Affaire Patricia Dagorne – La juge a détaillé son mode opératoire, qui consistait à donner du Valium à ses victimes, dont deux adolescents en 2011 et 2012. Chaque bouteille de Valium ne coûtait que quelques euros. La cour d’appel d’Aix-en-Provence a reconnu la soi-disant “veuve noire” coupable de deux chefs de tentative de meurtre mais l’a acquittée de deux chefs de meurtre. Elle n’a purgé que 14 des 22 années de prison possibles.
La Provence vous surprendra. Les juges n’étaient pas d’accord avec l’avocat général du tribunal, qui avait requis 30 ans d’emprisonnement pour la femme, qualifiée de “la veuve noire” en raison de sa réputation de voleuse en série. En 2018, lors de son procès en première instance à Nice, elle avait déjà purgé 22 ans de prison pour un délit pénal.
L’accusateur a été reconnu coupable d'”administration de substances nocives” contre deux hommes adultes qui s’étaient rencontrés par l’intermédiaire d’une agence matrimoniale et avaient survécu. Cependant, elle a été déclarée non coupable de meurtre dans deux affaires de 2011 impliquant du Valium : l’une impliquant la mort d’un maçon à la retraite de 85 ans près de Cannes nommé Francesco Filipponne, et une autre impliquant la mort d’un soldat des FDS nommé Michel Knefel dans un Nissanian. hôtel.
Lundi matin, Patricia Dagorn a fait son ultime déposition devant la cour d’appel d’Aix-en-Provence, déclarant qu’elle était “victime d’une erreur judiciaire” et qu’elle était innocente de toutes les charges retenues contre elle. L’avocat de Cédric Huissoud a plaidé la veille au soir pour l’acquittement de son client, qualifiant la procédure de “sans file d’attente ni tête” et de “sans élément probant”.
Cependant, l’avocate générale Béatrice Vautherin avait souligné la “dangerosité” de Patricia Dagorn, s’inquiétant de sa “joie de donner la mort à ces messieurs vieillissants” et de “la haine qu’elle a envers les hommes”. Elle avait décrit un suspect qui vivait “sans loi et sans lien avec personne”, mais qui était poussé par le besoin de “faire un panier à main avec la richesse des autres”. Mardi, Patricia Dagorn, également connue sous le nom de “diabolique de la Riviera”, a été condamnée à 14 ans de prison pour l’empoisonnement de deux hommes âgés sur la Côte d’Azur. Deux accusations de meurtre contre elle ont été abandonnées.
Mardi, Patricia Dagorn a été reconnue coupable en appel et condamnée à 14 ans de prison pour la tentative de meurtre et d’empoisonnement de deux hommes âgés sur la Côte d’Azur ; les deux hommes ont survécu. Cependant, elle a été déclarée non coupable du meurtre de deux autres personnes par la cour d’appel.
Les juges n’étaient pas d’accord avec le procureur de l’État, qui avait requis 30 ans d’incarcération contre la femme de 58 ans accusée d’être un agresseur en série. Elle avait été condamnée à 22 ans de réclusion criminelle à Nice pour ces meurtres et attentats à la bombe.
Vêtue d’un pull beige, Mme. Dagorn a fait sa déclaration finale devant la cour d’appel d’Aix-en-Provence lundi matin, clamant son innocence de tous les crimes et délits dont elle était accusée et se déclarant par avance “victime d’une bavure judiciaire”.
La procureure générale Béatrice Vautherin avait en revanche souligné la “dangerosité” de Patricia Dagorn, s’inquiétant de sa “joie de donner la mort à ces vieux messieurs” et de sa “haine des hommes”. Elle avait décrit un suspect qui vivait “sans loi et sans lien avec personne” mais qui était rongé par le désir de “faire un panier à main avec la richesse des autres”.
Affaire Patricia Dagorn : la courtière des chagrins d’amour à l’agence Dagorn
Dix hommes, pour la plupart des retraités, sont tombés dans le piège de la sulfureuse quinquagénaire, dans laquelle elle leur a donné des médicaments contre leur gré et les a placés sous son contrôle. Angéline Da Costa a édité les oeuvres de Jean-Alphonse Richard
posté le 26 juin 2023 à 18:05 UTC
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Patricia Dagorn n’aimait pas être seule. Elle cherchait des messieurs âgés qui pourraient lui remonter le moral, à condition qu’ils vident leurs poches au passage. Arrêtez d’essayer de les rendre conformes en distribuant des doses de gâteau de Valium, de méthadone et de méprobamate.
Alors que le profil d’un entrepreneur en série se dessine, Patricia restera cachée des autorités jusqu’en 2012. Le bilan de santé Robert Mazereau, retraité veuf de 87 ans, inquiète sa fille jusqu’à ce qu’elle apprenne qu’il héberge une femme en échange de faveurs sexuelles mais qu’elle ne veut finalement que son argent. Son sang contient des benzodiazépines, mais aucun médecin ne lui en a prescrit. Les enquêteurs se mettent rapidement sur la piste de ce mystérieux compagnon.
La police interroge alors Patricia Dagorn, 52 ans, soupçonnée d’avoir soudoyé Robert Mazereau pour le poignarder à mort. Mais il ne sera pas le seul : les flics trouvent un trésor de preuves dans les effets personnels du suspect. La petite amie du tueur en série a soigneusement gardé une trace de tous les hommes qu’elle avait empoisonnés en conservant des copies des testaments et autres documents qu’ils avaient signés.
Job-jumper répété
Comme un tueur en série, une empoisonneuse approchera des hommes âgés, célibataires et pas nécessairement riches dans l’espoir d’avoir des relations sexuelles en échange d’argent. Jamais du genre à reculer devant un défi, elle les a drogués jusqu’à la folie avec du Valium et d’autres substances afin de leur voler de l’argent et des objets de valeur ou de leur faire signer des formulaires confirmant qu’ils lui laissaient leur succession.
Soupçons de féminicide à Paris après qu’un homme aurait été accusé d’avoir agressé mortellement son ex-amant.Cependant, deux de ces hommes ont été retrouvés morts : Michel Knefel, 65 ans, et Francesco Filippone, 86 ans. L’importance de leur maître dans leur mort n’était pas claire ou négligée. En juin 2015, Patricia Dagorn a été chargée de surveiller une série d’attentats potentiels autour de la Côte d’Azur. Ce n’est que dans l’affaire Robert Mazereau, pour laquelle elle a été condamnée, et l’affaire Robert Vaux qu’elle a reconnu une quelconque implication.
Les psychologues et les enquêteurs dressent le portrait d’une femme intelligente et calculée qui nie la plupart des allégations portées contre elle. Selon le journaliste de RTL et niçois Michal Lefebvre : “Elle est malheureuse de part sa relation avec son ex-conjoint, qui était très manipulateur […] ils avaient une relation très particulière et très malsaine.” C’est ainsi qu’il décrit une femme qui se considérait comme une victime alors qu’elle n’avait aucune intention de nuire.
Elle avait initialement été condamnée à 22 ans de prison, mais après une audience de cour d’appel, sa peine a été réduite à 14 ans pour le seul enmposonnement des policiers à la retraite Ange Pisciotta et Robert Vaux faute de preuves l’impliquant dans la mort de Michel Knefel et Francesco Filippone.
Membres de “L’Heure du Crime”
La loi dit qu’il a abusé et réduit en esclavage un certain nombre d’hommes âgés. La cour d’appel des Alpes-Maritimes avait précédemment prononcé une peine de 22 ans de prison contre Patricia Dagorn, 58 ans. Elle est surnommée la “Veuve noire de la Côte d’Azur” et sera en compétition jeudi.
Patricia Dagorn, 58 ans, est accusée d’avoir tué deux veufs en 2011 sur la Côte d’Azur. Elle a été accusée de meurtre, d’empoisonnement et de distribution de produits chimiques nocifs, et elle plaidera sa cause devant le tribunal ce jeudi. Après un procès qui s’est déroulé il y a presque exactement un an, il a été condamné à 22 ans de prison par la cour d’appel des Alpes-Maritimes. Selon les accusations, sa récente série de vols sur la Côte d’Azur n’était motivée que par le désir de soulager ses victimes de leurs biens et de leur richesse.
Patricia Dagorn a eu recours aux services de plusieurs agences matrimoniales, affirmant son désir de rencontrer des hommes âgés de 50 à 80 ans, pour entrer en contact avec ses victimes potentielles. Deux des victimes qui ont survécu à l’empoisonnement en ont témoigné au procès de Nice. L’expert a témoigné que la « Veuve noire » était obsédée par l’argent.
Patricia Dagorn risque l’incarcération permanente dans une prison pour crime pour son double homicide prémédité.Le tribunal des Alpes-Maritimes l’avait condamné à 22 ans de prison. La cour d’appel des Bouches-du-Rhône a tranché : Patricia Dagorn est coupable de deux meurtres et condamnée à 14 ans de prison en appel.
Elle a été reconnue coupable de deux meurtres mais condamnée à 14 ans de prison. Le procureur de la République, Béatrice Vautherin, a requis 30 ans de prison des juges de la cour d’appel d’Aix-en-Provence, conformément aux premières demandes formulées par le parquet. bureau. Elle avait initialement été condamnée à 22 ans de prison mais avait fait appel de la décision.