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Jeune Mort Nanterre
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Jeune Mort Nanterre – Il y avait deux autres personnes dans la voiture au moment de l’incident; l’un s’est enfui, tandis que l’autre, également mineur, a été arrêté et mis en garde à vue. Le dernier a été récupéré vers 1h30 aujourd’hui.

En mémoire de Omar Sy

Dès le début de l’après-midi, un groupe d’une cinquantaine de personnes s’est rassemblé sur les lieux du drame, les larmes aux yeux, pour exprimer leur « coler ». C’est tellement tragique; il était si jeune. Samia Bough, l’ancienne voisine de l’adolescente âgée de 62 ans, a déclaré en sursaut : “Je l’ai vue naître” en déposant un bouquet de roses jaunes.

La victime était bien connue des forces de l’ordre, notamment pour son refus de négocier un plaidoyer. Le maire de Nanterre, Patrick Jarry du DVG, aurait déclaré avoir été “étouffé” par la vidéo virale du drame, qui a reçu des commentaires majoritairement de gauche.
Jean-Luc Mélenchon, le leader socialiste de France, a tweeté que la police devait être “complètement refondée” car “aucun policier n’a le droit de tuer sauf en cas de légitime défense”.

Le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin a évoqué “des images extrêmement étouffantes” à l’Assemblée nationale. L’acteur Omar Sy a tweeté : “Qu’une justice digne de ce nom soit rendue pour honorer la mémoire de cet enfant”. Il y a eu un record de 13 décès attribués au refus de se conformer aux contrôles routiers en 2022.

Mardi matin à Nanterre, un policier a pointé son arme sur un motard de 17 ans qui avait refusé d’entraver la poursuite de l’agent. La victime, une jeune coursière nommée Na’al, décède peu de temps après avoir été agressée, malgré les efforts du Samu pour la ranimer par un massage cardiaque sur place. Cette tragédie, dont les détails sont encore en cours d’élaboration, a suscité un large éventail de réponses officielles.

Où et quand l’incident a-t-il eu lieu ?

La voiture jaune a été arrêtée à 8h30 le 27 juin, derrière le quartier d’affaires de la Défense, à proximité de la gare RER Nanterre-Préfecture (Hauts-de-Seine). Des agents ont arrêté une voiture sur le boulevard François-Arago près de la place Nelson Mandela.

La majorité de ce que l’on sait jusqu’à présent se trouve dans une vidéo amateur qui a fait le tour des réseaux sociaux. Deux policiers ont arrêté une voiture jaune ; l’un parle au conducteur par la fenêtre ouverte de la voiture, tandis que l’autre, posté devant le côté passager de la berline, tient l’homme sous la menace d’une arme.

La scène a été filmée du côté opposé de la voiture. La voiture redémarre brusquement, et l’officier démarre. Le jeune conducteur avait été touché au thorax par une balle perdue, et la voiture s’est retrouvée prise au piège dans un fossé à quelques dizaines de mètres plus loin.

Bien que le Samu sur place lui administre un massage cardiaque, la victime décède peu de temps après avoir été agressée. Sa mort a été découverte vers 9 h 15. Il y avait deux autres personnes dans la voiture au moment de l’incident; dont le premier a pris la fuite et est toujours recherché. Le deuxième suspect, également mineur, a été interpellé et détenu dans un quartier de vigilance jusqu’en début d’après-midi, date à laquelle il a été relâché en attendant son audition.

Les premières informations de l’enquête, telles que rapportées par une source policière, suggèrent que la Mercedes AMG en question a été louée et a été arrêtée par les autorités pour avoir enfreint plusieurs codes de la route. Après s’être immobilisé devant la police motocycliste, le conducteur a brutalement redémarré le véhicule.

Les demandes

Pour refus d’obtempérer et tentative de meurtre sur un fonctionnaire en position de confiance, la police de Nanterre et la police territoriale des Hauts-de-Seine ont ouvert une enquête, comme en témoigne le parquet.

L’Inspection générale de la police nationale (IGPN) a été chargée d’enquêter sur une affaire distincte de meurtre commis volontairement par un agent public. Depuis l’Assemblée nationale, le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin a annoncé : « Les policiers sont actuellement auditionnés par les services de justice.

Le parquet de Nanterre a annoncé que l’un des policiers impliqués dans la mort d’un adolescent chauffard de 17 ans, mardi, a été placé en garde à vue pour suspicion “d’homicide volontaire”.La mort d’un chauffard de 17 ans a été imputée au refus de l’officier de bouger, et le parquet de Nanterre a annoncé mardi que l’officier était détenu pour “homicide volontaire”. Différentes opérations de détection d’alcoolisme et de consommation de drogue sur le salarié “se sont avérées négatives”, précise explicitement le parquet.

La Mercedes louée aurait commis de multiples infractions, comme en témoignent les premières pistes de l’enquête. L’agent a alors braqué son arme sur la poitrine du chauffeur. Mais une vidéo devenue virale sur les réseaux sociaux et vérifiée par l’AFP jette un sérieux doute sur ce compte.

Les images semblent montrer que l’un des deux policiers qui ont répondu tenait le conducteur sous la menace d’une arme avant que la voiture ne redémarre. Selon le parquet, la victime était bien connue des services de police, notamment pour avoir refusé à plusieurs reprises d’obtempérer, une affirmation contestée par les avocats de la famille.

Le parquet de Nanterre a déclenché deux enquêtes distinctes. Il y a un dossier ouvert si vous refusez d’obtempérer et faites une tentative de meurtre contre un agent public. L’IGPN est également chargée d’enquêter sur les cas de meurtre commis par un agent public dans l’exercice de ses fonctions. La famille de la jeune victime a fait part de son intention de porter plainte contre l’officier responsable de la fusillade.

Le parquet a précisé qu'”une autopsie et des examens complémentaires, notamment dans le domaine de la toxicologie, ont été ordonnés et doivent être pratiqués” mercredi. Il s’est engagé à porter plainte contre l’officier responsable de la fusillade. Le parquet a précisé qu'”une autopsie et des examens complémentaires, notamment dans le domaine de la toxicologie, ont été ordonnés et doivent être pratiqués” mercredi.

Jeune Mort Nanterre

Les tensions à Nanterre conduisent à l’arrestation de 24 personnes.

Suite à des incendies sur des chantiers et des tensions avec les forces de l’ordre déployées dans la ville de Nanterre, la préfecture de police a fait état d’au moins 24 personnes interpellées dans la nuit de mardi à mercredi. Le ministère de l’Intérieur a indiqué à l’AFP que deux unités de la force mobile seraient stationnées dans la nuit à Nanterre. Parmi les personnes déployées figureraient des membres de l’unité CRS 8, dédiée à la lutte contre les violences urbaines.

Le chef de la police provinciale a fait état de “mouvements sporadiques” dans plusieurs quartiers et a déclaré que des “événements” se produisaient toujours, mais avec moins d’intensité. Sur le terrain, l’AFP rapporte qu’un incendie de voiture a illuminé les rues de Pablo Picasso City.

Les forces de l’ordre ont tenté de disperser de petits groupes d’émeutiers en les aspergeant de gaz lacrymogène. La préfecture de Nanterre a essuyé des tirs après que de fausses bombes ont été tirées dans la région. Une alarme a été déclenchée dans une école de musique et les pompiers ont répondu rapidement à l’incendie.

La préfecture de police de Paris rapporte que la situation était sous contrôle peu avant minuit, mais que des “incidents très sporadiques” avaient éclaté dans d’autres communes franciliennes comme Asnières,La colère ne revient pas. Après qu’un motard de 17 ans a été tué mardi en raison du refus d’un policier de lui barrer la route, les tensions et les échauffourées se sont poursuivies

L’émotion et la colère ont été suscitées par la mort de l’adolescent et ses circonstances à Nanterre, une banlieue très appréciée de Paris.Le chef de la police a indiqué que quinze personnes avaient été arrêtées à minuit.

Incidents “sporadiques” en Ile-de-France à Paris

La préfecture des Hauts-de-Seine a fait état de “mouvements sporadiques” dans plusieurs zones. Malgré les assurances de la préfecture de police selon lesquelles la situation était « contenue » peu avant minuit, les tensions se sont poursuivies et se sont propagées à d’autres banlieues parisiennes du nord-ouest. Selon la même source, il y a eu des “incidents diffus” dans les villes françaises d’Asnières,

Des cadavres artificiels ont été exhumés près de la préfecture du département à Nanterre. Une alarme incendie s’est déclenchée dans une école de musique et les pompiers sont rapidement arrivés sur les lieux.

Plusieurs voitures, ainsi que des poubelles et des abribus, ont été incendiés et détruits le long des voies du RER A entre Nanterre et Rueil-Malmaison. Certains manifestants ont érigé des barrières. Les forces de l’ordre ont utilisé des canons à gaz lacrymogène à plusieurs reprises.

Il y a eu deux enquêtes actives jusqu’à présent.

Une enquête sur le refus d’obtempérer et la tentative d’assassinat d’un agent public a été ouverte à la suite du décès de Nal M.. L’IGPN (Inspection générale de la police nationale), la police de la police, s’est vu confier une nouvelle enquête pour une affaire de meurtre commis volontairement par un agent public. La police a placé le suspect de 38 ans en garde à vue, soupçonné de meurtre de sa propre main.

Me Yassine Bouzrou, l’avocat de la famille, a annoncé qu’ils déposeraient deux plaintes « ces prochains jours ». Le premier poursuivra le tireur pour meurtre intentionnel, tandis que le second poursuivra son complice. L’avocat a annoncé qu’une deuxième plainte sera déposée contre la police pour avoir fait de fausses déclarations par écrit.

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