Eleonore Weil Journaliste Wikipedia – Jeudi 26 octobre, Quotidien reçoit la journaliste franco-israélienne Eléonore Weil du journal Haaretz. Journal israélien populaire connu pour son point de vue de gauche et ses attaques sévères contre la politique du Premier ministre Benjamin Netanyahu.
Au début de sa conversation, la citoyenne israélienne de 37 ans, originaire de Tel Aviv et née dans le pays, partage ses réflexions sur le rôle du Premier ministre israélien dans les attentats terroristes du 7 octobre.
Elle nous raconte ensuite ce que tout le monde, jeunes et vieux, dans l’État hébreu semble penser et ressentir au milieu d’une guerre historique. Eleonore Weil donne ses réflexions sur le type de réponse attendue par les Israéliens et tente d’expliquer pourquoi les dirigeants israéliens n’auraient pas pu prévoir ces meurtres.
Le journaliste propose ensuite des suggestions sur la manière de maintenir la paix dans la région, abordant des sujets tels que la perspective d’un futur État palestinien et la gestion du conflit par la France.L’attaque du Hamas contre Israël a conduit Marie-Cécile Naves, responsable de recherche à l’IRIS, à conclure que les équipes de Trump ont “complètement abandonné la question palestinienne”.
La journaliste israélienne Eleonore Weil et l’experte américaine Marie-Cécile Naves, directrice de recherche à l’IRIS, rejoignent l’équipe 19/20 en studio. Bien informés dans leur domaine, ils contribuent.De nouvelles images d’horreurs apparaissent quotidiennement.
Quelle sensation domine ? Ce soir, j’ai l’impression que nous entrons dans un autre royaume avec ces bébés, ces femmes et ces hommes décapités. Je suis sûr que nous avons tous vu des images horribles au cours de la décennie.
En Israël, c’est vraiment un traumatisme collectif qui est en train de se créer”, répond la journaliste Eléonore Weil de Haaretz, affirmant que “l’heure n’est pas aux considérations politiques”, mais plutôt à “mettre un terme aux atrocités”.
Comment le public perçoit-il la situation des otages là-bas ? La majorité des Israéliens ont perdu tout espoir de retrouver un jour ces captifs après ce qui s’est passé le samedi 7 octobre. Les Israéliens et les autorités israéliennes, estime le journaliste, « sont parvenus à un accord tacite selon lequel nous devons agir, frapper fort et que, malheureusement, il y a très peu d’espoir de négociations fructueuses.”
Où en sont les États-Unis
Les États-Unis promettent-ils un soutien indéfectible ? Les États-Unis sont confrontés à un problème stratégique important. Comme le note Marie-Cécile Naves, chargée de recherche à l’IRIS et experte des Etats-Unis, « d’une part, à court terme parce qu’il y a des otages américains aux mains.
Les États-Unis continuent d’adresser des appels à l’Iran pour que ce pays ne continue pas sans aucun doute à financer le Hamas et ses abus, et la confrontation devrait se poursuivre dans un avenir prévisible en raison de cette inquiétude.
A terme, parce que c’est tout un processus de paix lancé avec les accords d’Abraham en 2020, dont on voit bien qu’il s’agissait d’une illusion, estime l’expert, qui poursuit. En insistant pour qu’Israël fasse la paix alors qu’il n’est pas en guerre, les négociateurs ont humilié les autorités palestiniennes. Par la suite, Biden « a continué sur cette lancée », comme le dit Marie-Cécile Naves.
Diffusé à 22h44. le 23 octobre 2023. Jusqu’au 22 novembre 2023.
Cela fait 15 jours de controverses, d’allégations et d’insultes, et maintenant : nos politiciens, nos médias et nos intellectuels comprennent-ils la gravité de la situation au Moyen-Orient ? Nous discuterons avec nos invités de la situation actuelle en France, devenue de plus en plus conflictuelle ces dernières années en raison de chasses aux sorcières, de convocations et d’injonctions à prendre la parole et à prendre parti, surtout si l’on est arabe, Juif ou musulman. Nous avons des discussions avec.
Lettre aux jeunes avocats” est l’ouvrage de Jean-Pierre Mignard, avocat au barreau de Paris, professeur à Sciences-Po et docteur en droit.Après plusieurs attaques du Hamas sur le territoire israélien, le gouvernement israélien a déclaré dimanche la guerre au Hamas. Depuis samedi 7 octobre, les frappes du Hamas et les représailles israéliennes ont fait plus de 1 300 victimes.
Avec Expert du conflit israélo-palestinien et de l’histoire de la ville de Jérusalem, l’historien Vincent Lemire Professeur de droit et ancien ministre de la Culture Anwar Abu Eisheh a été président de l’Association d’échange culturel Hébron France de 2013 à 2014.Coordonnateur de terrain de l’ONG « First International Emergency » à Gaza, Jehad Abu Hassan.
Pierre Haski, journaliste et chroniqueur géopolitique de France Inter
Le samedi 7 octobre, le Hamas – également connu sous le nom de « Mouvement de résistance islamique » – a mené une série de frappes contre des civils israéliens depuis le sol, les airs et la mer. Plus de 700 morts militaires et civils, plus de 2 500 blessés et plus de 100 captifs ont été signalés par l’administration of Benjamin Netanyahou.
Selon des sources locales, la réponse militaire israélienne a fait plus de 2 900 victimes. Les bombardements de la bande de Gaza n’ont pas cessé pendant le week-end.Le Hamas est devenu un mouvement islamiste en 1987, lors de la première Intifada. L’embargo israélien et égyptien sur la bande de Gaza a commencé après son arrivée au pouvoir en 2007.
Les déplacements de population, l’approvisionnement en nourriture, en médicaments et en matériaux de construction sont tous ignorés. Le gouvernement israélien avait construit une barricade défensive en surface et souterraine autour de la zone, mais samedi, les combattants du Hamas l’ont franchie.
Le gouvernement israélien a déclaré aujourd’hui qu’il lancerait un blocus de la bande de Gaza, coupant ainsi l’approvisionnement en eau, en électricité et en gaz du territoire.
Le conflit Israël-Hamas expliqué en cinq émissions télévisées
Reportages, débats, décryptages, etc. se sont multipliés sur les chaînes depuis l’attaque du Hamas contre Israël le 7 octobre et les représailles de Tsahal contre Gaza. Nous vous recommandons ces cinq émissions pédagogiques.
Depuis le 7 octobre, le conflit entre Israël et le Hamas a été largement couvert par les médias français. Portraits du Hamas faisant l’objet d’enquêtes, reportages en temps réel, interprétations géopolitiques ou débats intellectuels… Télérama propose de nombreuses émissions qui proposent une analyse pertinente et pertinente de la situation au Moyen-Orient.
« Enquête complémentaire » : « Hamas, sang et armes »
L’émission d’enquête de France 2 s’est rendue en Israël et au Moyen-Orient pour enquêter en profondeur sur le groupe terroriste Hamas, né en 1987. Une exploration informative et éclairante de cette organisation islamiste, de sa création à nos jours, y compris sa domination en Palestine. Très bon décryptage, pourtant de nombreuses questions demeurent.
Qui lui donne de l’argent et l’arme ? Pour quelle raison? Où sont les liens entre l’Iran, l’Europe et le Qatar ? Les journalistes visitant le quartier général du groupe à Doha ont découvert des commandants qui considéraient que toute résistance en valait la peine si elle signifiait qu’ils pouvaient « écraser les Israéliens et les forcer à quitter la Palestine ».
Le Hamas, dont la taille est choquante, était au centre d’un problème politique choquant et cynique, comme nous le savons aussi. En 2015, Bezalel Smotrich, chef d’un groupe sioniste religieux d’extrême droite, a admis : « L’Autorité palestinienne est un fardeau et le Hamas est un atout ». Actuellement, il est ministre israélien des Finances.
La « ligne rouge » devrait indiquer « la stratégie terroriste du Hamas ».
Le format de fin de soirée sur BFMTV explique clairement “le Hamas, mouvement religieux et caritatif devenu une organisation terroriste”, mais il est plus court et concis que le numéro spécial de Complément d’enquête. Quentin Baulier, Fanny Morel, Benoît Sarrade et Juan Palencia ont tous signé l’enquête menée peu après les massacres du 7 octobre.
Ancien journaliste du Petit journal et du Quotidien, il analyse désormais une fois par mois l’actualité étrangère pour TMC. Le 7 octobre, alors qu’il s’apprêtait à éditer sa prochaine édition, une attaque du Hamas s’est produite. Presque aussitôt, il prend la décision de se rendre en Israël afin d’enregistrer les événements qui s’y déroulent aux côtés de son collaborateur, le réalisateur Robin Braquet.
Le résultat final est une analyse complète et éclairante des deux semaines « où tout a changé ». Alors que Martin Weill voyage de Bethléem à Jérusalem en passant par Sderot et Tel Aviv, il rencontre des rassemblements pro-Hamas, les proches désemparés des otages israéliens et des défenseurs de la paix israéliens et palestiniens qui sont parvenus à la même prise de conscience.
De jeunes journalistes à Gaza ont également apporté de précieux témoignages, dressant un tableau des effets étouffants des frappes aériennes sur la population. Au-delà du côté ultra incarné du « reporter Tintin », le documentaire met en lumière le contraste saisissant entre les masses insoumises de l’après-7 octobre et les prisonniers d’une guerre qui ne fait que commencer.
Ce soir sur “C” : “Israël-Palestine : la France est-elle vouée au fractionnement ?”
Le remarquable magazine France 5 est au rendez-vous du récit et livre chaque soir depuis le 7 octobre une analyse pertinente et détachée. L’Assemblée nationale était si vide le 23 octobre que ce n’est que quelques heures après une « discussion » sèche et douloureuse que Karim Rissouli a osé demander.
Des accusations, des insultes, des polémiques politiques allant parfois jusqu’à l’overdose. Tout le monde est-il prêt pour cette crise ? ou seulement les politiques ? » Jean-Pierre Mignard et Arié Alimi (membre de la Ligue des Droits de l’Homme, défenseur juif de la cause palestinienne et ancien avocat… de Jean-Luc Mélenchon) étaient sur le plateau, tout comme le réalisateur.
Michal Prazan, l’écrivaine Fatma Bouvet de la Maisonneuve, la psychiatre Dr Eléonore Weil et la journaliste du quotidien israélien Haaretz Michal Prazan, bien qu’elles soient les premières victimes de la haine antisémite et raciste ravivée par ce conflit et entretenue par certains, ont, au cours d’entretiens informatifs, interrogé en particulierr cela a divisé la France où les juifs et les musulmans seraient obligés de se détester.