Imane Tsunami Décès – Il a été annoncé le 17 octobre que la chanteuse populaire Cheikha Tsunami, de son vrai nom Imane Bahiji, était décédée à l’âge de 45 ans. Après avoir lutté contre une maladie dont la cause reste entourée de mystère et de rumeurs, elle a finalement abandonné et est décédée à Rabat. Hôpital militaire.
Le diagnostic d’empoisonnement a été posé fin août, alors que le chanteur était soigné dans une clinique privée de Casablanca, une version confirmée à plusieurs reprises par le manager du chanteur, Oussama. Dans une interview, la chanteuse a révélé avoir été poussée au sol à plusieurs reprises. Cependant, Sara, la sœur de l’artiste, affirme que Cheikha Tsunami était atteinte d’un cancer, un fait que la famille espérait garder secret.
Cheikha Tsunami est née à Marrakech en 1978 ; son père est mort avant sa naissance, il a donc été élevé par sa mère. Sa passion pour la musique l’a amenée à Casablanca dès l’âge de 15 ans, où elle a été guidée et protégée par un autre artiste.
Même si elle a commencé à chanter lors de mariages et autres cérémonies, c’est son travail avec des artistes confirmés comme Oulad El Bouazaoui et Stati qui lui a valu une large reconnaissance. Elle se distinguait dans le genre chaabi grâce à sa voix forte et sa présence scénique imposante, et elle était également une grande fan de musique arabe traditionnelle.
Imane Bahiji, la chanteuse, a été surnommée « Cheikha Tsunami » pour la puissance explosive de ses prestations live. À chaque représentation, elle déclenchait une vague de vitalité et d’émotion qui engloutissait son public. Elle ressemblait à un tsunami dans la mesure où elle pouvait faire trembler le sol sous les pieds de chaque spectateur à son passage. Ce dernier nom était à la mesure de son influence, laissant une marque indélébile sur son public.
De nombreuses personnalités éminentes de la communauté artistique ont exprimé leur tristesse face à son décès et ont présenté leurs condoléances à sa famille depuis l’annonce de son décès. Sur les réseaux sociaux, des milliers et des milliers d’admirateurs pleurent la perte de cette icône de la musique marocaine.
Cheikha Tsunami laisse derrière elle un héritage musical incomparable et un vide énorme dans le cœur de ses admirateurs. Que son âme repose en paix. Il existe des équipes dans le football qui, quoi qu’il arrive, continuent de briller et d’inspirer les nouvelles générations de supporters. Les Lions de l’Atlas du Maroc sont désormais classés 13èmes au monde, consolidant ainsi leur statut de meilleure équipe d’Afrique et du monde arabe.
Sous la direction de Walid Regragui depuis septembre 2022, l’équipe nationale marocaine a fait preuve d’une détermination sans égal face à l’adversité. Parmi les exemples récents, on peut citer un match nul sans but à Abidjan contre la formidable équipe nationale de Côte d’Ivoire. Cependant, Regragui a souligné que pour remporter une CAN, il faut être prêt à relever des défis et “il faut souffrir”. même si la performance n’est pas à la hauteur des attentes.
Le 24 mars au Grand Stade d’Agadir, les Lions affronteront l’équipe nationale libérienne. Tandis que le Maroc s’efforce de retrouver son style de jeu caractéristique, le Libéria se prépare pour la phase de groupes de la Coupe du monde 2026.
Il est crucial pour le Maroc de gagner et de convaincre malgré l’absence d’acteurs clés comme Sofyan Amrabat et Hakim Ziyech. Les supporters déçus par la performance de l’équipe contre la Côte d’Ivoire espèrent un nouveau départ.
L’effervescence à Agadir est palpable. Il y a eu des photos de fans impatients attendant d’acheter des billets. Les supporters espèrent voir El Kaabi, auteur du but égalisateur contre les Ivoiriens, dans le onze de départ le jour du retour de Ziyech. Toutefois, des difficultés persistent. Qui prendra la relève en tant qu’intermédiaire principal après le départ d’Amrabat ? Ni Noussar Mazraoui ni Selim Amallah n’ont réussi à convaincre personne jusqu’à présent.
Une chose est néanmoins sûre : les Lions de l’Atlas sont prêts à confirmer qu’ils font la fierté du football africain et arabe avec leur nouveau classement FIFA et le soutien indéfectible de leur public.
Le récent conflit entre les États-Unis et la Chine semble avoir eu un effet déstabilisateur sur le Maroc. Selon le prestigieux « Financial Times », les entreprises chinoises cherchant à pénétrer les marchés européens et américains se tournent de plus en plus vers le Royaume-Uni comme tremplin.
A titre d’exemple de cette croissance, la société chinoise « CNGR Advanced Material » prévoit d’investir 2 milliards de dollars au Maroc pour construire une usine de cathodes qui approvisionnera les marchés européen et américain des batteries.
Cette fascination pour le Maroc est déplacée. Le patron du CNGR Europe, Torsten Lars, a qualifié le Maroc de « lieu extraordinaire » pour les entreprises chinoises qui cherchent à se développer sur les marchés occidentaux. Il compare la rapidité de la procédure d’approbation au Maroc à celle de l’Europe et des Etats-Unis, où les longues formalités administratives sont la norme.
Le potentiel du Maroc est renforcé par l’inclusion du pays dans le projet « Route de la Route de la Soie » du président chinois Xi Jinping et par la position prééminente du pays dans les réserves mondiales de phosphate, un ingrédient clé de certains types de batteries.
Des annonces d’investissement supplémentaires de la part de sociétés comme LG Chem et Huayou Cobalt montrent que la position stratégique du Maroc sur l’échiquier mondial est de plus en plus reconnue.
Le Maroc, de par sa capacité à lancer rapidement des projets et ses liens forts avec l’Europe, devient rapidement un incontournable pour les entreprises chinoises, alors que l’Indonésie était auparavant le principal acteur de la chaîne d’approvisionnement en batteries.
Les liens stratégiques entre Libreville et Rabat ne se sont pas affaiblis malgré le coup d’État qui a renversé “l’ami du royaume” Ali Bongo. Cette détermination s’est manifestée lorsque le gouvernement de transition du Gabon a accueilli l’ambassadeur du Maroc, réitérant son soutien à la souveraineté marocaine sur le Sahara.
Le représentant du Gabon a salué le “plan d’autonomie” du Maroc de 2007 lors d’un discours aux Nations Unies, le qualifiant de “proposition constructive” pour résoudre la question du Sahara. Le diplomate gabonais a également salué les efforts du Maroc pour améliorer les indicateurs de développement humain dans les provinces du sud-ouest du pays et a souligné les progrès
Par ailleurs, Libreville se souvient de l’ouverture de consulats à Laâyoune et Dakhla et continue de soutenir les efforts de l’envoyé spécial de l’ONU pour le Sahara. Il y a une semaine, le général Bress Oligui Ngima, président par intérim du Gabon, a rencontré l’ambassadeur du Maroc à Libreville, Abdullah Sabihi. L’importance de poursuivre et de renforcer la coopération Sud-Sud entre ces deux pays a été soulignée.
Hier vers 19h00 heure locale, une tragédie a frappé la capitale belge lorsque des coups de feu ont résonné à proximité d’un stade de football. Un terroriste a ouvert le feu sur un groupe de partisans suédois sortant d’un taxi, tuant deux personnes et en blessant plusieurs autres. L’une des personnes décédées était suédoise et une autre pouvait avoir la double nationalité suédo-suisse. Une autre victime, un ressortissant suédois, se trouve dans un état critique.
Abdesalem L., un Tunisien de 45 ans, est l’auteur de cette attaque, et il a échappé à la capture. Bien qu’il ait été sur le radar des autorités en 2016, le procureur fédéral n’a trouvé aucune preuve de radicalisation.
La surveillance policière a donné lieu à un interrogatoire à Schaerbeek ce matin. Une arme semblable à celle utilisée lors de l’attaque a été trouvée à proximité de l’endroit où cette personne a été vue pour la dernière fois. La ministre belge de l’Intérieur, Annelies Verlinden, a déclaré que le suspect avait reçu des soins médicaux pendant sa détention et qu’il recevait actuellement des soins intensifs. Les enquêteurs ont également diffusé des vidéos justifiant l’attaque et reliant l’auteur à l’État islamique.
Directement à la suite de l’attaque, le match de football entre la Belgique et la Suède a été brusquement interrompu. Après avoir été confinée un moment, la foule de 35 000 personnes a dû être évacuée. Les supporters suédois ont également bénéficié d’une protection policière lors de leur transport à l’aéroport.
Le Premier ministre belge a réagi en élevant l’état d’urgence pour cause de terrorisme au niveau le plus élevé possible, 4. Cela signifie que la police et les forces de sécurité de la ville ont été considérablement renforcées. Le groupe de travail fédéral d’enquête sur le terrorisme mène actuellement l’enquête en cours.
Dans la matinée du 16 octobre, des unités de la Brigade Nationale de la Police Judiciaire (BNPJ) ont mené une opération massive qui a permis de démanteler un important réseau criminel spécialisé dans la falsification de papiers officiels.
Cette organisation utiliserait ces actes frauduleux pour acquérir frauduleusement des biens immobiliers, privés ou publics. Vingt et un membres du réseau, dont des personnalités comme un adoul, un fonctionnaire municipal et d’autres fonctionnaires, ont été arrêtés.
Ces personnes auraient falsifié des titres de propriété, mais elles auraient également volé des identités pour tromper et extorquer toute personne tentant de quitter le pays. Les victimes ont été attirées dans une fraude bien orchestrée en se voyant proposer de faux visas et contrats de travail en échange de grosses sommes d’argent.
Les efforts de coopération de la DGST et du BNPJ ont conduit à ces arrestations, qui faisaient suite à des opérations coordonnées dans différentes localités du pays, notamment à Béni Mellal, Ouarzazate et Azrou.