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Enterrement Nahel Samedi
Enterrement Nahel Samedi

Enterrement Nahel Samedi – A Saint-Denis, un bâtiment gouvernemental a pris feu, tandis que dans le Val-d’Oise, des flammes ont endommagé la mairie de Persan-Beaumont et le commissariat de la police municipale. Le ministre du Logement et de l’Urbanisme, Olivier Klein, l’a déclaré “acte inexcusable” sur-le-champ.

Renforts

Si la nuit a été plutôt calme à Bordeaux, Dunkerque (Nord), et Calais (Pas-de-Calais), de nombreuses autres villes ont été touchées par les événements, dont Lens et Metz, où une médiathèque a été entièrement détruite par un incendie.

Patrick Thil, conseiller culturel du maire, a été dévasté par la nouvelle, la qualifiant de “cataclysme aux proportions incroyables”. Les bus et les tramways d’Île-de-France s’arrêteront de circuler samedi soir, comme ils l’avaient fait la veille, à 21h00, dans le cadre d’un effort pour endiguer la vague de troubles.

Les renforts et aveuglements attendus des CRS entraîneront l’arrêt de tous les transports en commun de Marseille samedi à 18h12 (heure locale). Des éléments du CRS 8 axé sur les troubles urbains ont également été découverts dans la ville de Lyon.La cellule de crise permanente s’est à nouveau réunie tôt samedi matin, autour cette fois d’Élisabeth Borne, directrice de cabinet du Premier ministre. Les ministres, quant à eux, ont été invités à passer le week-end à Paris.

Alors que la France devrait accueillir la Coupe du monde de rugby cet automne et les Jeux olympiques d’été de 2024 à Paris l’été suivant, la communauté internationale continue de demander et de surveiller la réponse du pays à “l’état d’urgence”.Cette escalade de la violence et la colère de nombreux jeunes des quartiers populaires font écho aux émeutes qui ont secoué la France en 2005 suite à la mort de deux adolescents poursuivis par la police.

La nuit dernière, des violences ont éclaté dans plusieurs villes françaises alors que des jeunes des quartiers pauvres ont exprimé leur ressentiment envers les forces de l’ordre en attaquant des policiers, en détruisant des bâtiments publics et du mobilier urbain et en pillant des commerces. Le ministère de l’Intérieur fait état d’une nette diminution par rapport à la nuit précédente, avec 1 350 véhicules incendiés, 266 bâtiments endommagés ou détruits (dont 26 bâtiments municipaux et 24 écoles), et 2 560 incendies enregistrés sur la voie publique.

Afin de lui rendre hommage lors de l’inhumation de Nahel, des centaines de personnes en deuil ont envahi le funérarium de Nanterre, une mosquée voisine, et enfin le cimetière du Mont-Valérien. La cérémonie s’est déroulée dans un contexte de tensions accrues entre les groupes de jeunes et les journalistes, dont la présence avait été découragée par la famille et les amis de la victime.

les franchises et de veiller à ce que le règlement des sinistres soit effectué le plus rapidement possible. Il a également déclaré qu’il avait été demandé aux banques “la plus grande compréhension possible en termes de gestion des échéances” des entreprises et entrepreneurs concernés.

Les deux hommes, âgés de 20 et 22 ans, ont échoué dans leur tentative de recruter des membres de la communauté de Saint-Jean-d’Angély, en Charente-Maritime, par le biais d’un appel à la violence lancé à la suite de la mort de Nal et diffusé sur la plateforme de médias sociaux.

Depuis que Nahel, 17 ans, a été tuée par un policier lors d’un contrôle routier de routine, les émeutes font rage à travers la France. Le samedi 1er juillet, l’heure était au rassemblement à Nanterre. Selon “Le Parisien”, quatre jours après la mort de l’adolescent, des dizaines de personnes se sont rassemblées au salon funéraire où le corps de Nahel était détenu pour lui rendre hommage. Selon des journalistes de l’AFP, les funérailles ont commencé dans une ambiance plutôt sombre. Tout le monde, de sa famille et ses amis à ses camarades de lycée, ses voisins et ses concitoyens de Nanterre, est venu rendre hommage au jeune homme de 17 ans.

Un événement public sans présence policière

La cérémonie était auparavant fermée à la presse et aux personnalités politiques. La famille de Nahel a demandé que les journalistes n’assistent pas à ses funérailles afin d’éviter toute “ingérence médiatique”, selon un communiqué publié par les avocats Abdelmadjid Benamara, Jennifer Cambla et Yassine Bouzrou. Ils avaient déclaré :

“La journée du samedi 1er juillet sera une journée de rassemblement pour la famille Nahel”, soulignant “l’importance de donner aux familles en deuil l’intimité et la dignité qu’elles méritent pendant cette période difficile”.

Que la paix soit avec son âme et que justice soit faite. Une Nanterrienne raconte à l’AFP : “Je suis venue soutenir la mère ; elle n’avait que lui, le pauvre.” alors qu’elle quitte la maison funéraire. Les funérailles de Nahel M., un jeune homme tué le 27 juin par un policier procédant à un contrôle routier de routine, ont commencé tôt samedi matin dans une ambiance sombre à Nanterre. Afin d’avoir la cérémonie privée que la famille avait demandée, plusieurs personnes se sont rassemblées à l’extérieur du bâtiment à la fin de la journée.

Vers midi, le corbillard a quitté le cimetière. En début d’après-midi, la mosquée Ibn-Badis de Nanterre accueillera un service funèbre.Plusieurs centaines de personnes en deuil ont rempli le salon funéraire de Nanterre, une mosquée voisine et le cimetière voisin du Mont-Valérien pour l’inhumation de Nahel, comme l’ont rapporté des journalistes de l’AFP.

Une Nanterrienne qui a voulu garder l’anonymat a crié : “Paix à son âme, que justice soit faite” en quittant le cimetière. Malgré les efforts de la famille et de l’entourage, la cérémonie s’est déroulée dans un contexte de relations tendues entre les groupes de jeunes et la presse.

C’était quatre nuits violentes

Passionné de rap et de moto, Nahel a été élevé par sa mère célibataire à Nanterre et réside désormais dans un appartement bar du quartier Pablo-Picasso au pied de La Défense. Il avait abandonné l’école mais travaillait désormais comme coursier et participait à un “parcours d’incorporation” avec l’association d’aide à la jeunesse Ovale Citoyen, qui avait récemment noué un partenariat avec le club de rugby de Nanterre.

(Nanterre) Après une quatrième nuit d’émeutes en France, déclenchées par la mort de Nahel, 17 ans, qui a été abattu par un policier et enterré dans sa ville natale de Nanterre, en banlieue parisienne, le président Emmanuel Macron a été contraint de rendre compte de sa visite d’État à Allemagne samedi.

Enterrement Nahel Samedi

Même si les violences ont semblé s’apaiser dans la nuit de vendredi à samedi, les 45 000 policiers et gendarmes déployés ont mené plus de 1300 interrogatoires, comme le rapporte le ministère français de l’Intérieur.Une vidéo amateur contredisant le premier récit de la police sur la mort d’un adolescent après avoir été abattu lors d’un contrôle routier de routine a envoyé des ondes de choc dans tout le pays.

La présidence allemande a annoncé que le chef de l’Etat avait appelé son homologue pour l’informer “de la situation dans son pays” et de sa décision d’annuler une visite prévue de dimanche soir à mardi. Cela s’est produit quelques semaines seulement après une crise prolongée provoquée par la réforme controversée des allocations de retraite.

Plusieurs centaines de personnes en deuil ont rempli samedi le salon funéraire de Nanterre, une mosquée voisine et le cimetière voisin du Mont-Valérien pour l’enterrement de Nahel.Une Nanterrienne a lâché à l’AFP sous couvert d’anonymat, “Paix à son âme, que justice soit faite”.

Je suis venu aider la maman parce qu’elle est pauvre et qu’elle n’a personne d’autre.La cérémonie s’est déroulée dans un contexte de tensions accrues entre les groupes de jeunes et les journalistes, dont la présence avait été découragée par la famille et les amis de la victime.

Incendie et pillage

Tout au long de la nuit de vendredi à samedi, de nombreuses villes françaises ont été témoins d’affrontements entre les forces de l’ordre et des jeunes des quartiers populaires qui exprimaient leur colère contre la police en incendiant des bâtiments publics et du mobilier urbain et en pillant des commerces locaux.

Le ministère de l’Intérieur fait état d’une nette diminution par rapport aux chiffres de la nuit précédente de 1 350 incendies de véhicules, 266 incendies ou dégâts de bâtiments (dont 26 mairies et 24 écoles) et 2 560 incendies recensés sur la voie publique.

Le ministère a également signalé que pendant la nuit, un total de 31 commissariats, 16 postes de police municipale et 11 casernes de gendarmerie ont été attaqués, faisant 79 blessés.Même lorsque le président Macron visitait les quartiers populaires du nord de la ville en début de semaine, ces quartiers étaient à nouveau le théâtre de violences et de pillages.

Youcef Bettahar, commerçant du centre commercial de Merlan, a déploré : “Ils sont venus surtout pour casser et voler et partir”. “J’étais là jusqu’à 5 heures du matin, et beaucoup de jeunes filles et garçons sont partis avec des sacs pleins, et c’est juste dégoûtant”, a-t-elle déclaré. Au total, une trentaine de magasins du centre-ville de Lyon ont été cambriolés.

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