Claude Askolovitch Fils – Le journaliste français Claude Askolovitch est né le 18 décembre 1962 à Paris. De 2001 à 2008, il a été grand correspondant du magazine. Il a également contribué à d’autres journaux et périodiques, comme Marianne. Il occupe ensuite les postes de rédacteur en chef et rédacteur en chef du Journal du dimanche jusqu’en 2011. Il anime actuellement le journal matinal de France Inter, La Revue de Presse, et est correspondant quotidien du 28 Minutes d’Arte depuis 2013.
Il a travaillé comme journaliste à Sciences et Vie Économie et Mondial et RFO avant d’être engagé au Matin de Paris. En 1987, il commence à travailler pour le tout nouveau journal Le Sport. Après la suppression de son poste en 1987, il rejoint Europe 1. Il commence ensuite à couvrir L’Événement du jeudi et Marianne.
Il a été grand reporter du Nouvel Observateur pendant sept ans (de 2001 à 2008), puis rédacteur en chef du journal et enfin rédacteur au Journal du dimanche. Après un départ en mai 2012, il revient au Point en août de la même année. Il reprend ensuite son travail avec Marianne et Vanity Fair5.
D’abord journaliste sportif, il a co-écrit une autobiographie avec Basile Boli intitulée Black Boli et se concentre désormais sur les questions sociales et politiques, notamment celles qui suscitent débats et controverses. Il a écrit sur le mouvement des médias alternatifs pour Le Nouvel Observateur et a suscité la polémique en 2003 avec des déclarations interprétées comme antisémites par certains.
Il a écrit un livre contre le Front National, écrit une biographie de Lionel Jospin détaillant son parcours du trotskisme au socialisme et interviewé Éric Besson pour son pamphlet contre Ségolène Royal, Qui connaît Madame Royal ? Parmi les autres livres d’entretiens qu’il a écrits, citons un avec la nouvelle Garde des Sceaux Rachida Dati, publié en 2007, et un autre avec le législateur socialiste de l’époque, Manuel Valls, publié en 2008, sur la refondation de la gauche. En 2013, il a publié un essai intitulé « Nos mal-aimés » sur l’islam en France et les réactions négatives qu’il génère.
Dans son livre de 2017, Comment se dire adieu ?, il pose un regard sobre et introspectif sur le déclin de la gauche, que le critique du Monde Gérard Courtois qualifie de « crépusculaire » et de « rageur » car l’auteur est « un spectateur accablé de sa propre personne ». désillusionnés et proxénète de ceux qu’il a tant aimés.” Il travaille chez 28 Minutes/Arte depuis 2013, Vanity Fair depuis 2015 et Slate depuis 2016.
D’août 2016 à juillet 2017, il a animé une émission de France Inter intitulée Histoire et politique, diffusée le dimanche matin en matinale. Il y évoque des événements historiques obscurs comme la naissance du slogan “CRS = SS” en 1948, et non en 1968 comme on pouvait s’y attendre.Claude Askolovitch lance “l’affaire Siné” lorsque, le 8 juillet 2008, sur une émission de RTL programme, il a qualifié d’antisémite un article d’un caricaturiste publié dans Charlie Hebdo qui, selon lui, laissait entendre que le fils du président français Jean Sarkozy gagnerait professionnellement à se convertir au judaïsme.
Le juge a jugé que les déclarations en cause n’étaient pas diffamatoires mais « participaient au débat d’idées, consubstantiel à toute société démocratique ». Claude Askolovitch a quitté Le Point en 2012 parce qu’il était en désaccord avec la position éditoriale du journal sur la manière de traiter les musulmans en France. Alors que ses supérieurs préparaient leur fameux discours d’adieu, « L’islam sans gêne », on aurait pu le voir trop sympathique à l’islam.
Après avoir quitté la France, le jeune écrivain, ancien de France Inter et désormais incontournable du Blog de Bondy, a écrit Nos mal-aimés : ces musulmans dont la France ne veut pas (2013), un ouvrage en partie autobiographique basé sur des entretiens avec des musulmans engagés en 2013. dont il déplore la marginalisation de l’Islam dans la France moderne. Pour défendre Meklat, Claude Askolovitch a écrit sur Twitter : “Un gamin qui a tweeté de la propagande nazie pour tester sa provo est moins immonde que ceux qui utilisent ses talents de complice passés (j’ai mal à la tête à cause de ça).”
Théo Askolovitch laisse le jargon technique aux médecins. Il préfère raconter son histoire avec ses propres mots, parfois crus mais toujours libérateurs. J’ai de fortes douleurs aux ongles. Cette prise de conscience fondamentale est le point de départ du combat du jeune homme contre le cancer. Il a subi des pressions de la part de ses amis et de sa famille pour qu’il passe des examens, mais il n’était pas convaincu et ne savait même pas “même pas qu’on faisait une échographie pour les couilles”.
Claude Askolovitch Fils : Théo
Malgré la rigidité des examens, une tumeur a été découverte. Et pour Théo, c’est un monde qui s’écroule : “Quand j’entends cancer, j’entends mort.” Pourtant, il est toujours présent, et c’est l’histoire qu’il souhaite raconter dans son one-man show 66 Jours. Puisque « tout le monde peut reconnaître » cette façon de raconter publiquement son histoire, il opte pour l’humour. Pourrai-je fonder une famille ou retrouver l’amour ? Théo Askolovitch pose ces mêmes questions que d’autres avant lui, mais “la réalité est que rien n’a changé”.
Maintenant rétabli, le jeune homme raconte avec franchise ce nouveau chapitre de sa vie et le rôle crucial que ses proches ont joué pour l’aider à s’en sortir.Askolovitch, un héros (suprême)… Si c’est un nom connu dans L’Amérique grâce à Théo, c’est aussi le nom de son célèbre père journaliste, Claude, qui écrivait pour les illustres magazines d’information de France Inter. Et Théo en parle puisqu’il a toujours été là pour lui, tout comme le reste de sa famille.
Les examens sont quelque chose que Théo essaie d’abord d’éviter. Il nous raconte : “J’avais sérieusement négocié pour ne pas y aller, mais bon, il m’a un peu forcé.” Il fait référence à son père. Lorsque les scores sont connus, Claude Askolovitch met tout en œuvre pour que son fils soit en bonne santé et heureux.
Même s’il reste à l’hôpital avec son fils jusqu’à minuit tous les jours, son heure normale de réveil est trois heures du matin. Théo s’interroge : “C’était un super-héros, je ne sais pas comment il a fait pour rester en vie.” La réponse se trouve peut-être au cœur de l’amour père-fils. Ce qui ne peut s’expliquer ou se dire que par des euphémismes mais qui n’en est pas moins démontré.
Briser les tabous pour sauver des vies
Discutez, discutez, discutez. Ce n’est un secret pour personne : briser les tabous nécessite de laisser les gens s’exprimer. Théo Askolovitch le fait mieux que quiconque grâce à son sens du spectacle. Le jeune homme avoue : “Je ne ressens vraiment rien”. Jusqu’à présent, son cancer ne lui a causé que de la douleur, mais malheureusement, ce n’est pas toujours le cas. La meilleure façon de s’en rendre compte est de le ressentir par vous-même. C’est quelque chose que vous pouvez faire régulièrement pendant que vous êtes sous la douche. Vous regardez si quelque chose est « dégoûtant », « ennuyeux » ou « bizarre ».
Si Théo Askolovitch insiste sur l’importance de la prévention afin de ne pas avoir à s’engager dans un traitement actif une fois malade, il souligne également l’importance d’une communication ouverte une fois la maladie installée. Il est qualifié pour donner des conseils en la matière car, comme beaucoup d’autres , il était d’abord sceptique quant au concept avant d’être séduit par un coup de génie.
Son médecin lui suggère d’appeler le Cerhom, l’Organisation de sensibilisation à la santé cérébrale, juste pour discuter. Théo ne se sent pas bien en ce moment, et il finit par casser son téléphone. La durée de l’appel est de douze minutes. Pendant 12 minutes, un homme témoigne : « Je suis vivant et je suis père. » Une nouvelle compréhension de la maladie en moins de 12 minutes.
Dire que “Mon père, ce héros” est à la fois le titre accrocheur du film et le moteur du dernier spectacle de Théo Askolovitch serait un euphémisme. Dans “66 jours”, il décrit son parcours dans le traitement du cancer avec l’aide de son père, qui était à ses côtés tout le temps. “Il y a quelque chose à mettre de l’espace entre soi et un problème.
Je suis allé voir Théo dans l’espoir qu’il n’abandonnerait pas sa carrière d’acteur à ses débuts. J’ai réalisé que tout allait bien ; J’étais en paix. Claude Askolovitch révèle : “J’étais dans un demi-monde c’était une sorte d’instant flottant rythmé par une coupure du pied du monde.” Ce fut une épreuve très douloureuse et difficile.
Mercredi, les mémoires d’Evelyn Askolovitch, écrits avec son fils, l’écrivain Claude Askolovitch, ont été publiés. Ils ont tous deux échappé aux camps de concentration nazis. On s’attend à ce que Se souvenir ensemble (aux éditions Grasset) soit l’un des derniers livres du genre alors que le nombre de déportés continue de diminuer. Evelyn Askolovitch (née Sulzbach) est née dans une famille juive allemande en 1932. Elle et ses parents ont été arrêtés à Amsterdam alors qu’elle avait quatre ans et demi.