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Pierre Servent Chimiothérapie
Pierre Servent Chimiothérapie

Pierre Servent Chimiothérapie – Le traitement a entraîné des réponses antitumorales chez un certain nombre de patients, notamment une stabilisation de la maladie et, dans un cas, une diminution des métastases.Les traitements de chimiothérapie conventionnels se sont également révélés plus efficaces lorsqu’ils sont associés au NP137 lors d’expériences précliniques.

La deuxième co-étude, menée par des chercheurs de l’Université libre de Bruxelles et publiée simultanément dans Nature, a révélé que le NP137 est efficace pour bloquer l’activité de la nétrine-1 et augmenter l’efficacité des traitements conventionnels contre d’autres cancers, notamment les cancers du poumon et de la peau. Les résultats précliniques soutiennent ces affirmations.

Éradiquer le VPH

Mon cancer a été causé par le virus HPV. Comme il n’existait pas de vaccin contre le VPH lorsque j’étais enfant, je n’avais aucune idée que ce virus pouvait conduire au cancer. Pourtant, c’est précisément à cela qu’il m’a soumis.

Pensez à vous faire vacciner si vous êtes un jeune ; si vous êtes plus âgé et n’avez pas été vacciné, n’oubliez pas de nager. Je prends la parole aujourd’hui pour attirer l’attention sur l’importance des mesures préventives contre le VPH chez les parents et les enfants. Pour plus d’informations, consultez le site Internet de Prévention Cancer Environnement et parlez-en à votre médecin.

Lutter contre le VPH équivaut à prévenir 6 300 nouveaux cas de cancer en France chaque année. Recevoir le diagnostic de ma maladie a été une expérience difficile pour de nombreuses raisons. Lorsqu’il s’agit de ma santé, je suis quelqu’un de très attentif. J’ai souvent subi des dépistages, notamment pour le cancer du côlon, car de nombreux proches ont lutté contre cette maladie.

J’ai subi une coloscopie en 2020, comme c’est l’habitude tous les cinq ans. Personne ne s’est inquiété car il y avait eu une injection avant l’apparition des symptômes. Le médecin m’a toujours refusé une biopsie, même si cela était courant dans le passé.

Au fil du temps, j’ai commencé à ressentir une sensation de nœud dans mon canal anal. Mon médecin a continué à aggraver mes hémorroïdes, les rendant plus douloureuses et, pire que tout, saignantes, dès qu’elle en parlait. J’ai programmé à la hâte une visite avec un gastro-entérologue à l’hôpital ; mais, en raison de la pandémie de COVID-19, nous avons dû réaliser la séance par vidéoconférence… Cela ne servait à rien car un bilan clinique était mon besoin premier.

Plus de neuf mois après l’apparition de mes premiers symptômes, j’ai enfin eu la chance de lui rendre visite en consultation de physiothérapie vers la fin mai 2020. Sa chute est survenue quinze jours après la biopsie, réalisée peu après le verdict. Bonne nouvelle : un carcinome du col de l’utérus lié au VPH-18 a été détecté. Une averse très froide tombait.

Malheureusement, mon médecin m’a donné le feu vert en me disant qu’il s’agissait d’un cancer localisé que je pouvais facilement guérir. Nous vous assurons que nous avons réalisé une batterie de tests pour votre tranquillité. Passons maintenant à la deuxième douche froide… c’était une tumeur maligne métastatique avec trois métastases hépatiques et deux métastases mammaires.

Outre le fait que j’étais assez frustré, je ne savais pas non plus comment procéder. Il était absolument hors de question de me quitter pendant cette période mouvementée, même si l’annonce avait été très violente. Néanmoins, j’étais décidé à me battre pour moi et mon entourage. J’ai également décidé de compter sur mon avenir et de tirer l’inspiration de l’idée de la conclusion de cette phase. Deux options m’ont été présentées : la chimiothérapie et la radiothérapie.

“J’aimerais comprendre le mais de mon adversaire.”

Jean-Claude Gélis, un subordonné français ayant servi en Yougoslavie, tente de comprendre la cause de sa maladie. Les militaires sont tenus de signaler et de soigner les autres militaires qui sont malades. Contre un lymphome, une forme de cancer du cerveau, Jean-Claude Gilbert, 46 ans, se bat depuis quatre ans. Ce subordonné a servi pendant quarante-quatre ans dans l’armée active, dont un an en Yougoslavie entre 1994 et 1997.

Ce soldat espère que l’exposition à l’uranium ou aux armes chimiques a pu contribuer à sa maladie. “Je n’ai toujours pas les réponses”, répond-il. Six autres soldats français ayant servi en ex-Yougoslavie ont reçu un diagnostic formel de cancer (quatre lymphomes et une leucémie). “De quel moment êtes-vous malade ?”

Tout a commencé lors de mon dernier séjour en ex-Yougoslavie, en mars et avril 1997, Jean-Claude Gelis. Un gonflement des seins et une sensibilité se faisaient sentir à moi.C’est à cette époque que la « maladie de Kawasaki » (NDLR : affection inflammatoire associée à un dysfonctionnement immunitaire) est réellement envisagée par les médecins. Cette maladie touche majoritairement les enfants, donc même si j’ai un rapport médical, il ne me donne pas le feu verteh bien.

Comment sont apparus les premiers symptômes et quel traitement vous a été prescrit ? Au début, j’ai été choqué de voir un géant tenu en l’air par un humain. A mon médecin civil, je demanderai de la surveillance. Après cela, je suis sorti de la maison. Une fois encore, en septembre 1999, j’ai eu un terrible cas de grippe. Après avoir consulté un spécialiste, j’ai appris que j’avais un lymphome à évolution lente.

Les ganglions subissent un processus de dégénérescence. J’ai des maux de tête tous les jours et je me sens complètement épuisé par le traitement de chimiothérapie. Je dois reprendre une évaluation complète en février pour déterminer le prochain traitement. De plus, un vide moléculaire est envisagé. Pensez-vous qu’il puisse y avoir un lien entre votre maladie et vos séjours en ex-Yougoslavie ?

C’est précisément ce que j’essaie d’établir. “Pourquoi suis-je malade?” serait ma question idéale. Après avoir appris que plusieurs soldats européens souffraient de la fatigue balkanique, qui les menaçait de missions similaires à la mienne, j’ai commencé à me poser beaucoup de questions. S’il vous plaît, dites-moi ce que j’ai besoin de savoir. J’ai contacté l’association Avigolfe. Je voudrais savoir si mon cas fait partie des maladies signalées.

Quelqu’un a-t-il pensé aux retraités ? “L’armée allait faire des contrôles”, j’ai appris. Tout le monde semble parler de ces obus uranium, mais sont-ils les seuls ? Les risques du benjoin (NDLR : produit de nettoyage pour armes) sont évoqués.Connaissez-vous d’autres soldats blessés ?

Je connais d’autres soldats qui étaient là-bas en Yougoslavie et qui souffrent. Plus précisément, je connais deux personnes qui ont une maladie très similaire à la mienne, mais qui sont toujours en service militaire. Quelles sont les attentes des militaires ? J’attends que les soldats à la retraite sachent qu’ils peuvent appeler un numéro d’urgence pour plus d’informations.

Il serait utile de créer une cellule civilo-militaire pour superviser les questions liées à la santé et à l’administration. Nous ne voulons pas être laissés pour compte. Il est essentiel de mener ces études afin de pouvoir comparer les résultats et les partager facilement avec nos médecins traitants.

La chimiothérapie et l’immunothérapie sont deux traitements puissants contre le cancer. Malheureusement, certaines tumeurs répondent mal à la chimiothérapie et à l’immunothérapie ou développent une résistance aux traitements traditionnels, ce qui nécessite une récidive.

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La transition épithéliale-mésenchymateuse (ou TEM en anglais) décrit les changements cellulaires qui se produisent à mesure que les tumeurs malignes progressent. L’initiation, le développement et les métastases du cancer, ainsi que la résistance à la chimiothérapie et à l’immunothérapie, sont tous corrélés au microenvironnement tumoral (TEM).

Cet été, deux études ont été publiées dans la prestigieuse revue Nature qui ont prouvé que les cellules cancéreuses sécrètent la protéine nétrine-1. Cette protéine est principalement connue pour jouer un rôle au cours du développement embryonnaire et participe à la fameuse transition épithéliale-mésenchymateuse.

L’équipe de recherche à l’origine de ces résultats était dirigée par Patrick Mehlen, directeur de recherche au CLB et au CRCL. Ils ont collaboré avec une équipe de l’Université Libre et du laboratoire clinique du département de recherche du Centre Léon Bérard.

Les recherches menées sur le cancer de l’endomètre dans des modèles précliniques ont révélé que l’inhibition de l’activité de la nétrine-1 entraîne la mort des cellules cancéreuses et la prévention de l’EMT. Compte tenu de ces résultats, les auteurs ont étudié la possibilité du NP137, un anticorps monoclonal créé par l’équipe travaillant avec le Dr Mehlen et qui inhibe la nétrine-1. Les patientes du Centre Léon Bérard atteintes d’un cancer de l’endomètre avancé ont participé aux études cliniques humaines de phase 1 du NP137.

La combinaison des résultats de ces deux essais suggère que les médicaments ciblant la nétrine-1 pourraient constituer une stratégie efficace pour vaincre la résistance au traitement. C’est pourquoi, sous la direction du Pr. Isabelle Ray-Coquard, un ambitieux essai clinique de phase II est en cours au Centre Léon Bérard pour déterminer si ce candidat médicament (NP137) est associé ou non à la chimiothérapie et/ou à l’immunothérapie chez les femmes atteintes de tumeurs gynécologiques.

Les résultats de cette expérimentation devraient être connus mi-2024.Pierre Servent, journaliste et auteur français, est né à Montpellier le 10 février 1954. Il a le grade de colonel de réserve opérationnelle et possède de très bonnes connaissances en stratégie militaire.

Formation et évolution de carrière

Pierre Servent est docteur en histoire. Il poursuit ses études à l’Institut d’études politiques de Paris après avoir obtenu un DEA d’histoire contemporaine. Il possède des références impressionnantes, ayant été récipiendaire du German Marshall Fund (1990) et auditeur de l’Institute for Advanced National Defence Studies (IHEDN, 1991).

De 1980 à 1986, il couvre les sujets de défense pour La Croix en tant que journaliste politique. À partir de 1986 jusqu’en 1995, il couvre la politique intérieure pour le service “Etranger” du Monde. Entre 1995 et 1997, il a été conseiller de Charles Millon sur les questions relatives aux communications et aux interactions du ministère de la Défense avec le Parlement. Il a été le rédacteur officiel des points de presse du ministère et a d’abord été nommé porte-parole de la défense.

Avant de rejoindre le groupe Caisse d’Épargne en 2005, il a assuré la communication du groupe Vivendi Waters (Veolia) de 2002 à 1997. Il a été directeur des séminaires de l’École de Guerre de 1992 à 2012. Il a été professeur adjoint à l’ENA, Sciences-Po, École Polytechnique et Université de Rouen. Le Joint Defence College était l’une de ses précédentes étapes d’enseignement.

De 2002 à début 2022, il est consultant défense et stratégie pour France 2 et BFMTV. Aux côtés de Marie Drucker et Julian Bugier, il apparaît dans les éditions de France 2 consacrées à la mémoire et à l’actualité militaire française.

À partir de 2003, il établit un programme d’apparitions régulières à l’émission de discussion française C dans l’air. Les Soirées avec Fabrice Lundy sur BFM sont l’une de ses précédentes prestations radiophoniques. De nombreux autres réseaux médiatiques français et internationaux le consultent également en cas de déferlement d’actualités liées à la défense ou de grande crise internationale.

Au premier jour de l’offensive russe en Ukraine, le 25 février 2022, l’équipage de TF1 9 le convoque. Il quitte les chaînes du service public pour devenir consultant défense pour TF1-LCI. La télévision, la radio et la presse écrite lui demandaient régulièrement son avis sur la guerre entre les États.

Conflits sur le champ de bataille

Après son passage comme officier d’état-major spécialisé de réserve (ORSEM), il prend sa retraite avec le grade de colonel. Il a participé à des opérations en Afghanistan, en Afrique et dans les Balkans tout en servant dans la zone des opérations extérieures (OPEX). Il est actuellement président d’honneur du conseil d’administration, après avoir présidé les réunions de l’ORSEM jusqu’au début 2009.

Des résultats positifs dans la diminution du développement tumoral et de la résistance aux traitements ont été observés avec la découverte d’un médicament anticancéreux de premier ordre par le Centre Léon Bérard. Les patients atteints de cancer disposent d’outils puissants, notamment les immunothérapies et la chimiothérapie.

Certaines tumeurs malignes deviennent résistantes aux immunothérapies et aux chimiothérapies, voire sont totalement insensibles à ces traitements, ce qui peut entraîner des récidives. Les cellules du carcinome subissent des altérations métaboliques connues sous le nom de transition épithéliale-mésenchymateuse (EMT) à mesure que la maladie progresse.

Le développement, la progression et les métastases des tumeurs, ainsi que la résistance à la chimiothérapie et à l’immunothérapie, sont tous associés à l’EMT. Jusqu’à présent, il n’existe aucun produit chimique pharmaceutique capable de bloquer ce processus EMT.

Deux études ont été publiées cet été dans la prestigieuse revue Nature par une équipe de chercheurs de l’Université Libre, du département de recherche clinique du Centre Léon Bérard et du CRCL « apoptose, cancer et développement » (Patrick Mehlen, directeur du CRCL et directeur de recherche du CLB).

Leur objectif était de prouver que les cellules cancéreuses sécrètent la protéine nétrine-1, considérée auparavant comme cruciale pour le développement embryonnaire, pour faciliter cette fameuse transition épithélio-mésenchymateuse.

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