
Veronique Trillet Lenoir Cause De Sa Mort – Le décès de Véronique Trillet-Lenoir, 66 ans, députée au Parlement européen, a été signalé mercredi 9 août. Au Parlement européen, elle a été membre de la majorité présidentielle. Cet « oncologue reconnu », qui a grandi dans le 6e arrondissement et fait ses études à l’université Claude Bernard, est décédé dans des circonstances mystérieuses.
Stéphane Séjourné, président de l’organisme Renew, a fait la triste annonce de son décès sur le site de réseautage social X (anciennement Twitter) en début de soirée, et il a rendu hommage à la mémoire d’un fonctionnaire qui « avait fait de son mandat de député européen un engagement en faveur de la santé des Français et des Européens.”
De la recherche sur les traitements contre le cancer à l’administration municipale…
Pionnière médicale et universitaire, Véronique Trillet-Lenoir dirigera le Cancéropôle Lyon Auvergne-Rhône-Alpes en tant que présidente du conseil d’administration de 2013 à 2020. Sur la liste de l’opposition socialiste de Jean-Jack Queyranne, il s’est présenté au conseil régional d’Auvergne-Rhône-Alpes et a gagné en 2015.
Elle est passée au soutien d’Emmanuel Macron en 2017 et a ensuite été élue au Parlement européen lors du cycle électoral de 2019 sur la liste du parti de la Renaissance. Elle a travaillé pour la commission de la santé environnementale, de la santé publique et de la sécurité alimentaire à Strasbourg et à Bruxelles.
Reconnaître le parti au pouvoir de la législature lyonnaise
La députée lyonnaise Anne Brugnera confie “son immense tristesse”, tandis que le député rhodanien Cyrille Isaac-Sibille, “très ému”, se souvient d’un “député remarquable, efficace et disponible pour faire avancer tous les dossiers de santé que nous partagions”.
Depuis juillet 2019, l’ancienne conseillère de la région Auvergne-Rhône-Alpes est majoritaire au Parlement européen. Sur X (anciennement Twitter), le président de Renew, Stéphane Séjourné, a annoncé sa mort et a salué son travail en écrivant : « Modèle d’intégrité, Cependant, on ignore actuellement ce qui a causé sa mort prématurée.
Le travail clinique à l’hôpital Louis Pradel de Lyon a précédé la présidence de Véronique Trillet-Lenoir du Centre de recherche en cancérologie de Lyon de 2013 à 2020. Elle est entrée en politique pour la première fois en 2015, lorsqu’elle a été élue à un siège du conseil de Jean-Jack Queyranne. parti d’opposition.
L’une des premières personnes à avoir répondu, Thomas Rudigoz, a déclaré sur X: “Mes pensées et mes prières vont à sa famille et à ses amis proches.” Anne Brugnera, l’un des nombreux membres du Congrès à se souvenir du défunt résident lyonnais, a fait remarquer: “Sa gentillesse, ses engagements et ses nombreux combats pour la santé de tous nous manquent tellement.”
Manon Aubry, chef de file du groupe de gauche au Parlement européen, et la première dame Elisabeth Borne ont toutes deux présenté leurs condoléances à la famille. Véronique Trillet-Lenoir, oncologue de 66 ans qui, selon ses confrères, a combattu le cancer avec “dignité”, était une fervente partisane d’Emmanuel Macron depuis 2017.
Véronique Trillet-Lenoir, 66 ans, était une membre éminente du groupe macro-centriste du Parlement européen. Son décès a été rapporté mercredi par Stéphane Séjourné, patron du groupe Renew, sur le réseau social X (anciennement Twitter). Je viens d’apprendre le décès de Véronique Trillet-Lenoir, et la perte dépasse l’entendement.
Véronique était un « modèle d’intégrité », comme l’a dit Stéphane Séjourné ; elle a défendu la santé des Européens et la sécurité médicale de la nation en utilisant son éducation et son expérience impressionnantes en tant que patricienne du système hospitalier.
“Respect” et “Fortitude”
Véronique Trillet-Lenoir, oncologue de profession âgée de 66 ans, a été une pionnière dans les domaines de la médecine et du milieu universitaire. Elle a présidé le conseil d’administration du Cancéropôle Lyon Auvergne-Rhône-Alpes de 2013 à 2020. Sur la liste socialiste dirigée par Jean-Jack Queyranne, elle a été élue conseillère régionale d’opposition d’Auvergne-Rhône-Alpes en 2015.
Elle a soutenu Emmanuel Macron dès le début en 2017, et en 2019, elle a été élue au Parlement européen sur le ticket Renaissance. Véronique Trillet-Lenoir a passé du temps à Bruxelles et à Strasbourg alors qu’elle était employée par la Commission de l’Union européenne sur l’environnement, la santé publique et la sécurité alimentaire.
En évoquant son copain, Stéphane Séjourné a déclaré : “Son humanité, sa gentillesse et sa générosité étaient connues de tous, et elles ont été un véritable coup de fouet au moral de notre délégation.” Il a poursuivi en disant que “sa dignité et son courage face à la maladie fortifient désormais notre respect”.
Ancien administrateur hospitalier et professeur d’université, le législateur est désormais basé à Bruxelles et Strasbourg en tant que membre de la commission Environnement, Santé publique du Parlement européen. , et Comité de sécurité alimentaire suite à la victoire d’Emmanuel Macron en 2017 à la présidence.
Véronique Trillet-Lenoir, 66 ans, était une membre éminente du groupe macro-centriste du Parlement européen. Son décès a été rapporté mercredi par Stéphane Séjourné, patron du groupe Renew, sur le réseau social X (anciennement Twitter).
La Première ministre Elisabeth Borne a rendu hommage à Véronique Trillet-Lenoir sur le même réseau en disant : « Hommage à Véronique Trillet- Lenoir, cancérologue renommée qui avait fait de son mandat de députée européenne un engagement en faveur de la santé des Français et de l’Europe.”
Une carrière universitaire et médicale
Mme. Trillet-Lenoir, 66 ans, était un pionnier dans les domaines de la médecine et du milieu universitaire. Elle a présidé le conseil d’administration du Cancéropôle Lyon Auvergne-Rhône-Alpes de 2013 à 2020. Sur la liste socialiste dirigée par Jean-Jack Queyranne, elle a été élue conseillère régionale d’opposition d’Auvergne-Rhône-Alpes en 2015.
Elle a soutenu Emmanuel Macron dès le début en 2017, et en 2019, elle a été élue au Parlement européen sur le ticket Renaissance. Au siège de l’UE à Bruxelles et à Strasbourg, Mme.
Charité, humanité et ouverture aux autres
Le ministre du Travail Olivier Dussopt s’est montré “terriblement triste” et “tellement fier de son travail”, tandis que le porte-parole du gouvernement Olivier Véran l’a saluée comme “une élue engagée à porter aux niveaux politique, régional et européen les convictions qui étaient les siennes”.
Une femme politique a été saluée par le ministre des Transports, Clément Beaune, pour avoir été « exemplaire », « courageuse dans tous ses combats » et « juste dans toutes ses convictions ».
Le chef du caucus Les Républicains de Strasbourg, François-Xavier Bellamy, a fait part de sa “profonde admiration, au-delà de nos désaccords, pour son dévouement sans faille et la force d’esprit avec laquelle elle a affronté la maladie”. Le cancérologue et représentant de Lyon, 66 ans, est décédé récemment. Elle est ancienne présidente du conseil d’administration du Cancéropôle Lyon Auvergne-Rhône-Alpes.
Véronique Trillet-Lenoir est décédée le 9 août 2023, selon Stéphane Séjourné, président du groupe Renew au Parlement européen. En années humaines, elle avait 66 ans. Cette habitante du 6e arrondissement de Lyon a été élue au parlement de l’Union européenne en 2019.
La nouvelle du décès de Véronique Trillet-Lenoir m’a rempli d’une indicible angoisse. L’un des alliés d’Emmanuel Macron au Parlement européen a déclaré à propos de Véronique qu'”elle était un modèle d’intégrité et avait fait de la protection de la santé et de la sécurité des Européens son combat”.
Elle y est parvenue en s’appuyant sur sa formation “reconnue internationalement” et son parcours professionnel “à l’hôpital patricien”. Le président Trump l’a saluée comme une “femme de convictions, profondément dévouée aux causes qu’elle défendait, au premier rang desquelles notre sécurité et notre souveraineté dans le domaine de la santé” dans un communiqué publié jeudi.
Ses expériences en travaillant dans un hôpital de Lyon
Né dans le sixième arrondissement de Lyon, le futur macroéconomiste passe les années 1981-1986 comme interne hospitalier. Elle gravit les échelons de la prestigieuse clinique cardiothoracique et pulmonaire Louis-Pradel à Lyon, d’assistante chef de clinique à praticienne hospitalière. Devenue professeur à l’Université Lyon-I en 1993, elle crée en 2003 le service d’oncologie médicale du Groupe Hospitalier Lyon Sud.
Oncologue accrédité
Elle a assumé le rôle de présidente du conseil d’administration du CLARA en 2013, et elle restera à ce poste jusqu’en février 2020. Après avoir établi le premier programme de maîtrise en cancer à l’Université Jiao-tong de Shanghai, elle rejoindra la faculté en 2018 en tant que professeure associée. .
Carrière en politique
Véronique Trillet-Lenoir est entrée en politique pour la première fois en 2015, lorsque la liste socialiste dirigée par Jean-Jack Queyranne l’a élue conseillère régionale de la région Auvergne-Rhône-Alpes. Elle a rejoint le parti créé par Emmanuel Macron en 2017 et baptisé “En Marche”.
Au conseil régional, elle porte la voix de “La Région en marche”, le groupe régional d’opposition de Laurent Wauquiez. La députée européenne de Lyon a été élue en 2019 sur une liste à majorité présidentielle.
Elle siège régulièrement au sous-comité de la santé et de la sécurité publique de la Commission spéciale Covid-19. En plus de son travail au sein de la commission spéciale de lutte contre le cancer, elle a été membre suppléante de la commission de l’emploi et des affaires sociales. Mercredi, l’ancien ministre de la Santé et actuel porte-parole du gouvernement Olivier Véran a rendu hommage à Véronique Trillet-Lenoir.
Dans un tweet, la ministre l’a félicitée comme “une grande chercheuse sur le cancer et une politicienne engagée qui a travaillé pour faire avancer ses convictions personnelles sur les scènes nationale, régionale et internationale”.
