Maryse Evan Jeppe Wikipedia – Maryse Éwanjé-Épée est une athlète, journaliste et présentatrice de télévision française née à Poitiers d’un père camerounais et d’une mère française d’origine espagnole en 1964. Elle a été détentrice du record de France de saut en hauteur de 1983 à 2007.
Pierre Dorian, journaliste, s’entretient avec l’animateur Vincent Moscato tout au long de l’émission. Le trio composé de Vincent Moscato, Eric Di Meco et Maryse Éwanjé-Épée devient rapidement une force dominante. Maryse Ewanje était une habituée du Moscato Show, alors que s’est-il passé pour qu’elle arrête soudainement ?
Maryse n’apporte rien, à mon avis, car elle se bat constamment avec les autres invités de l’émission. Elle affiche une attitude de supériorité envers les gens qui l’entourent, est toujours à la recherche de l’attention et fait des blagues qui ne plaisent pas au reste du casting. Quand Vincent Moscato a-t-il disparu ?
Les archives officielles montrent que l’ancien joueur de rugby s’est installé en Andorre en 2014. C’est du moins ce qu’il a déclaré au ministre français des Finances. La principauté pyrénéenne abrite à la fois Moskato Productions (qui produit son programme) et le Talonneur (qui vend des cosmétiques pour hommes). Quelqu’un, dites-moi qui est Maryse Evan Jeppe.
Elle a été recordman de France de saut en hauteur de 1983 à 2007. Ancienne membre de l’équipe de France d’athlétisme et actuelle journaliste à @RMCinfo, Maryse Evan Jeppe est favorable à ce que les joueurs de l’Alliance Citoyenne Grenobloise puissent utiliser un filet. Je suis à l’écoute du Moscato Show ?
Maryse Éwanjé-Épée est une athlète, journaliste et animatrice de télévision française. Elle est née le 4 septembre 1964 à Poitiers. De 1983 à 2007, elle a détenu le record de France de saut en hauteur. Monique Éwanjé-Épée, sa sœur, a remporté le titre européen au 100 mètres haies.
Maryse Éwanjé-Épée est la plus jeune de quatre sœurs, les autres étant Munia, Nadine et Monique, qui ont toutes participé à l’athlétisme. A huit ans, elle apprend l’athlétisme à l’école Vercingétorix à Aubière (Puy-de-Dôme), mais elle ne commence la compétition que lorsqu’elle s’installe à Montpellier trois ans plus tard.
Elle joue au basket et court sur piste pendant quelques temps avant que son futur entraîneur au Club Montpellier Université, Dominique Biau, la repère en milieu scolaire et la suive de ses 11 ans jusqu’à ses 21 ans.
Professeur de mathématiques à la ville et ancien permaculteur, il fournira à Maryse et à ses sœurs des bases solides pour une éducation holistique et standardisée basée sur des tests. Maryse deviendra également championne de France du 100 mètres haies et de l’heptathlon avant de se concentrer sur le saut en hauteur.
À 16 ans et 10 mois, elle participe à l’heptathlon aux Championnats d’Europe juniors 1981 à Utrecht. Au cours de la compétition, elle a battu huit records (sept épreuves plus total de points) et établi un nouveau record personnel de onze centimètres au saut à la barre fixe, ainsi que battu les records de France dans les divisions cadettes, juniors et espoir.
De 1982 à 1985, elle remporte les titres de France collège et lycée au saut en hauteur, au 100 mètres haies, au saut en longueur et à l’heptathlon, et elle établit à neuf reprises le record de France seniors. Lors de sa première tentative de record seniors aux Championnats d’Europe de Milan 1982, la Française Marie-Christine Debourse, détentrice de la meilleure note française et aujourd’hui consultante pour TF1, a commenté en direct son saut cadette de 1,88 mètres. Maryse bat le record de France à plusieurs reprises l’année suivante et remporte le bronze aux Championnats d’Europe à Budapest.
Maryse détient le record de France en salle à 1,95 mètre et termine deuxième aux Championnats d’Europe de 1984 à Göteborg, derrière son idole, l’Allemande Ulrike Meyfarth. La même année (1984), elle participe aux Jeux olympiques de Los Angeles, où elle se classe quatrième.
Après les Jeux olympiques de Los Angeles en septembre 1984, Maryse retourne à l’Université de l’Arizona à Tucson pour poursuivre ses études de journalisme. En mai 1985, elle et ses coéquipières Katrena Jonhson et Camille Harding de l’équipe des Wildcats de l’Université du Kentucky ont remporté un triple historique en tant que vice-champions collégiaux sous la direction de l’entraîneur Bob Myers à Austin.
Plus tard cet été-là, elle a battu le record universitaire américain de 3/4 de pouce, atteignant 6 pieds 4 pouces (1,96 m). Ce record a tenu jusqu’à ce qu’il soit battu par Tanya Hugues puis Brigetta Barrett en 1992.
Maryse Éwanjé-Épée revient en France en septembre 1985 pour poursuivre ses études, mais découvre que son entraîneur de longue date, Dominique Biau, a pris sa retraite et envisage de ralentir sur le plan sportif. Elle se rend ensuite à Paris pour se former auprès de Christian Charbonnel à l’Institut national du sport, de l’expertise et de la performance (INSEP).
Madely Beaugendre s’est qualifiée pour les Jeux olympiques d’été de 1988 à Séoul lors de la dernière journée de qualification, dans ce qui reste toujours la plus belle compétition de championnat de France, organisée à Tours, où elle a battu le record de France en salle de 0,01 mètre pour terminer à 1,95 mètre. Madely Beaugendre a finalement atteint une hauteur de 1,93 mètres.
Maryse se classe dixième à Séoul avec une hauteur de 1,90 mètres, de quoi se qualifier pour la finale. Elle rompt avec Christian Charbonnel après avoir été insatisfaite de sa performance et s’entraîne pendant un an avec son ex-petit ami Marc Maury. Après avoir terminé troisièmes aux Championnats d’Europe 1989 sur les arènes de La Haye, elle et son mari acceptent de débuter l’entraînement avec le groupe de Thierry Blancon.
En 1991, elle a eu sa première fille, mais elle est ensuite restée partiellement paralysée pendant un certain temps. On lui a diagnostiqué une polyarthrite rhumatoïde. Après avoir été plâtrée pendant deux mois, elle reprend l’entraînement six mois avant les Jeux olympiques d’été de 1992 à Barcelone en portant un corset. Elle fait un saut de 1,91 mètres mais manque d’un centimètre la norme olympique.
Après avoir subi une rupture partielle du tendon d’Achille en 1995 et avoir raté d’un centimètre la hauteur de qualification pour les Jeux olympiques d’été de 1996 à Atlanta, elle décide de mettre fin à une carrière qui lui a valu 43 sélections en équipe de France au saut en hauteur entre 1981 et 1996. Pendant plus de 20 ans, elle détient les records de France du plus haut niveau cadets, juniors, espoirs et seniors de saut en hauteur.
Maryse Éwanjé-Épée est une personnalité de la radio depuis quelques temps et est un visage bien connu de RMC. La journaliste sportive des Grandes Gueules a dévoilé à ses abonnés Twitter quelques déboires personnels.
Maryse Éwanjé-Épée est une de ses anciennes athlètes qui a fait une transition en douceur vers un nouveau domaine. Elle est spécialiste des sauts en haute altitude et a longtemps détenu le record de France dans cette épreuve. Après avoir bien gagné sa vie en couvrant les championnats d’Europe en salle, elle a pris sa retraite en 1995 et est aujourd’hui, à 58 ans, l’une des reporters sportives les plus admirées en France.
Elle a été embauchée par le CMR en 2003 et a depuis gravi les échelons pour devenir membre régulier du personnel. Elle est une habituée de l’émission Les Grandes Gueules, diffusée tous les samedis matins depuis 2012 et est l’invitée du Moscato Show, animé par l’immense populaire Vincent Moscato, depuis des années.