Estelle Nze Minko Parents – Comme son frère Dimitri, Jacques Blandin (alors animateur) a tout de suite reconnu son talent. Même les plus petites villes et clubs peuvent produire des champions inattendus. Vous n’avez pas besoin de vous rendre dans des discothèques chics ou dans les grandes villes pour passer un bon moment.
Le succès et le bonheur sont ce que les Nze Minko cultivent avec leur modestie, leur gentillesse et leur joie de vivre. C’est pourquoi un système de soutien solide au sein d’un club régional et une famille unie sont si importants pour eux. C’est vrai qu’« on ne s’en rend pas trop compte », poursuit Isabelle.
Estelle a à peine eu le temps de reprendre son souffle après les vacances qu’elle retrouve le championnat de Hongrie mercredi 27 décembre avec le club de Siofok, « où elle est, parmi les guillemets, une célébrité. C’est une petite ville thermale où elle a pris l’habitude de se rendre. Championnat d’Europe de handball féminin. Dimitri Nze-Minko dit : « Ma sœur Estelle ne laisse rien échapper ».
Dimitri Nze Minko, habitant de Saint-Julien-de-Concelles, parle de sa sœur Estelle alors que l’équipe de France féminine joue ce soir un match décisif contre la Serbie à l’Euro. La handballeuse française Estelle Nze-Minko participe actuellement à l’Euro féminin. Championnat d’Europe dans son pays d’origine.
Le capitaine de 27 ans du club hongkongais Siofok a déjà remporté une médaille d’argent olympique à Rio 2016 et une médaille d’or aux championnats du monde en 2017. Elle est née à Saint-Sébastien-sur-Loire (Loire-Atlantique), mais elle a passé l’essentiel de son enfance à Saint-Julien-de-Concelles.
Où son jeune frère, Dimitri, joue au football. Ce dernier a été interviewé par L’Hebdo la veille du match décisif contre la Serbie, et il nous parle de sa sœur. Votre sœur aînée (aujourd’hui âgée de 27 ans) est deux fois médaillée d’argent olympique, championne du monde de handball en 2017 et potentiellement médaillée d’or à l’Euro de ce week-end à Paris. Quand vous repensez à son incroyable parcours de frère, que voyez-vous ?
Pour faire simple, je suis fier de moi. C’est incroyable; J’essaie toujours de tout traiter. Lorsqu’elle a disputé son premier match en Division 1 féminine de football pour Toulouse à l’âge de 18 ans, c’était déjà fou. Lorsqu’elle était jeune, elle a été choisie pour jouer pour l’équipe de France, il était donc clair qu’elle avait un avenir prometteur devant elle dans le handball.
Mais je n’aurais jamais imaginé que sa vie se déroulerait si bien. Estelle, elle, n’était pas la meilleure joueuse de son équipe jusqu’à ce qu’elle débute le match à Saint-Julien et se hisse rapidement au sommet. Il lui a toujours fallu dans les clubs suivants se remettre en question, les surpasser. Elle ne laisse rien sortir du tout. C’est toute une tempête. C’est ce qui le rend unique.
D’autant plus que la tournée principale se déroule juste à côté de chez nous, je suis totalement immergé dans la compétition. Tous les matchs français pourront être vus en direct au Hall XXL de Nantes.
Même si la Russie m’a laissé une grande impression, j’espère toujours qu’elle ira jusqu’au bout. Le plus pour nous, c’est qu’Esther vient nous rendre visite pendant ses jours de repos, ce qui est toujours sympa. Parce que les rencontres annuelles sont rares, même en communication constante.
Handball. Jeux olympiques : les fiers parents d’Estelle Nze Minko assistent à la cérémonie de remise des médailles L’équipe de France féminine de handball a battu la Suède 2-1 le 6 août pour se qualifier pour la finale olympique à Tokyo. Les parents d’Estelle Nze Minko à Saint-Sébastien sont très satisfaits de ses réalisations.
Les parents d’Estelle Nze Minko, à Saint-Julien-de-Concelles, sont à l’autre bout du monde, à 11 000 kilomètres et sept heures de retard sur l’heure normale de l’Est. Mais Isabelle et Jean-Thierry Nze Minko n’ont raté aucun match du tournoi de l’équipe de France féminine de handball, pas même la demi-finale du vendredi 6 août, alors qu’ils n’étaient même pas sur place.
Depuis que nous étions à Guernesey, explique Isabelle, la mère d’Estelle, la famille a veillé à ne pas rater l’occasion de enfin la rencontrer. Avec d’autres amis, nous avons regardé le match en ligne.
La demi-finale a été tendue et difficile jusqu’à la fin, mais la conclusion a été édifiante.
Après une première rencontre mouvementée, l’équipe de France et Estelle, mutée au poste de demi-centre gauche, ont dominé l’équipe suédoise 29-27.
Les parents du joueur vedette des Blue Jays ont révélé que la seconde mi-temps, dramatique et difficile, en valait la peine pour une fin heureuse. Le sentiment qui règne dans notre maison est celui de la joie de voir notre fille atteindre sa deuxième finale olympique consécutive (après celle qu’elle a perdue contre la Russie à Rio en 2016).
Malgré le décalage horaire, les parents d’Estelle Nze Minko (29 ans) n’ont pas manqué un seul rendez-vous avec les filles d’Olivier Krumbholz. Le livre d’Isabelle Nze Minko décrit avec quelle assiduité nous avons travaillé. Par exemple, pendant nos vacances en Croatie, nous avons continué à suivre notre fille comme nous l’avons toujours fait. C’est crucial pour nous.
Estelle est ravie et savoure son accomplissement.
La famille Nze Minko est passionnée de handball et reste en contact avec l’ancien joueur français du Nantes Atlantique Handball (ex-Neptunes de Nantes), qui évolue aujourd’hui dans le club hongrois de Gyr, via WhatsApp.
Nous écrivons à Estelle le plus possible, mais ne nous parlons jamais au téléphone, comme le révèle sa mère. Elle nous a envoyé une lettre après l’entracte. Estelle est ravie d’avoir atteint la manche de championnat. Elle nous a informé qu’elle célébrerait la victoire avec les autres joueurs avant de se concentrer rapidement sur le match de championnat.
Après la fin du spectacle, la famille rentrera chez elle.
Le match pour remporter la médaille d’or se jouera soit contre la Russie (pour une revanche de 2016), soit contre la Norvège. Une ancienne retraitée de Segré pôle espoir au parcours en sélection et en club déjà impressionnant va tenter de décrocher l’or olympique avec ses coéquipières.
“Quelle source de joie d’être parent !”
En ce dimanche de football, papa est plus dans l’analyse que d’habitude. Ils nous attendaient en Russie. Tout a été minutieusement analysé. Jean-Thierry, épuisé par les douze heures de vol Rio-Paris, explique comment l’équipe les a maintenus à une distance de tir sûre tout le temps. Isabelle, la maman, est la moins pratique : “C’est une aventure humaine avant tout.” Elle continue cependant la tirade en disant : « Il y a un point de déception ». En réalité, tout le monde pariait sur l’or.
Finalement, les parents d’Estelle l’ont vue monter dans le train Paris-Nantes après avoir passé plusieurs jours avec leur fille à Rio. Désabusée, Isabelle avoue : “On n’a vu que de brefs instants du match, ça s’est très mal passé dans le train.” Ils ont appris la défaite de l’équipe de France grâce à leurs téléphones. Déception très rapide.
Jean-Thierry et Isabelle n’ont pas encore de nouvelles de leur fille, mais ils ont hâte de revoir Estelle lors de son retour dans la région de Nantucket lundi. La jeune femme a ressenti un flot d’émotions à son retour dans son pays natal. Le fier père a déclaré : “L’équipe a tout donné pour la France”. Ils ont utilisé leurs armes contre eux-mêmes et ont gagné.
Depuis l’âge de 12 ans, je suis handballeuse professionnelle. Ma vie entière a tourné autour de Je suis passionnée de handball depuis neuf ans. Cela fait maintenant deux saisons complètes que je joue pour le club SIOFOK de Hong Kong. Et sur ce, je m’en vais. Une prodige française du handball a été présentée dans une interview au média indépendant sortie Actu Team Sport.
La Française de 29 ans a été nommée MVP et elle représentera son pays lors de la prochaine finale du Championnat d’Europe féminin de handball contre la Norvège. Avant de repartir pour son prochain match en Hongrie le 27 décembre, Estelle Nze Minko fête Noël en famille à Saint-Julien-de-Concelles, dans le Vignoble de Nantes.
Le cadeau d’Estelle Nze Minko à sa famille en tant que championne du monde de handball est inestimable. Mais aussi à sa ville natale de Saint-Julien-de-Concelles et à son premier club de handball, l’Irondelle.
Un champion saint-julien
Lorsqu’elle avait 2 ans, ses parents déménagent à Saint-Julien. Longtemps, les médias ont rapporté qu’Estelle était née à Saint-Sébastien-sur-Loire, mais sa mère, Isabelle, s’empresse de préciser que sa fille a bel et bien fait ses débuts à Saint-Julien.
Là où débute sa carrière sportive avec le multisport, une initiative portée par la commission des sports départementale et soutenue par les clubs locaux. Une merveilleuse passerelle pour permettre aux enfants de trouver leur propre identité sportive. Une ligne à laquelle tout le monde peut adhérer.
