Lino Ventura Petit Fils – En y mettant tout mon argent, même si j’ai déjà ma propre entreprise. Ce chemin compliqué m’a été dirigé par un héritage moral. Oui, le monde du handicap n’est pas facile. Faire bouger les lignes rapidement est difficile. Pourtant, ils bougent ! Perce-Neige subventionnait d’autres projets liés au handicap jusqu’en 1995. J’ai réalisé que même si c’était bien de donner aux autres, il valait peut-être mieux se concentrer sur notre projet, sur nos maisons et sur les gens avec qui nous travaillions. puisque j’ai pris mes responsabilités pour la première fois la même année.
À partir de là, l’association s’est considérablement développée. En 2016, à l’occasion de son 50e anniversaire, elle est devenue une fondation. Je suis fier de nos 1 600 salariés, des 1 500 personnes handicapées que nous accompagnons au quotidien et de nos 500 maisons réparties aujourd’hui sur le territoire français.
Dans ce documentaire, nous espérons rassurer les parents qui craignent chaque jour pour la vie de leurs enfants à cause de leur handicap. Après, ils commencent à s’inquiéter. Notre mission est de les rassurer en leur disant : « Partez tranquilles car soyez assurés que nous sommes là ». Si le film montre que tout n’est pas rose, il montre aussi que ces gens n’étaient pas monstrueux et que nous avons vécu des expériences vraiment inoubliables avec eux. Ils ont le droit à une vie, au respect et à leur place dans notre société. On leur respecte également.
En effet, parce que Baracé est profondément lié à mon grand-père. Pendant la Seconde Guerre mondiale, alors qu’il était recherché pour avoir déserté l’armée italienne de Mussolini, il y chercha refuge. Il est né et est mort en Italie, il est donc essentiel de le savoir. Il n’a jamais demandé la nationalité française. Les locaux l’ont accueillie chaleureusement et l’ont même accueillie.
Nous aimons aussi passer nos vacances dans cette région, où il a acheté notre résidence secondaire. Des souvenirs comme ces matchs de tennis avec mon grand-père ou les balades dans les moissonneuses-batteuses avec les fermiers font partie de mes souvenirs préférés de cette époque. C’était de la mauvaise foi et il avait toujours prévu de gagner chaque point.
Je ferais ça avec plaisir ! C’est également ici qu’il a eu l’idée des maisons qu’il souhaitait construire pour les personnes handicapées. Car c’est en 1994, sept ans après la disparition de mon grand-père, que nous avons pu inaugurer notre propre maison à Baracé. Et enfin, c’est là que vit ma chère Linda.
Que dirait ton grand-père de tout ce voyage maintenant ?
Vous répondre à votre place est difficile. Quand je serai installé à côté de lui, je vous le dirai. Une chose est sûre : je fais tout ce qui est en mon pouvoir aujourd’hui pour le rendre fier de ce que j’ai accompli. Je suis resté fidèle à ses idéaux.Le roman de Clélia et Léon Ventura, Attends-moi mon amour, révèle un Lino Ventura très irrité envers sa femme Mouky, dont il fut séparé pendant quatorze mois en 1942. Le mardi 17 août, au Petit Théâtre impérial de Vichy, le duo d’auteurs se produira.
Ses films mythiques, comme Les tontons flingueurs, L’armée des ombres, Garde à vue, Le clan des Siciliens, etc., viennent immédiatement à l’esprit lorsque l’on évoque le nom de Lino Ventura. Ce n’est pas Clélia Ventura et Leon Ventura, ses enfants, qui nous invitent à rencontrer ce héros hollywoodien. Mais plutôt « un héros de l’amour » dans le livre que leur mère et leur fils ont co-écrit, Attends-moi mon amour (Éd. Flammarion).
Les invités de “20h30 le dimanche” sur France 2 le 11 avril 2021 étaient Léon et Clélia, respectivement petit-fils et fille de Lino Ventura. Ils ont dévoilé un visage caché de l’éminente comédienne qui adorait écrit amoureux à l’amour de la vie.
Lino Ventura a eu la grande chance de tomber follement amoureux de la femme qui ne le quittera jamais avant de devenir le célèbre acteur que tout le monde connaît et aime. Il s’agit d’Odette, sa compagne de toujours. En effet, il n’a jamais cessé d’écrire ses chansons d’amour tout au long de sa vie. En effet, comme l’ont révélé les petits-fils et la fille de Lino Ventura Clélia sur le plateau de 20h30 le dimanche 11 avril 2021, l’acteur écrivait régulièrement de douces lettres d’amour à sa femme.
La belle histoire d’amour qu’il a vécue est racontée dans un livre qui lui est dédié, Attends-moi mon amour, de Lino et Cléclia Ventura. “Il avait un amour délicieux… En effet, Clélia Ventura s’est confiée à son mari en disant : “Je crois que l’on peut abattre des montagnes avec l’amour”. Leur fille a choisi pour conserver une des nombreuses lettres écrites par Lino Ventura et adressées à Odette qui a accepté de sortir Laurent Delahousse de son emprise et de lui montrer.
Celui que j’ai depuis très longtemps est quelque chose qui me tient à cœur. Elle a déclaré : « Je t’aime c’est tout », avant de révéler le célèbre mot : « Je garde celui-ci qui ne me quitte jamais ». Clélia a précisé que ce télégramme avait été rédigé le 8 janvier 1942. Et ce télégramme fait partie de l’histoire car il a été écrit le 8 janvier 1942. Durant les treize mois où il fut contraint de porter les armes pendant la guerre, il écrivit au moins 300 lettres à son amour de toujours.
Un papy aux multiples facettes, Lino Ventura
Ces lettres ont eu une grande importance pour Léon. Bien qu’il n’ait jamais vu son grand-père, ils lui ont permis de voir une autre facette de l’acteur. avant d’ajouter que sa mère n’avait jamais a cessé de parler de son grand-père talentueux et de sa vie mouvementée. Le souvenir de Lino Ventura vivra chez sa fille et son petit-enfant. Dans “Attention, mon amour”, un carnet rédigé à bord d’un colisée à Argelès, il décrit ces aspects et d’autres du mythe. Nous avons rencontré ces personnes à Paris. “Lino Ventura, la part intime” rendra hommage à l’artiste dimanche à 23h40 sur Arte.
Le souvenir de Lino Ventura vivra chez sa fille et son petit-enfant. Parallèlement à eux, une autre partie du mythe émerge. Alors qu’il était enrôlé dans les forces de Mussolini en 1942, l’acteur écrivit près de 300 lettres à sa femme Odette au cours de ses douze mois de captivité. “Attention, mon amour” est le roman de Clélia et Léon, basé sur leur journal intime depuis un navire au cœur d’Argel. C’est à Paris que nous les avons rencontrés pour la première fois. D’ailleurs, Ghislain Loustalot, notre reporter, aura l’occasion de les interroger sur leur film préféré de Lino Ventura.
Clélia Ventura : “Le silencieux” de Claude Pinoteau, si je devais n’en choisir qu’un. Mon père a eu quelques répliques dans le film, mais sa performance est extrêmement discrète. Il y a une scène solitaire qui me fait pleurer à chaque fois que je la regarde. C’est l’histoire de lui qui se bat seul contre tout le monde, tout comme il le faisait pendant la guerre lorsque ma mère était séparée de lui, et cela m’est également arrivé dans ma vie.
Le film n’a pratiquement pas de tête ni de file d’attente, et il n’est même pas près d’être le meilleur que mon père ait fait. Mais peu importe : cette bande de potiers (ils portent d’ailleurs leur propre nom) qui éclate et éclabousse, fait de la pâte et mange tout, cette joie fondamentale, cette collaboration, c’est absolument formidable, et ça me fait vraiment écho, pour qui l’amitié est très essentielle. « Mon grand-père Lino Ventura a mis en jeu sa notoriété pour que le handicap ne soit plus tabou en France », écrit Christophe Lasserre-Ventura.
France 3 sera diffusé le lundi 4 décembre 2023. Un documentaire adorable et touchant, “Le rêve de Lino” nous emmène dans une des maisons de retraite de Perce-Neige pour voir le quotidien des résidents. Le petit-fils de l’acteur français témoigne de la relation étroite que son grand-père entretenait avec une région en guérison pour lui en tant qu’actuel président bénévole de la fondation.
Votre grand-père Lino Ventura a fondé Perce-Neige en 1966. Quand avez-vous décidé d’en reprendre les rênes ?
Être Christophe Lasserre-Ventura : C’est une vieille histoire qui remonte à 1984. M’ai 17 ou 18 ans. Habitant dans le sud-ouest, mes parents partent. Je déménage donc vivre chez mes grands-parents à Saint-Cloud pour pouvoir terminer mes études à Paris. Et à partir de ce moment-là, j’ai commencé à mettre un peu plus d’argent dans Perce-Neige en vendant des épingles, en travaillant l’assemblage du papier et en y accordant un peu plus d’attention.
J’apprends également à mieux prendre soin de ma tante Linda, qui est handicapée depuis sa naissance, en ce moment. En effet, dès mon plus jeune âge, mes grands-parents nous ont sensibilisés à cette problématique. Mais ici, en m’immergeant dans la marmite, je comprends mieux ce qu’est cette association et je m’insère naturellement dans le monde.
Après le décès de mon grand-père trois ans plus tard, ma grand-mère m’a proposé de rejoindre le conseil d’administration. Et c’est en 1995 que j’ai été élu président bénévole pour la première fois. Depuis, je renouvelle ce vœu chaque année. Comment avez-vous garanti la continuité ?