Affaire Poupette Kenza – Selon 76Actu publié le 20 février 2023, Poupette Kenza fera l’objet d’une enquête pénale pour “soustraction par le parent d’un enfant mineur sans motif raisonnable d’obligations légales mettant en dangerCette mère de deux enfants a été mise sous surveillance électronique stricte car elle était très active sur Snapchat.
. Sa vie, rythmée par des partenariats commerciaux parfois litigieux, est chaque jour relatée en vidéo et en images fixes pour son million d’abonnés. Poupette Kenza, Rouennaise et mère de deux enfants, a récemment défrayé la chronique pour une toute autre raison : elle a été placée en cellule de détention avec une
Selon 76Actu du 20 février 2023, une enquête pénale est en cours contre un jeune de 22 ans addict aux réseaux sociaux pour “soustraction par le parent d’un enfant mineur sans motif raisonnable de ses responsabilités légales mettant en danger la santé, la sécurité de l’enfant , la morale ou l’éducation.”
Il l’accuserait d'”actes de maltraitance” sur l’un de ses fils, Seyana ou Khalis. Après avoir été libérée de son interrogatoire, il a été découvert que Poupette Kenza avait fait l’objet de plusieurs drapeaux rouges liés à l’éducation de ses enfants, notamment son cadet qui a maintenant 18 mois.
Toute allégation d’abus contre le parent influent est niée par eux.
Une blessure à la tête subie par l’enfant né en mai 2022 a été évoquée par la mère de l’enfant sur les réseaux sociaux. Pour vous éviter de vous inquiéter plus que vous ne l’avez déjà fait, je me suis senti obligé de vous donner quelques nouvelles. Elle a déclaré à ses abonnés que les conclusions de L’IRM étaient “très positives”, comme le rapporte Le Parisien le 21 février de l’année suivante (2023). Après que ses ennuis judiciaires aient été exposés dans les médias, Poupette Kenza est devenue la cible d’une campagne de diffamation et de cyberintimidation.
Cela a été communiqué par téléphone dans Touche pas à mon poste du lundi 20 février 2023. Mes accusations ont été si extrêmes… Même si je fais de mon mieux en tant que mère, je sais que je ne suis pas à la perfection. Pour être clair, je suis une mère humaine qui a fait des erreurs, mais je n’ai jamais maltraité mes enfants ni fait preuve de négligence évidente. Toutes les vidéos qui m’ont été envoyées ont été complètement hors contexte. Elle a crié d’indignation face à la “diffamation” dans les vidéos, et j’ai répondu que je pouvais les expliquer une par une. Le minou de Kenza est toujours présumé innocent.
CONSEILS RÉF. L’influenceuse Roumaine Poupette Kenza répond aux accusations selon lesquelles elle “mettait des enfants en danger”.L’influenceuse Kenza Benchrif, comme Poupette Kenza, répond à Paris Normandie après avoir été interpellée par le législateur pour “actes de négligence, mise en danger d’enfants, et publication d’images à caractère pédopornographique”.
Et je réfute totalement toutes les allégations. Les derniers jours de Poupette Kenza se sont avérés difficiles. La star des médias sociaux avec des millions de fans se retrouve au milieu d’une situation sombre qui inquiète tout le monde pour elle. En fait, elle est accusée d’avoir fait la promotion d’un billet de loterie censé bénéficier à un orphelinat marocain, puis d’avoir détourné l’argent récolté.
Dans une interview accordée à CNEWS, l’influenceuse Kenza Benchrif, alias Poupette, a répondu à une nouvelle plainte déposée contre elle par la députée Renaissance Sarah Tanzilli pour diffusion de photographies ressemblant à de la pédopornographie en démentant les allégations comme “des accusations calomnieuses”.
Sarah Tanzilli, députée du parti Renaissance, a déposé une nouvelle plainte contre l’utilisatrice la plus suivie de Snapchat, Kenza Benchrif (alias “Poupette”), auprès du parquet de Rouen le 17 mai
La saisie par Sarah Tanzilli du procureur de la république est conforme à l’article 40 du code de procédure pénale qui dispose que « toute autorité constituée, tout officier ou employé public qui, dans l’exercice de ses fonctions, prend connaissance de un crime ou un délit est tenu d’informer sans délai le procureur de la république et de transmettre à ce magistrat tous renseignements, procès-verbaux et actes relatifs à ce crime ou délit. »
Malgré la conviction du législateur que “jamais une mère ne peut ainsi exhiber son enfant”, l’influent a dénoncé des “accusations calamiteuses” lorsqu’il a été contacté par la CNEWS.
Car “ses accusations, en plus d’être calomnieuses, sont déjà connues du procureur et ont été traitées lors d’une précédente affaire par la justice”, nous a confié Poupette, “je ne vois aucun intérêt à les relancer publiquement sur Twitter”.
« Je ne veux pas être utilisée comme un pion politique, surtout à la lumière de son amendement visant à établir un âge minimum pour la possession d’un compte sur les réseaux sociaux. » Elle poursuit : « Ce qu’elle a diffusé sur le réseau social vient d’aggraver mon cyberharcèlement. l’était déjà.
Le premier Snapchatter français affirme qu’un législateur du Rhône l’a publiquement accusée de “choses immondes” parce qu’elle “partage le quotidien de ma maman”, et que le législateur a utilisé un hashtag Twitter de haine (#poupettekenza : ndlr) qui a été créé et utilisé spécifiquement contre elle. Même si j’entends le gouvernement dire qu’il s’attaquera au cyberharcèlement, les autorités ne semblent pas s’en soucier.
Elle affirme : « Je suis sans doute l’influenceuse la plus harcelée de France, mais l’État n’a jamais rien fait pour m’aider » et poursuit en expliquant que « ses harceleuses se sont cachées sous des traits de lanceurs alarmistes pour renforcer leur crédibilité ». , mais ils ont surtout des identités multiples et des faux comptes bancaires” ces dernières années. Ils sont vraiment nocifs, en effet.
Si ce dernier signalement fait suite à une vidéo Snapchat partagée depuis sur d’autres sites de réseaux sociaux et qui semble montrer la fille de Poupette “se grattant les fesses”, alors l’influenceur accuse le législateur rhodanien d’utiliser “une vision sexualisée d’un enfant”. devant des millions de personnes sur Twitter qui ne sont ni la mère ni la justice”, ce qui implique qu’elle n’a aucune intention de présenter des preuves tangibles pour étayer ses affirmations.
Se déclarant victime de cyberharcèlement, la Snapchatter la plus populaire de France, Sarah Tanzilli, a également appelé à un “débat à l’Assemblée nationale sur les nombreux enfants qui sont frappés et violés chaque jour dans le but de les sauver en mettant en place des lois et des mesures”. plus efficaces que celles actuellement en place.
Elle rage, “Ils essaient de m’empêcher de faire ce que j’aime et d’en vivre en m’accusant de filmer son quotidien de mère influente sur les réseaux sociaux alors que ce n’est pas illégal et que tout le monde en France s’en passe”. causant ce que je traverse.” Ça donne quelque chose comme ça : “JE CONDAMNE FERMEMENT LE CYBERHARCLEMENT QUE LA DÉPUTÉE AURAIT PU SUBIR.”
Je ne m’abaisserai pas à leur niveau pour leur donner un faux sens de satisfaction », dit-elle.
Poupette a menacé de poursuivre en justice la députée du Rhône Sarah Tanzilli pour “dénonciation calomnieuse et diffamation publique” après avoir été interpellée publiquement sur Twitter par des électeurs. C’est diabolique de voir cet individu ou son collègue faire des interviews partout, continuer à communiquer sur cette affaire, et apparaître dans les talk-shows télévisés pour parler de moi avant que justice ne soit rendue.
Quand j’étais à Cannes pour mon entretien avec la mission locale, qui a été annulé à cause de tout cela, elle m’a publiquement humilié. Le lendemain, je la confronte avec des preuves de cet acte répréhensible, et elle agit comme si j’étais à blâmer. Cela a eu un impact majeur sur ma carrière d’influenceur, mais surtout sur ma fibre morale. Ce n’est pas juste que Twitter soit celui qui me condamne, dit-elle.
Poupette Kenza s’est prononcée contre le cyberharcèlement que subit la législatrice du Rhône. Le cyberharcèlement que le législateur a enduré a ma plus forte condamnation. J’ai alerté mon voisinage des dangers de cette drogue et des sanctions qui vont avec. J’aimerais qu’elle fasse la même chose pour moi”, nous a-t-elle confié.
Sans attendre que justice soit faite, il a déclaré : « De nombreux médias ont fait preuve de partialité, ont fabriqué des preuves et travaillent activement à détruire ma réputation et le fruit de mon travail. traités par le système judiciaire, beaucoup de gens auront honte de se taire ou d’être prudents. »