Deborah Krey Taille

Répandez l'amour du partage
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Deborah Krey Taille – On pourrait penser que Deborah Krey avait un talent naturel pour jouer. Tout d’abord, il y a ce nom de famille, qui rappelle instantanément l’icône hollywoodienne des années 1950,

Deborah Kerr. Ensuite, il y a ce petit gnome. Lumineux. Lumineux et évocateur. Et maintenant, ce cadeau de génie va certainement faire parler les gens. La pétillante Montpelliéraine de 28 ans explique : « Ma famille m’a toujours dit qu’un jour j’irai au théâtre ou au cinéma. A la Compagnie maritime, elle rencontre pour la première fois les écrits de Tchekhov.

Une prophétie accomplie dans les parquets de la MJC de Castelnau-le-Lez alors que le garçon n’avait que 11 ans. C’était un court article sur la sécurité routière. Selon Déborah Krey, “j’avais une trace terrible, mais c’était une évidence pour moi”. Après, les choses avancent rapidement. J’ai décidé de m’inscrire dans une école secondaire privée afin de pouvoir progresser sur le plan scolaire dans un environnement plus réglementé et d’obtenir mon diplôme d’études secondaires le plus rapidement possible.

Parce que j’avais déjà décidé ce que je voulais faire. Comédienne et rien d’autre.” A 17 ans, elle s’inscrit à la Compagnie Maritime, l’école de théâtre du quartier de Lepic, où elle apprend “les textes de Tchekhov, l’importance d’avoir une bonne respiration, et les mouvements du corps dans l’espace”, et de dont elle se souvient plus tard avoir “d’excellents souvenirs.” De plus, elle y apprend le sens du mot “obligation”.

Cette personne naturellement hyperactive, qui a du mal à rester assise plus d’une heure, dit : « Je suis prête à travailler énormément pour réaliser mon rêve. Cette personne évite les cours intensifs d’anglais ou de voix off et les exercices quotidiens. J’ai vraiment besoin de déstresser en ce moment. L’héritage de ses nombreuses années d’entraînement au Taekwondo au niveau 3e Dan.

Parfaitement vu de loin en Quadras, Altitudes ou Crimes

A dix-huit ans, elle s’installe à Paris et s’inscrit au cursus Florent dont elle sort avec mention et très bonne moyenne en 2011. Avec la conviction inébranlable qu’un jour je travaillerai aux côtés de grands réalisateurs sur des images époustouflantes avec des intrigues captivantes qui mettent ma vie en danger.

En attendant, Deborah pratique un certain polyamour. Productions théâtrales, films cinématographiques, publicités, courts métrages et télévision. La jeune comédienne a interprété un large éventail de personnages, allant d’une “cagole” dans la série Quadras de M6 (2017) à une alpiniste dans le téléfilm de France 3 Altitudes (2016) en passant par une femme au genre ambigu dans la série de France 3 Crimes parfaits. (toujours diffusé). J’aime beaucoup la variété de ses modèles. Kate Winslet et Meryl Streep, pour leur féminité et leur jeu pointu.

Quel rôle aurait-elle rêvé de jouer ? Que ce soit Elise en Alabama Monroe ou Mia Dolan à La La Land. Pièces puissantes et exigeantes. Intenses. Qui, malgré leurs airs de garçon, irriteraient cette fille sensible comme un gant. Mais aussi les plus grands films d’Hollywood, comme le film Lucy de 2014, dans lequel elle joue un rôle de soutien aux côtés de Scarlett Johansson après avoir été choisie comme son tout premier doublé par le réalisateur Luc Besson. Nous mesurons tous les deux 1m63.

Un autre indice sur son avenir. Deborah Krey est née le 9 décembre 1989 à Montpellier. Enfant, elle aspire à être comédienne et s’inscrit au Cours Florent, où elle développe une profonde appréciation pour l’art du cinéma.

Elle commence à jouer à l’âge de vingt ans et aime jouer de nombreux types de personnages. En 2015, elle fait ses débuts au cinéma dans Je t’aime, mais elle s’est d’abord fait connaître sur le petit écran, apparaissant dans plusieurs épisodes d’émissions dont Camping Paradise, L’Art du Crime, Nina et Section de Recherches.

Parallèlement à sa carrière cinématographique, elle fait ses débuts sur scène, apparaissant dans des films comme American Psycho et Les Voisins d’en haut. Au cours de l’été 2021, elle se produira également dans deux pièces distinctes : Le Cercle des illusionnistes d’Alexis Michalik (qu’elle interprète depuis huit ans et maintes fois honorée) et L’Embarras du choix de Sébastien Azzopardi.

Cependant, Déborah Krey n’est pas seulement reconnue comme actrice dans le milieu du septième art. De plus, elle est un sosie bien connu pour de nombreuses productions hollywoodiennes. Elle a prêté sa voix au rappeur et actrice américain Awkwafina dans les films Ocean’s Eight et Crazy Rich Asian.

L’actrice revient au casting de la prochaine série dramatique de France 2, Les Invisibles, à l’automne 2021. Elle y joue le rôle de la jeune policière Duchesse. Avant de partir pour Paris et le Cours Florent, elle a lu du Tchekhov chez elle à Montpellier, la Compagnie Maritime.

Deborah Krey est une comédienne confirmée qui a gravi les échelons de la publicité, du doublage, du théâtre, du cinéma et des clips vidéo jusqu’à son premier rôle de compositrice à la télévision. Aujourd’hui, Deborah apporte son tempérament ensoleillé au casting de Piste Noire, un hybride enquête/drame familial. Découvrez la fibre artistique qu’est Deborah Krey !

Deborah Krey Taille : 1m63

Deborah, vous êtes à retrouver dans la nouvelle série de France 2 Piste Noire à partir de demain. Pourquoi avez-vous trouvé l’histoire captivante ? J’ai adoré voir à quel point tout le monde dans un village à taille humaine se connaît.

Le personnage d’Alexia Maldini (Solène Rigot) et son engagement pour la protection de l’environnement ne sont que deux exemples du rôle important joué par tous les habitants d’une station de ski. Comme vous, j’ai trouvé fascinant ce regard sur la vie d’un athlète professionnel.

Deborah Krey Taille

Pour présenter votre personnage Charlotte Arnoux, comment feriez-vous ?

Par souci de mystère, je peux vous dire qu’elle vient d’un milieu sombre et troublé. Charlotte tombera à nouveau amoureuse du futur champion de ski et leur relation sera fascinante à suivre. Cette petite femme d’affaires a toujours une vision brillante et se comporte avec confiance. Ce fut un grand plaisir de revoir Pierre-Yves Bon (dans le rôle de Boris Arnoux) après toutes ces années.

Puisque vous avez déjà tourné jusqu’à 3 000 mètres d’altitude (près du Mont Blanc) dans Altitudes de Pierre-Antoine Hiroz, ce n’est pas votre première fois en montagne. Oui ! Je me sens comme un habitant de la montagne maintenant, vu le temps que cela dure. (Rires) J’ai aussi pu rencontrer le réalisateur du film, Fred Grivois, grâce à Piste Noire. Après avoir eu une longue conversation avant le tournage pour partager nos visions du personnage de Charlotte, il m’a laissé beaucoup de liberté pour improviser sur le plateau, ce qui était très amusant.

Les fans de séries télévisées ont pu vous retrouver sur la même chaîne dans Les Invisibles. J’ai été propulsé dans ce rôle il y a plus de deux ans, et mes collègues joueurs sont les personnages les plus importants de cette histoire.

Lors de la première saison, j’ai été projeté dans un programme de tournage à Lille avec trois comédiens que je n’avais jamais rencontrés. Après trois nuits sans restaurants ouverts, nous avons naturellement été invités à manger chez l’autre. Une grande aventure humaine en est née. Je dirais que notre quatuor a fait sensation sur le petit écran.

Tout comme ton rôle de “Duchesse”…

C’est une nouvelle recrue; elle est issue de “la grande bourgeoisie lilloise” et était destinée à rejoindre un jour les flics. Mais elle a dû sortir de son monde “faux et aigre”, comme en témoigne la préoccupation de la famille pour leur nom et leur richesse dans l’épisode 5 de la saison 2.

C’est mon premier rôle écrit en tant que duchesse. J’ai tendance à avoir une personnalité tendue dans la vraie vie, et cela m’a rendu extrêmement difficile de garder mon calme sous la pression. C’est vrai qu’elle se métamorphose entre les saisons, sort de sa carapace et se débride un peu. Deborah, votre père a partagé votre enthousiasme pour le karaté et vous a ensuite initié au sport de l’escalade. Comment avez-vous eu le bug d’acteur pour la première fois?

Ado, j’ai réalisé qu’il était nécessaire pour moi de m’engager dans des activités créatives à la lumière de mon tempérament. Si je n’avais pas peur de l’ennui, je finirais probablement par m’ennuyer. Je dirais que je suis à moitié hyperactif.

J’ai toujours su que je voulais faire quelque chose d’artistique, et même si j’ai hésité entre les Beaux-Arts et le théâtre, il m’est apparu après une année de formation à la Compagnie Maritime de Montpellier que je voulais être comédienne. La prochaine chose que j’ai su, c’est que j’étais en route pour Paris pour prendre les Florentins. Vous vous produisiez sur les scènes de la MJC à Castelnau-le-Lez alors que vous n’aviez que douze ans.

Oui. Quand j’étais en cinquième année, j’ai dû me produire devant toute mon école dans le cadre d’une campagne de sensibilisation à la sécurité pour un atelier de théâtre. Personne dans notre petit groupe n’avait le tract ; au lieu de cela, ils y ont vu un peu une blague, alors que je me sentais tétanisé. J’avais un lien important mais dont on ne se souvient pas avec le plateau. Cette nuit-là, j’ai réalisé à quel point c’était important pour moi.

Plus tard, lors de mes études au Cours Florent, j’ai réalisé que je n’avais aucun intérêt à poursuivre un autre métier. J’ai dû travailler comme patron dans l’industrie de la restauration pendant six ans pour payer mes études, mais quand j’ai enfin eu ma chance à vingt-trois ans avec Le Squat et que j’ai fait ma première tournée théâtrale dans des salles énormes, c’était pur bonheur.

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