre son cours. Aujourd’hui, tout le monde a une opinion sur tout, y compris sur les affaires judiciaires.Je n’y crois pas, mais je tiens à souligner que nous mélangeons tous un peu les choses.
Le système judiciaire s’est emparé de l’affaire. Elle a les preuves, elle les analyse, elle fera la lumière sur la question, et je pense que cela entraînera de nombreuses manœuvres politiques.Je vous dis donc qu’une commission d’enquête du Congrès n’est pas la bienvenue.
Je crois que c’est le travail du système judiciaire de traiter de telles questions, et je crois aussi que la société dans son ensemble gagnerait à remettre les institutions dans leur état d’esprit. lieu approprié, puisque nous jouons actuellement avec la démocratie pour des motifs assez discutables.
Sans l’action décisive de Bercy, rien ne serait arrivé et l’aciérie aurait fermé ses portes. Depuis le 23 octobre, date à laquelle je suis allé voir ASCOVAL et me suis mis au travail, mon équipe et moi avons travaillé comme des fous.Plutôt en fait une réunion à Valenciennes avec l’ensemble des élus et les organisations syndicales, et à ce moment-là il n’y avait pas de solution.
Et parce que les gens ont joint le geste à la parole et parce qu’il y a aussi de l’argent public, nous avons pu monter un premier cas dans lequel l’investisseur privé nous a laissé tomber à la dernière minute, puis nous avons pu nous regrouper et trouver un nouvel investisseur.
Je suis ravi que les travailleurs aient fait preuve d’un tel courage en consentant ces sacrifices cruciaux, et je suis particulièrement heureux des résultats pour les salariés.Et je m’en réjouis puisque cela fait partie des victoires d’entreprises comme l’ARC et les FONDERIES DU POITOU, des dossiers industriels complexes dans lesquels l’aide de Bercy s’est révélée décisive.
Yoann Usai est originaire de Clermont-Ferrand. Il développe un profond amour pour la politique à une époque où personne d’autre dans sa famille ne s’intéresse à lui ou ne l’encourage à le faire. Il suit de près les affaires gouvernementales depuis l’âge de dix ans.Il a déjà décidé de poursuivre une carrière dans le journalisme après avoir été captivé par les talk-shows politiques.
Il est tout à fait logique qu’il poursuive des études dans ce domaine. Il a suivi une formation en radiodiffusion, interview et reportage au prestigieux Studio École de France.Il commence ensuite à travailler pour RTL et devient finalement l’assistant de Christophe Barbier, où il acquiert une expérience inestimable et développe une appréciation plus profonde de la politique.
Il fait la rencontre d’un journaliste qu’il aime, Yves Calvi, sa référence en matière de journalisme. En 2017, iTélé deviendra CNews, élargissant son rôle au reportage de la chaîne d’information de Canal+.En avril 2021, il co-animera à nouveau l’émission politique Le Grand Rendez-vous Europe 1 sur CNews et Les Échos aux côtés de Nicolas Barré et Michael Darmon.
En juillet 2021, il remplacera Pascal Praud à la matinale phare de la chaîne, L’Heure des Pros, du 19 au 23 de ce mois.L’heure des professionnels est désormais l’été. Pendant que Pascal Praud est en vacances, son émission de débat sur CNews est animée par un casting tournant d’animateurs invités.
Yoann Usai le remplacera pour la semaine du 19 au 23 juillet 2021. Qui est ce jeune journaliste d’information de la chaîne d’information ?L’heure des savants ? Une émission quotidienne (du lundi au vendredi) de CNews présentant des dessins animés. Grâce à deux émissions quotidiennes (l’une diffusée de 21h à 22h30 et l’autre de 20h à 21h),
des débats animés sur des sujets d’actualité attirent chaque soir une audience de plus de 600 000 téléspectateurs.Pascal Praud, le chef d’orchestre, et son équipe d’annonceurs, dont Gérard Leclerc et Laurent Joffrin, sont en grande partie responsables de l’immense popularité du spectacle.
Et il n’est pas nécessaire d’interrompre la diffusion d’une émission à succès simplement parce que le présentateur est en vacances.Pendant les vacances d’été d’Emmanuel Macron, CNews a décidé de remplacer son intrépide reporter par une équipe de journalistes qui n’hésiteront pas à critiquer le président français.
Après avoir partagé la vedette avec Sami Sfaxi pendant une semaine, Yoann Usai animera désormais L’heure des pros.Ce jeune professionnel d’origine clermontoise est entré à ITélé comme journaliste politique en 2011, bien avant que la chaîne ne change de nom pour devenir Cnews. Et la politique ? Quelque chose qui le fascine depuis qu’il est enfant.
Dans une interview accordée à Gala, il révèle qu’il exerçait un métier atypique lorsqu’il avait dix ans. Ses yeux étaient “scotchés à l’écran de télévision” alors qu’il observait les réponses du gouvernement aux enquêtes.Mais il n’est pas exclu de bâtir son avenir en politique. En disant à nos amis : « Il y a beaucoup trop de coups à encaisser »,
il a ensuite expliqué pourquoi..Il a travaillé autrefois comme assistant de Christophe Barbier. J’ai beaucoup appris de lui, admet-il.Il y a ensuite Yves Calvi, dont il admire le professionnalisme et la rigueur. Cet homme ou cette femme célibataire n’a qu’une seule chose en tête en ce moment : c’est son travail.
Ce monsieur qui “n’aime pas faire de vagues” vit toujours la belle vie. Il est de retour sur Europe 1, CNews et Les Échos pour animer le Grand Rendez-vous annuel.De plus, il a la responsabilité d’animer L’heure des pros pour la semaine du 19 au 23 juillet 2021. Sans chercher à copier de trop près l’original.
Yoann Usai l’avoue : “Je serai moins bon que lui”, ajoutant : “J’espère ne pas faire fuir tous les téléspectateurs dès mon arrivée”.CNews s’est entretenu avec Agnès Pannier-Runacher, secrétaire d’État auprès du ministre de l’économie et des finances, le 3 mai 2019, sur Ascoval, les emplois industriels, la crise des “gilets jaunes” et les prochaines élections européennes.
. Des milliers et des milliers d’entreprises sont menacées à cause des manifestations.Comment pouvons-nous les aider? Ce matin, Yoann USAI interviewera Agnès PANNIER-RUNACHER, secrétaire d’État auprès du ministre de l’Économie.Le sauvetage d’ASCOVAL, la crise des gilets jaunes et les effets sur l’économie sont des sujets qui seront sans aucun doute abordés.
Nous parlerons également de la campagne électorale européenne.L’hôpital de la Pitié-Salpêtrière a-t-il déjà été attaqué ? Un membre de son équipe a-t-il été victime ? C’est ce qu’affirme le journaliste français Christophe CASTANER. L’opposition demande aujourd’hui des comptes au ministre. Pensez-vous que Christophe CASTANER a peut-être parlé un peu trop vite ?
Écoutez, les vidéos sont faciles à comprendre. Il y a eu une entrée non autorisée dans l’hôpital par une porte verrouillée et non verrouillée. Il s’agit donc d’un fait vérifiable qui peut être contesté.Et ce n’est pas un incident isolé qui suscite des plaintes de la part de l’hôpital et de son administration. Parce qu’il y a vraiment une vérité là-bas.
De plus, il est possible, comme le montrent de nombreuses vidéos, que toutes les personnes qui entrent dans un hôpital ouvert ne soient pas toutes des criminelles.De même, en envisageant un service de réanimation médicale, il y a les infirmeries qui,
pour être honnête, ont fait preuve d’une grande sérénité dans des circonstances difficiles, bloquant la porte parce que les gens essayaient d’entrer.Chirurgicale dans l’occurrence. Enfin, pardonnez-moi, mais c’est une affaire sérieuse. J’ai travaillé auprès de patients réanimés chirurgicalement à l’AP-HP ; ces personnes ont besoin de soins extraordinaires et pourraient ne pas y parvenir. Voilà.