Anthony Bellanger Compagnon – Dans l’émission BFMerdasse de la semaine dernière, l’ancien juge Alain Marsaud a participé à une discussion.Homme quelque peu conscient de la situation actuelle, il s’en prend aux journalistes français qui, selon lui, n’ont pas identifié l’ennemi comme étant « l’islamisme radical.
Il ne fait aucun doute qu’il aurait été plus équilibré de se concentrer uniquement sur l’Islam. Néanmoins, à ce stade, la pierre est déjà dans l’étang. Le départ d’Alain Marsaud est à souligner à l’heure où les chaînes “info” prônent généralement d’ignorer les problèmes.
Pour les bobos de BFM, habitués à utiliser des formules de type « cépalislam », l’électrochoc est bien entendu extrêmement douloureux. L’animateur fait un effort concerté pour faire taire le poisson en passant à une question qui n’a rien à voir avec la première.Marsaud, ancien magistrat, n’est pas du genre à accepter tranquillement la défaite. Il sentit qu’il touchait la zone sensible. Il est catégorique là-dessus.
Et ce n’est tout simplement pas la tasse de thé d’Anthony Bellanger. Un journaliste qui a collaboré avec le gouvernement français et travaille pour France Inter, une radio dont vous connaissez bien les compromissions avec les ignobles, va bientôt devenir le chien de garde de la merdiasphère.
Son élan l’a probablement porté ici, mais il entend parler avec son cœur. Pour illustrer la mentalité de notre système de désinformation, il lâche avec désinvolture la phrase suivante.
Excusez-moi. À l’école de journalisme, nous apprenons à garder nos distances par rapport aux faits, à ne pas diffamer les personnes ou les organisations, à respecter le droit des personnes à la vie privée et à ne pas porter d’accusations d’actes répréhensibles avant que les preuves ne soient disponibles.
Cependant, prendre des précautions avec la vérité n’est jamais sujet à débat. Les faits doivent être révélés. Ou alors, nous ne sommes pas des journalistes, nous sommes simplement des communicateurs.
C’est triste de voir ces chiots intelligents réduits à de si mesquines disputes. La phrase de Bellanger n’est pas composée de mots aléatoires. Et cela correspond parfaitement au point de vue des médias. Que ce point de vue extérieur concorde avec nos propres observations quotidiennes est un bonus.
Comme vous pouvez le constater, ce n’est pas le premier coup de Bellanger. Ce leader des journalistes s’était révélé être un cerbère par le passé, c’est pourquoi il a été nommé secrétaire général de la Fédération internationale des journalistes.
Ce que l’on apprend de lui sur Wikipédia est ainsi rédigé : « En tant que Premier secrétaire général du SNJ (Syndicat national des journalistes, ndlr), il s’est notamment exprimé sur l’autorégulation éthique des journalistes ou sur la situation générale de la profession. Ses efforts pour rallier le SNJ au syndicat de la magistrature lors de la polémique du « mur des idiots » ont été couronnés de succès : l’un des meilleurs de la véritable élite.
Après l’intervention de ce gendarme du système, clairement soutenu par ses collègues, Alain Marsaud quitte logiquement le plateau. Tout est expliqué dans la séquence, donc il s’en est bien sorti.
La petite organisation fondée par Pier Antonio Panzeri, ancien député européen, n’a jamais été inscrite au registre de transparence, mais elle a bénéficié du soutien providentiel non seulement du Parlement, mais aussi de la Commission. Cela aurait servi de couverture à une corruption massive de la part du Qatar et du Maroc, selon les enquêteurs belges.
Anthony Bellanger a été interloqué lorsqu’une des cinq collaboratrices de Fight Impunity l’a appelé pour lui dire qu’elle lui envoyait une copie du rapport 2020 sur les « droits mondiaux ».
Quelques mois auparavant, le secrétaire général de la Fédération internationale des journalistes (FIJ) avait accepté de rédiger un article à destination de ce groupe obscur, soupçonné par la justice belge depuis le coup d’État spectaculaire de début décembre de servir de couverture à des mouvements de masse. corruption au nom du Qatar et du Maroc.
Derrière l’ONG se cache une « organisation criminelle présumée ».
Malgré la demande de délai supplémentaire d’Anthony Bellanger, il n’a pas rendu sa copie du rapport de plus de 400 pages avant publication. Sa signature apparaît sous un texte du rapport, aux côtés de celles d’une vingtaine d’autres personnes.
“Ils étaient pressés, m’a-t-on dit, explique Anthony Bellanger, alors ils ont choisi ici et là pour composer quelque chose.” Les choses qu’ils m’ont forcé à dire n’étaient pas scandaleuses, mais la méthode par laquelle ils m’ont contraint était très douteuse.
Cristina, princesse d’Espagne, a épousé Iaaki Urdangarin à la fin des années 1990. À l’époque, il semblait qu’un conte de fées était l’explication la plus probable. Cependant, le mari de la sœur de Felipe VI d’Espagne s’est rapidement retrouvé mêlé à de nombreuses polémiques.
comme le rappellent nos confrères de W9 dans le documentaire Espagne : une monarchie au bord du précipice, qui sera diffusé lundi 26 décembre et d’où Gala Le .fr en dévoile en exclusivité un extrait.
C’est la version cauchemardesque d’un conte de fées. Cristina, sœur de Felipe VI, a dit “oui” au désir de son cœur, l’ancien handballeur Iaki Urdangarin, le 4 octobre 1997. Plusieurs experts expliquent pourquoi le beau-fils de.
Juan Carlos, qui semblait répondre à tous les critères pour lui plaire, est venu jouer trouble-fête au sein de la famille royale dans le documentaire Espagne : une monarchie au bord du précipice, qui sera diffusé lundi 26 décembre et dont Gala.fr dévoile un extrait exclusif. Dès 2011, le gendre du roi déchu était impliqué dans un scandale de corruption.
Urdangarin, Iaki, « s’est lancé dans les affaires et les malversations dans les sociétés qu’il avait fondées, dans lesquelles lui et son épouse occupaient des postes de direction. Dans cet extrait de la série documentaire.
Familles royales : secrets et scandales, la journaliste et collaboratrice de Radio France Mireille Lemaresquier confie que les Espagnols découvrirent en effet que la monarchie n’était pas aussi vertueuse qu’elle aurait pu l’être.
Selon le journaliste Anthony Bellanger, Iaki Urdangarin « voulait que son niveau de vie soit à la hauteur de sa nouvelle surface sociale » après avoir épousé l’infante Cristina, c’est pourquoi il « a créé une petite entreprise pour extraire des entreprises publiques, y compris des villes ou des municipalités, des services qu’il n’a jamais fournis.
Notre confrère de Radio France nous a informé qu’il était accusé d’avoir détourné jusqu’à six millions d’euros. Le gendre de Juan Carlos a été condamné à cinq ans et dix mois de prison à la suite du scandale qui a suivi. Cristina, une citoyenne espagnole, a été accusée d’un crime.
L’incident a amené les Espagnols à légitimement « remettre en question l’intégrité de la famille royale ». La justice a rattrapé Juan Carlos, qui, il y a seulement quelques années, se présentait comme un modèle de vertu.PHOTOS : Juan Carlos, Märtha Louise de Norvège, Harry et Meghan Markle L’élite de 2022 a été définie par ces scandales.
Sur la plage basque de Bidart, en France, en août de l’année dernière, le couple nouvellement divorcé Cristina d’Espagne et Iaki Urdangarin a surpris tout le monde en se remettant ensemble. Un spot où le handballeur et sa nouvelle compagne.
Ainhoa Armentia, avaient été aperçus quelques jours plus tôt. Le site espagnol Hola! a rendu compte du voyage de la famille royale, et le site Histoires Royales a relayé la nouvelle. Le journal espagnol rapporte.
Cristina a rencontré son mari et leurs enfants sur la promenade de Bidart, ce jeudi 4 août”, et poursuit Pablo et Miguel surfaient Les photos de presse montrent que Juan, le fils aîné de Cristina et Iaki, était visiblement absent, mais que la fille de Juan Carlos était tout sourire. Ils ont décidé de rester en bons termes malgré la fin de leur relation amoureuse pour le bien de leurs enfants.
Quelqu’un vient de créer un nouveau gang de postiches. Après un bref avertissement, elle sera désormais diffusée régulièrement sur Arte tous les dimanches à 17h45, avec pour slogan : “Personne ne bouge.
Ils ont juré de ne jamais passer à la télévision pour éviter de devenir fous comme tant d’autres le font lorsqu’ils se voient à l’écran. A leur place, un film au langage détourné sert de fil conducteur au spectacle et introduit les diverses problématiques. Le fantastique d’Howard Hawks, La Chose venue d’un autre monde (1951), servira de générique d’ouverture au film.
La disparition prématurée de Mylène Farmer, 2032
Pour Philippe Collin et son équipe, “l’absurdité n’est pas l’ennemie de l’information”. Avec une approche légère, nous espérons offrir aux téléspectateurs un contenu sérieux. En conséquence, le premier numéro se concentre sur la saga.
Millennium, poursuivant le travail du créateur et protagoniste de la série. Il rencontre ensuite l’artiste Takashi Murakami qui lui livre ses réflexions sur l’art contemporain, puis rend visite à Robert Redford sur le tournage du film qu’il réalise.
Plus futuriste, un voyage vers 2032 est l’occasion, après la mort subite de Mylène Farmer, de sa mort hilarante et musicale. Enfin, un pédopsychiatre nommé Marcel Rufo fait office de guide de l’exposition au Salon du jouet du Grand Palais, et un court sondage demande : “Comment devenir une star de rien .