Nicolas Mazier Age – J’ai appris ce matin le décès de Nicolas Mazier et cela me rend très triste. Étant moi-même originaire de Dole et de Damparis, j’avais espéré l’initier au militantisme politique avant qu’il ne rejoigne l’armée. Mes sympathies vont à sa famille, en particulier à son frère Bruno. Pour le reste de sa vie, Nicolas restera toujours dans les mémoires comme un jeune Français profondément amoureux de son pays et de ses valeurs.
Au sein du Commando aéroporté français, Nicolas Mazier a servi en tant que membre de l’escadron n°10. En août, deux autres soldats français ont été tués en Irak ; l’un lors d’un accident et l’autre lors d’un « exercice opérationnel ». Baptiste Gauchot, sergent et commandant français, a été tué en Irak le 18 août 2023.
Le ministre de la Défense Sébastien Lecornu lui a rendu hommage le 25 août à la caserne de Besançon du 19e régiment. Le sergent Nicolas Mazier a été tué lundi lors d’une opération antiterroriste en Irak. C’est le troisième soldat français tué en Irak en dix jours.
Troisième soldat français tué en Irak en 10 jours. Le 29 août, le gouvernement français a appris que le sergent des forces spéciales françaises Nicolas Mazier avait été tué au combat alors qu’il soutenait l’armée irakienne contre les terroristes. Le jeune militaire a été tué par balles lundi, à 100 kilomètres au nord de Bagdad, après un échange de tirs avec des jihadistes. Il était membre du 10e Commando aérien parachutiste. Le soldat était sur le point de fêter ses 32 ans.
Le frère du jeune militaire, Bruno Mazier, originaire de Dole (Jura), a tenu mardi une cérémonie commémorative en son honneur. Il a aidé tous ceux qu’il pouvait. Son frère a témoigné sur TF1 qu’il était toujours là quand quelqu’un avait besoin d’aide.
La raison pour laquelle ils se sont impliqués est évidente pour moi.
En juillet de l’année dernière, le sergent Nicolas Mazier était arrivé en Irak. Cela faisait partie de l’opération Chammal. Mon frère ne voulait pas nous envoyer trop loin des terres, se souvient Bruno Mazier. Pour parler franchement, il a atteint le bout de sa corde. Il a gardé pour lui les aspects négatifs de ce qu’il a vu sur le terrain.
Il ne voulait pas être celui qui conduisait la voiture. Et le frère du militaire a décidé de se réengager : je comprends très bien leur engagement et leur motivation pour y aller. Pour la sécurité de tous, pour que “toutes ces saloperies qui viennent sur le territoire ne nous dérangent pas”, explique le frère du militaire.
. Ce nouveau décès survient quelques jours seulement après celui du sergent Baptiste Gauchot, le 18 août, dans un accident de la route alors qu’il effectuait une mission d’éducation des forces armées irakiennes. Le décès de Nicolas Latourte, adjudant du 6e régiment du Génie d’Angers, est survenu le 21 août alors qu’il participait à une « mission parallèle d’instruction des forces armées irakiennes », comme l’a annoncé le gouvernement français trois jours plus tard.
Un de ses collègues chez Lafarge a déclaré : « Nous l’aimions ». Le 21 août à 22h39, les secours interviennent sur un décès sur le sentier des furets au-dessus du passage à niveau de Clairoix. Le défunt a été identifié comme étant Nicolas Prévost, 39 ans, directeur de la tannerie Lafarge, 10ème rue des Bonnetiers à Compiègne.
Il était en poste chez le marchand Lafarge de Compiègne.
Originaire de Lamorlaye, Nicolas Prévost s’installe au Québec. Outre le Beffroi, il possédait à Amiens une taverne italienne appelée Au Rendez-vous. Depuis quatre ans, il est devenu partie intégrante de l’entreprise Lafarge à Amiens. En tant que restaurateur, il avait développé des sentiments pour le commerçant de Lafarge, qui fréquentait son établissement. Installé à Compiègne, il l’engage dans une boutique locale.
C’était un moment formidable, comme le dit l’un de ses collègues. Il se sentait béni et heureux. Cette fin était vraiment inattendue. Quelle déception colossale. Cette personne était constamment en contact avec lui par téléphone et rien ne lui échappait.
Le sergent Nicolas Mazier travaille à l’opération Chammal depuis le 19 juillet de la même année. A une centaine de kilomètres de Bagdad, lui et ses partenaires étaient engagés dans une mission de reconnaissance en soutien aux forces irakiennes lorsqu’ils ont été séparés par des terroristes. L’armée française a alors réagi.
Le chef des armées, le général Thierry Burkhard, a salué le dévouement du sergent Nicolas Mazier en s’inclinant “avec une profonde tristesse devant le courage et la mémoire de Il a également adressé ses condoléances à la famille de Mazier et à ses collègues militaires. Les hauts gradés de l’Armée de l’Air l’ont remarqué, le général de l’Air Stéphane Mille qualifiant le sergent Nicolas Mazier de « aviateur remarquable aux qualités reconnues de tous ».
Après avoir servi comme volontaire dans l’armée française (EVAT), il s’engage en 2017 dans l’armée de l’air, rejoignant le 20e bataillon d’infanterie parachutiste de la base aérienne d’Orange. Dans ce contexte, il s’est démarqué par son travail d’équipe et son dévouement au bien commun.
En 2019, il rejoint le 30ème cabinet de CPA. En 2021, elle s’est étendue tout au long du dixième CPA. Dans cette section, il était connu comme un acteur sérieux, un soucieux de la procédure et un modèle.
Le Sergent Nicolas a élargi ses opérations externes grâce à ses relations personnelles au sein des différents CPA. Il a reçu la Distinguished Service Cross, la Bronze Star et la Purple Heart tout au long de sa carrière militaire. La mort d’un troisième militaire en Irak depuis le début du mois a été annoncée par l’Elysée le 29 août. Le maire de Dole, Jean-Baptiste Gagnoux, a révélé que le militaire est originaire du Jura.
Originaire de Dole et Damparis, j’avais espéré nouer des liens avec lui via l’activisme politique dans les années précédant son engagement. Mes plus sincères condoléances vont à sa famille et particulièrement à son frère Bruno. Pour le reste de sa vie, Nicolas restera toujours dans les mémoires comme un jeune Français profondément enraciné dans son pays et ses valeurs.
Le maire républicain de Dole, Jean-Baptiste Gagnoux, a rendu hommage au militaire d’origine comtoise sur ses réseaux sociaux. Nicolas Mazier était membre du Dixième Airborne Parachute Command. Un soldat français est mort dans un accident, tandis qu’un autre est mort lors d’un “exercice opérationnel” en août en Irak. Baptiste Gauchot, sergent-major de commandement de l’armée française, a été tué en Irak le 18 août 2023.
Le ministre de la Défense Sébastien Lecornu lui a rendu hommage le 25 août à la caserne du 19e Régiment de Besançon. Nicolas Mazier était membre du Xe commandement parachutiste aéroporté. Un soldat français est mort dans un accident, tandis qu’un autre est mort lors d’un “exercice opérationnel” en août en Irak. Baptiste Gauchot, sergent-major de commandement de l’armée française, a été tué en Irak le 18 août 2023.
Le ministre de la Défense Sébastien Lecornu lui a rendu hommage le 25 août à la caserne du 19e Régiment de Besançon. L’armée française subit un nouveau revers. Mardi 29 août, le gouvernement français a annoncé le décès du sergent Nicolas Mazier des Forces spéciales françaises. BFMTV rapporte qu’il a été tué lundi en Irak lors d’une opération antiterroriste. Il y avait d’autres soldats blessés.
Le pays tout entier le pleure.
Emmanuel Macron a d’ailleurs rendu hommage au soldat tombé sur X (anciennement Twitter). Nicolas Mazier, le sergent, s’est battu pour la France et pour notre sécurité. Il a déclaré : “Tombé en Irak, c’est toute la Nation qui le pleure”, et il a offert son soutien “à ses proches et à ses frères d’armes”. Malgré les récentes pertes, l’Élysée a réitéré sa “détermination dans son action”. lutter contre le terrorisme aux côtés de l’Irak”, dans un communiqué publié aujourd’hui.
Le sergent Nicolas Mazier est le troisième militaire français à mourir à Erbil ces deux dernières semaines. Baptiste Gauchot, sergent, a été tué dans un accident de voiture le 18 août. L’adjudant Nicolas Latourte a été « mortellement blessé en marge d’un exercice d’entraînement au combat en ville trois jours plus tard, a indiqué l’État.
Une fusillade l’a laissé mortellement blessé et finalement mort. L’Elysée n’a pas divulgué l’âge de Nicolas Mazier, bien qu’il ait été membre des Forces spéciales françaises. Lundi, il a été tué lors d’une opération antiterroriste en soutien à l’armée irakienne, à une centaine de kilomètres de Bagdad.
Les terroristes en fuite ont lancé une attaque brutale contre l’armée irakienne. Selon un communiqué publié lundi par le ministère français de la Défense, l’armée française “a immédiatement riposté pour soutenir le partenaire, infligeant de lourdes pertes à l’ennemi”. Le sergent Nicolas Mazier a été mortellement abattu lors de cette fusillade.