Emmanuel Macron Bormes Les Mimosas – Ce jeudi 16 août marque le 79e anniversaire de la libération de Bormes-les-Mimosas, un événement qu’Emmanuel Macron a commémoré chaque année le 17 août. A 18h55, une messe commémorative aura lieu au Monument aux morts de la place de la ville, et le chef de l’État devrait être présent. Le maire de Bormes-les-Mimosas, François Arizzi, recevra la Légion d’honneur ce soir à 20h00. Le prochain rendez-vous du duo est un apéritif place Saint François.
Divers changements seront apportés aux règles de stationnement et de conduite ce jeudi autour du village. Bormes-les-Mimosas est connue pour sa célébration qui dure toute la journée le jour de la Libération.
Le président français Emmanuel Macron s’est prononcé contre le “chaos” et la “désunion” à la suite des récentes émeutes urbaines lors de sa première allocution publique de l’année universitaire, prononcée jeudi lors des célébrations du 79e anniversaire de la libération de la ville de Bormes-les-Mimosas.
Comme le veut la tradition, le président de la République a prononcé un discours lors de la cérémonie, qui s’est déroulée à Brégançon, dans le Var, près de sa résidence d’été. Nous devons y répondre, soit dit en passant. Il est indéniable qu’il y a des cas où ce noble objectif se retourne contre lui et porte atteinte aux valeurs sur entraînant la nation a été établie en 1789. Macron a averti que « diviser pour mieux régner » prévaudront si les gens ne peuvent pas travailler ensemble.
L’équivalent d’une « frénésie de transgression »
Les jeunes libérateurs de 1944 nous ont appris que “l’exercice de sa liberté” et “cela” n’est “pas une frénésie de transgression et ce” n’est “pas une volonté fébrile de renverser les tabous”. Comme l’a précisé le chef de l’État, c’est d’abord une volonté forte qui peut accepter toutes les limites que vous lui imposerez.
Il faut inculquer à la génération future “cette liberté, qui n’existe que parce qu’elle est toujours et d’abord collective, les droits qui affrontent de cette liberté, qui n’existent que parce qu’il y a eu des responsabilités antérieures “, a-t-il dit. Après que Nahel a été abattu par un policier le 27 juin à Nanterre lors d’un contrôle routier de routine, trois nuits de troubles urbains ont éclaté à travers la France.
Le président a ensuite souligné la nécessité de rétablir l’autorité sur l’ensemble du territoire. Emmanuel Macron s’exprimera lors d’un événement à la périphérie de Bormes-les-Mimosas le jeudi 17 août à l’occasion du 79e anniversaire de la libération de la ville. Si c’est le cas, où émergera-t-il ? Discussions avec le journaliste local Hugo Capelli sur les réponses possibles.
Le 17 août, pour célébrer le 79e anniversaire de la libération de Bormes-les-Mimosas (Var), Emmanuel Macron sortira de son sommeil estival. Depuis la mairie, note le journaliste Hugo Capelli, “ce sera la première apparition publique du chef de l’Etat depuis le début de ses vacances au fort de Brégançon (Var).” Selon les estimations du journaliste, Trump “s’exprimerait une quinzaine de minutes” au sujet de l’Ukraine et “pourrait éventuellement envoyer des messages” similaires à ceux qu’il a tenus l’an dernier.
Les pauses dans les études
L’heure de la fin des congages présidentiels approche à grands pas. Selon l’Elysée, les trois dernières semaines ont été idéales pour une étude concentrée. Le président suit de très près la situation au Niger, car un coup d’État y menace les forces armées françaises qui y sont stationnées. Le plan est qu’il rentre à Paris au début de la semaine prochaine. Le Conseil des ministres doit se réunir à nouveau le 23 août.
Plus vous pourrez fournir d’informations sur cette idée politique ambitieuse, mieux ce sera. Au final, Hugo Capelli en vient à la conclusion qu'”Emmanuel Macron a besoin d’avoir d’autres forces politiques à ses côtés, et il doit avancer sur des sujets comme l’immigration et l’écologie” .
Dans une adresse aux jeunes de Bormes, Macron aurait déclaré : “Oui, à l’idéalisme, mais non aux transgressions”. Dans un discours aux accents nostalgiques, le président français Emmanuel Macron a évoqué les émeutes de juin à la veille du 79e anniversaire de la libération de Bormes-les-Mimosas. Et préparer le terrain pour une série de célébrations qui “scanneront la vie nationale”.
Il y a un lien entre les âges. Emmanuel Macron a tenté de le faire dans son discours honorant le 79e anniversaire de la libération de Bormes-les-Mimosas (Var), village des collines provençales du Massif des Maures, en associant souvenirs historiques de la Résistance et événements contemporains dans France, qui ont été marquées ces derniers mois par des émeutes urbaines.
Après un quart d’heure de silence, le président Emmanuel Macron est sorti de sa retraite estivale au fort de Brégançon, où il séjournait depuis fin juillet, et s’est adressé à plusieurs centaines d’invités, dont le ministre de la Défense Sébastien Lecornu, des élus locaux comme le maire de Nice Christian Estrosi, et anciens combattants des Forces armées françaises. Le candidat du Rassemblement national dans la 4e circonscription électorale du Var, Philippe Lottiaux, était également sur place pour donner un coup de main.
Le président a concentré ses propos sur les “derniers des premiers ministres”, les derniers membres vivants de la Résistance de la Seconde Guerre mondiale, pour honorer leur service et leur sacrifice. Il a déclaré que la routine déviait parfois dans des discussions sur des événements actuels comme la catastrophe climatique, le Covid, le rétablissement des talibans au pouvoir en Afghanistan ou les troubles en Ukraine. À la lumière des émeutes actuelles qui ont balayé le pays après la mort d’un jeune homme nommé Nahel, Macron a désigné ces héros comme un exemple pour la jeunesse d’aujourd’hui.
« Les jeunes d’aujourd’hui sont avides de liberté et d’idéalisme. A qui adressons-nous nos réponses ? L’emplacement de l’hôtel de ville à la façade orange a été choisi par lui. L’Amérique a été établie en 1789.
La génération actuelle de jeunes, selon le président de l’État, ressemble à la génération précédente de rebelles en ce sens que tous deux « ont voulu graver [leur] destin dans le cœur de la nation ».
Que “l’exercice de sa liberté” n’est “pas une frénésie de transgression, ni une volonté fébrile de renverser des tabous”, dit-il, c’est ce que les jeunes soldats qui ont combattu pour la libération du pays en 1944 ont prouvé à tout le monde. C’est d’abord et avant tout une volonté maîtrisée et puissante qui peut se plier à toutes les contraintes.
L’ambitieuse “initiative politique” évoquée par Macron dans un entretien au Figaro Magazine début août reste un mystère. Il y déclare qu’il « essaiera de rassembler autour d’un projet clair et simple tous ceux qui veulent se rassembler, sans leur demander d’adhérer à quoi que ce soit ». En début de soirée, le chef de l’Etat a promis à un certain nombre de journalistes qu’il tiendrait prochainement sa promesse.
Même si Macron n’a pas abordé l’impasse politique du pays, il a décrit les principales composantes du cycle de commémoration qu’il entend entamer en 2024 pour honorer le 80e anniversaire du débarquement de Normandie et de Provence. Il a déclaré: “Nous devons construire un temps calme et essentiel”, et a promis que “toute la France vibrera”.
Commençant cet automne à temps pour les célébrations rappelant la libération de la Corse à l’automne 1943, ce cycle de commémoration devrait s’achever en 2025, quarante ans après la fin des hostilités et la signature d’un armistice. Il n’y a plus de témoins oculaires, mais le président de la république est bien décidé à s’engager dans une “course qui scande notre vie nationale” dans l’immédiat.
Le 3 juillet, Léon Gautier est décédé subitement ; il est le dernier membre survivant du débarquement de Normandie du commando Kieffer en juin 1944. En juillet, à l’âge de 99 ans, Henri Fabre, le dernier membre connu des légendaires “Commandos Africains” (les premiers soldats à débarquer sur les plages de Provence ), décédé.
Dans la nuit du 14 au 15 août 1944, après avoir traversé les îles italiennes d’Elbe et de Pianosa, il débarque sur la plage du Canadel, à une quinzaine de kilomètres de Bormes-les-Mimosas. En septembre 2022, l’Elysée célébrait Pierre Velsch, un autre commando africain. Qu'”avec sa disparition, un héros de notre histoire et un homme pour qui la mémoire était un devoir” était décédé a été soulignée par la présidence.
Le maire de Bormes-les-Mimosas, François Arizzi, a été décoré de la Légion d’honneur, et le président a été invité à se baigner brièvement dans le célèbre bassin de baignade de la ville. Devant un parterre de plusieurs centaines de citoyens et de visiteurs, Macron les a hypnotisés avec des photographies, des gestes de la main et l’humiliation d’enfants. Ceux à l’extérieur proclamant : “Il est au bord [des barrières ndlr], il va passer !”
Contrairement aux concerts de cuisine printaniers où le président a été reçu après la révélation de la réforme des retraites, cette foule a éclaté en plusieurs “bravos” sous les applaudissements.
Le chef de l’Etat convoquera le 23 août une réunion des membres du cabinet pour lui accorder un (minimum) répit avant de reprendre le travail. C’est maintenant la norme acceptée. Emmanuel Macron est connu pour écourter son congé annuel pour assister aux festivités honorant la libération de Bormes les Mimosas le 17 août.