Lisa 3 Ans Battue A Mort – Après la mort de Lisa, une fillette de 3 ans, la ville entière a été bouleversée et le chant « Il faut être fou pour battre un bébé à mort » est devenu monnaie courante. Lisa, une fillette de 3 ans, est décédée après avoir subi plusieurs actes de violence au cours d’une année.
Elle est finalement passée à une autre chose après avoir appelé la police à deux reprises. Mais à ce jour (mardi 26 septembre 2023), “il est établi que ni la justice, ni la gendarmerie, ni l’Aide sociale à l’enfance n’avaient reçu de signalement concernant la situation de cet enfant”, selon le procureur.
Pour le dire, un événement traumatisant pour les quelque 5 000 habitants de Conches-sur-Ouche (Eure) et pour la communauté isolationniste française dans son ensemble. Beaucoup de questions se posent quatre jours après la mort de Lisa, trois ans plus tard.
Sa mère, 27 ans, et son beau-père, 29 ans, tous deux au chômage et connus respectivement pour trafic de drogue et infractions au code de la route, ont été mis en examen pour “meurtre sur mineur de moins de 15 ans”. ” et purgent actuellement une peine de prison. La mère fait également l’objet d’une enquête pour avoir prétendument refusé de lui prodiguer des soins et refusé de porter plainte.
Cette issue tragique aurait-elle pu être évitée ? Pourquoi personne n’a-t-il remarqué ou commenté cela ? Des enquêtes sont actuellement en cours pour vérifier un certain nombre de détails, notamment au sein de l’école et auprès des voisins et des membres de la famille.
Le directeur de l’école maternelle a suspendu l’élève.
Certaines actions ont été prises immédiatement. Après avoir appris lundi 25 septembre que Lisa, née le 3 octobre 2019 et inscrite au collège de l’école Le Chêne au Loup à Conches-en-Ouche, était décédée, les administrateurs de l’Office régional de l’éducation de France ( La Direction des services départementaux de l’Éducation nationale (DSDEN) de la région de l’Eure et la Direction régionale de l’éducation nationale de Normandie ont décidé de mettre en congé administratif le directeur de l’établissement et d’ouvrir une enquête sur les causes
Une longue histoire de violences perpétrées
Samedi soir, les pompiers ont retrouvé Lisa inconsciente au domicile du couple, que le procureur a décrit comme étant dans “un état de crasse total et des conditions insalubres”, avec “le plus grand désarroi” dans chaque pièce. Le médecin du CHU qui a examiné la femme a constaté qu’elle présentait “des hémotomes d’âges différents affectant tout le corps”.
Pendant leur surveillance, les parents de l’enfant ont d’abord essayé de faire croire que leur fille avait eu une crise de colère, était tombée et avait été blessée. Ils ont finalement admis aux enquêteurs qu’ils avaient fréquemment recours à des châtiments corporels contre la petite fille pour lui donner une leçon lorsqu’elle faisait une erreur.
Je me bornerai à dire : « Le récit qu’il fait de certaines de ces scènes de violence est invraisemblable. Le procureur de la République d’Evreux, Rémi Coutin, a déclaré aujourd’hui qu’il ressortait clairement du témoignage de Lisa qu’elle avait oublié les sévices à plusieurs reprises au cours de la période. ces dernières semaines ou quelques mois.
Besoin d’appeler le 119 ?
Est-il concevable que personne n’ait été tenu pour responsable de quoi que ce soit depuis le début des violences fin 2022 ? Est-il possible que personne à son école maternelle n’ait remarqué qu’elle avait l’habitude de montrer des séquelles apparentes consécutives aux coups portés ? Est-il possible que personne n’ait remarqué l’extrême violence et la douleur incontestablement atroce qui se déroulaient juste devant leur porte ?
Étant donné que la jeune fille était scolarisée depuis au moins la rentrée 2023-2024 (au moins au milieu de la tranche d’âge maternelle), l’absence de réanimation pose question, comme l’a souligné le juge. Il semble également qu’un ami de la famille ait tenté d’appeler le 119 pour alerter les autorités quelques jours avant les événements, mais sans succès et n’a pas réessayé. Des efforts de recherche supplémentaires ont été déployés.
Lisa, 3 ans, a été retrouvée morte chez elle dans la nuit du 24 au 25 septembre 2023. La mère et le beau-père de la jeune fille l’ont battue à mort. Lisa, une fillette de 3 ans, a été retrouvée morte à son domicile de Conches-en-Ouche, en France, dans la nuit du 23 au 24 septembre, à minuit.
Malheureusement, lorsque les secours sont arrivés pour soigner l’arrêt cardiaque de la jeune fille, elle était déjà morte et couverte d’ecchymoses. En conséquence, la mère de 27 ans et le père de 29 ans, tous deux au chômage, ont été convoqués. Ils connaissaient déjà la police. Lundi 25 septembre, ils ont été placés en garde à vue et présentés devant un juge d’instruction, comme le rapporte France 3.
Mère et père profitent d’un moment aux aveux
Le procureur de la République d’Evreux Rémi Coutin a rappelé lors d’une conférence de presse le 26 septembre que Lisa présentait plusieurs hématomes sur tout le corps, comme le rapporte RMC.
La mère de la jeune fille, âgée de 27 ans, et son père, âgé de 29 ans, avaient initialement imputé les fréquents bleus et saignements de la jeune fille à des accidents et à des accès de colère.
Les deux hommes ont finalement accepté ce qui s’était passé entre samedi et dimanche soir. La mère et le père ont fait l’objet d’une enquête pour implication possible dans la mort d’un mineur ou dans des actes de violence contre un mineur de moins de 15 ans. Ils promeuvent activement l’isolement permanent.
Une enquête formelle a été ouverte contre le directeur.
Le président du tribunal se demandera pourquoi cette petite fille, victime d’agressions répétées, n’a pas été signalée. L’entreprise de parquet, la police , ou les services de protection de l’enfance “n’avaient pas été prévenus”, a-t-il déclaré.
Nos sœurs et frères rapportent que la directrice de l’école primaire où la jeune fille a été scolarisée a été temporairement démis de ses fonctions par le rectorat de l’Académie de Normandie.
Tous les cinq jours, un enfant est assassiné par ses parents.
Un ami du couple avait appelé la hotline “Allo enfance en danger” (119) pour tenter d’alerter les autorités sur la situation, comme l’a indiqué le procureur. Malheureusement, la demande dépassant l’offre, elle a abandonné et est partie. Lisa, qui n’avait que trois ans lorsqu’elle a été tuée par ses parents, allait bientôt fêter son anniversaire.
Selon le Fonds des Nations Unies pour l’enfance (Unicef), en 2022, un enfant en France est assassiné par un parent tous les cinq jours en moyenne. Bébé retrouvé mort à Lunel ; L’avocat du frère de Kenzo répond aux préoccupations de Midi Libre.
Lisa, 3 ans, a été mortellement battue dans la nuit de samedi à dimanche et est décédée. La mère de la jeune fille et le père de son fiancé ont été arrêtés et soumis à une enquête pour « meurtre ». Un témoin oculaire parmi les voisins immédiats du couple a vu le drame se dérouler cette nuit-là.
Lisa, trois ans, a été mortellement battue au domicile familial à Conches-en-Ouche (Eure) dans la nuit de samedi à dimanche. La mère et son compagnon ont été arrêtés et détenus dans l’attente d’une enquête plus approfondie sur les accusations de meurtre et d’agression contre un garçon de 15 ans.
L’un des voisins du couple revient le soir du drame pour répondre aux questions de RMC. Je dormais vers 23h00 lorsque j’ai repéré les gyrophares bleus. J’ai compris que c’étaient les pompiers”, a déclaré le témoin qui a demandé à rester anonyme. Ce dernier se lève et demande ce qui se passe de façon complètement inattendue.
Ma première pensée fut que quelque chose était arrivé à l’un des deux enfants alors que leurs parents étaient dehors. Ils m’ont dit qu’ils essayaient de réanimer le bébé parce qu’elle avait une crise cardiaque.
Le “camion criminel” arrive après avoir aidé les sauveteurs. Là, j’ai réalisé à quel point les choses étaient sérieuses. De plus, elle remarque que la mère « n’a pas versé une larme ». J’avais supposé qu’il s’agissait de gens ordinaires. » continua-t-elle, visiblement bouleversée.
Le grand-père de Lisa est « très perturbé » par la pièce
Le frère cadet de la victime, âgé de 6 ans, se trouvait également sur place le soir du drame. Le voisin qui a pris l’enfant sous son aile pendant quelques heures a déclaré : “Il était très, très perturbé à ce point-là”. Je lui ai donné de la cocaïne et des bonbons. Puis je l’ai ramené à la maison pour le rééduquer. Il est resté sur place jusqu’à quatre heures du matin avant que la police et les services sociaux ne viennent le chercher.
Même si cette voisine ne pouvait certainement pas imaginer une telle maltraitance envers les enfants, elle avait été témoin de la violence domestique. Je me souviens avoir entendu des enfants crier et d’autres bruits inquiétants il y a quelques mois. Je suis sorti et j’ai trouvé le père des enfants en train de démolir la voiture familiale. Puis il a violemment poussé sa petite amie.
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La jeune fille est décédée entre samedi soir et dimanche matin à l’hôpital des enfants (CHU) de Rouen, où elle avait été transférée après avoir été retrouvée inconsciente au domicile familial par les secours. Au moment de son admission, elle présentait plusieurs hématomes d’âges variés.