
Fils De Sophie Toscan Du Plantier – Il a affirmé à plusieurs reprises dans les pages du Parisien que cet individu “est un personnage d’une perversion totale”. Pierre-Louis Baudey-Vignaud, qui gardait la résidence dans laquelle Sophie Toscan du Plantier a été assassinée, a déjà été contraint de croiser la route de l’homme qu’il estime responsable du meurtre.
Meurtre de Sophie Toscan du Plantier : son fils est “impatient” d’apprendre la vérité. Pierre-Louis Baudey Vignau, fils de Sophie Toscan du Plantier, répond à l’examen de la demande d’extradition de la France concernant Ian Bailey, condamné par contumace à 25 ans de prison en 1996 pour le meurtre de sa mère.
Sophie Toscan du Plantier, dont le fils Pierre-Louis Baudey Vignau porte le nom, a été assassinée en Irlande la veille de Noël 1993. Il n’avait alors que 15 ans. Ce 20 janvier est une journée charnière dans sa quête pour connaître la vérité sur le meurtre de sa mère.
Le principal suspect dans cette affaire, Ian Bailey, a demandé son extradition vers la France, et la Cour suprême irlandaise va réexaminer cette demande. En France, il a été condamné à 25 ans de prison pour outrage.
Ce matin, sur RTL, il a déclaré : “Ma mère a été assassinée il y a 23 ans en Irlande, et je me bats contre cette affaire presque chaque jour, chaque année, chaque décision dans un feuilleton juridique et politique entre la France et l’Irlande”.
Expliquant que “le mandat d’arrêt d’extradition émis par la France à la suite de sa condamnation est étudié par l’Irlande depuis plusieurs mois maintenant”, il précise que Ian Bailey est “coupable depuis mai 2019 puisqu’il a été condamné par un tribunal de culs en France” et qu’il reste “soumis au contrôle judiciaire en Irlande”.
C’est la troisième fois que le pays examine une telle demande. Pourtant, celle-ci est « particulière » aux yeux de Pierre-Louis Baudey Vignau. En fait, il s’agit du « premier mandat de condamnation ».
Il affirme en outre que les circonstances actuelles en Europe faciliteront cette extradition. Étant donné que l’Irlande tient absolument à rester dans l’Union européenne, le climat politique actuel est unique en son genre. Maintenant, elle doit aussi prouver qu’elle est prête à respecter les lois votées par les Etats membres de l’Union européenne.Le fils de Sophie Toscan du Plantier : “Nous progressons sur le chemin de la vérité.”
La cour d’appel de Paris a jugé que le ressortissant britannique Ian Bailey devait être jugé pour le meurtre de Sophie Toscan du Plantier en Irlande en 1996. Une consolation pour l’unique enfant survivant de la victime, Pierre-Louis Baudey-Vignaud. La veille de Noël, alors qu’il avait 15 ans, sa mère est sauvagement assassinée.
Sophie Toscan Du Plantier Fils : Pierre-Louis Baudey
Pierre-Louis Baudey-Vignaud, fils unique de Sophie Toscan du Plantier, attendait avec impatience la décision de la cour d’appel de Paris. Lentement mais sûrement, nous progressons sur le chemin de la vérité. Notre foi dans l’idée que les charges retenues sont suffisantes pour le juger même en son absence a été récemment renforcée par le système judiciaire français.
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Le fait que l’accusé, Ian Bailey, soit susceptible de se pourvoir en cassation, ce qui retarderait encore davantage le procès, ne l’inquiète pas. Maintenant que les éruptions juridiques ont cessé, il lâche : “Cette façon de gagner de l’argent est guidée par la peur”.
Pour ma mère, la vérité est essentielle.
Le jeune père a appris la patience au cours de ce long processus et a pour objectif de faire extrader Bailey et d’avoir un procès équitable avec l’accusé présent cette fois. Mercredi 30 juin, la série documentaire Sophie : L’affaire Toscane du Plantier sera disponible sur Netflix. Le fils de la victime, Pierre-Louis Baudey-Vignaud, est né après son assassinat alors qu’elle avait 39 ans. Il n’a jamais cessé de réclamer justice, même après la mort de sa mère depuis 25 ans.
Le mercredi 30 juin, Netflix diffusera les docu-séries Sophie, l’affaire Toscan du Plantier, destinées aux fans de meurtres mystères et d’affaires non résolues. Au fil de trois épisodes, nous apprendrons ce qui s’est passé dans la nuit du 23 décembre 1996 à Tormoore, une petite ville non loin de Schull en Irlande.
Ce soir-là, Sophie Toscan du Plantier était seule chez elle. Elle lisait quand la sonnette retentit, et elle fut si surprise qu’elle ouvrit brusquement la porte sans retirer la clé de la serrure intérieure. Son livre ouvert était posé sur la table basse. Sophie Toscan du Plantier, qui n’avait que 39 ans, a été sauvagement agressée. Il a tenté de courir à travers le jardin pour s’enfuir, mais son agresseur l’a rattrapé et l’a frappé au visage avec un bloc de ciment.
Son corps, criblé de plus d’une centaine de blessures, n’a été découvert par les voisins que le lendemain matin. Dans cette enquête pour meurtre, le premier journaliste arrivé sur les lieux, Ian Bailey, est le principal suspect. Il a été condamné à une peine habituelle de 25 ans de prison en France, mais le pays n’a jamais pu obtenir son extradition. Il a toute liberté d’aller et venir depuis l’Irlande.
Le combat quotidien de Pierre-Louis Baudey-Vignau
Pierre-Louis Baudey-Vignaud, le fils de la victime, habitait non loin de l’assassin présumé de Sophie Toscan du Plantier. Lorsque sa mère est décédée, il n’avait que 15 ans. Il en possède actuellement 40. Il passe une bonne partie de ses étés dans la maison où sa mère est née et a grandi à Tormoore, en Irlande. En 2019, il confiait à Marie-Claire que de tels déplacements réguliers ne ressemblaient qu’à un pèlerinage. Au-delà du champ de bataille, Pierre-Louis Baudey-Vignaud est le directeur général d’Atlantic Reim, une société spécialisée dans l’acquisition et la gestion d’immeubles commerciaux en région Ile-de-France.
J’ai mangé des crêpes au village avec ma fille et mon fils pour la dernière fois il y a environ un an. Extrêmement violent pour moi, même si c’est de profil, dit-il. Désormais, grâce aux docu-séries Sophie, l’affaire Toscan du Plantier, Pierre-Louis n’espère plus que la justice de sa mère. “Ma mère a été assassinée il y a 23 ans en Irlande et depuis, je me bats pour que justice soit rendue”, avait-il déclaré à RTL en 2020, rappelant que
Qui est le premier mari de Sophie Toscan du Plantier, Pierre Baudey ?
La victime était auparavant mariée à Pierre Baudey avant d’épouser le producteur de cinéma Daniel Toscan du Plantier. Ils se sont mariés le 21 juin 1980 à Vouzon dans le Loir-et-Cher et ont accueilli leur fils Pierre-Louis l’année suivante en 1981. Pierre Baudey a actuellement 65 ans. Il est actuellement PDG de DPI Development et président du conseil d’administration.
Comme son fils, il espère que Sophie Toscan du Plantier bénéficiera d’un procès équitable. Pierre-Louis Baudey-Vignaud, fils de Sophie Toscan du Plantier, est toujours déterminé à ce que justice soit rendue, 25 ans après le meurtre de sa mère. Le meurtrier présumé Ian Bailey continue de circuler librement, au grand désespoir des proches des victimes.
Dans les pages du Parisien, Pierre-Louis Baudey-Vignaud raconte l’histoire d’un livre qu’il n’a jamais pu lâcher. Sophie Toscan du Plantier a été sauvagement assassinée dans sa maison de vacances à Toormore, dans le comté de Cork, en Irlande, dans la nuit du 22 au 23 décembre 1996.
Plusieurs indices pointent vers un homme nommé Ian Bailey, qui vit dans une ferme non loin de la scène du crime. Alors que Netflix enquêtait sur le meurtre de l’épouse de Daniel Toscan du Plantier pour un documentaire sur l’affaire, le fils de Toscan du Plantier, 15 ans, issu d’une précédente relation, a mis sa foi dans l’espoir qu’il avait pour sa mère depuis 25 ans.
Depuis qu’Ian Bailey a été condamné à vingt-cinq ans de prison en 2019 en France, mais que l’Irlande a toujours refusé de l’extrader, Pierre-Louis Baudey-Vignaud espère une levée de boucliers en Irlande. Il n’est pas courant qu’un homme passe trois jours la veille de Noël à nettoyer son manteau.
Juste une pièce d’un puzzle qui prend trois heures à compléter. On peut voir la folie totale de Ian Bailey, qui aurait admis avoir consommé du crack avec sa petite amie, envoyé des lettres exprimant le désir de la tuer et dit à au moins quatre autres personnes qu’il avait tué leur mère. Le fils du défunt a déclaré dans un journal parisien : “L’Irlande ne vas pas au bout de cette affaire”.
Pierre-Louis Baudey-Vignaud, aujourd’hui lui-même patriarche de la famille, ne retient pas son jugement sur l’homme qui, selon beaucoup, a tué sa mère. Il faut toujours le remettre au premier plan des discussions. Quand on n’a rien fait pour aborder un sujet aussi sombre, triste et dramatique, on a tendance à oublier à ce sujet.
