Affaire Frederic Audibert

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Affaire Frederic Audibert – En 2003, les médias n’utilisaient toujours pas l’expression « fémicide ». Cette étiquette convient à l’assassinat commis le 12 octobre par Frédéric Audibert, un homme violent envers tous ses compagnons. Le même individu est également soupçonné de la disparition et du meurtre présumé de son nouveau-né, un nourrisson. Le couple vivait dans une cabane dans la ville de Mas, dans les Alpes françaises, où il élevait et montrait des chiens. Leurs désaccords étaient largement connus.

Leur enfant devait être placé dans une famille d’accueil temporaire il y a quelque temps, mais aucun des parents n’a été vu ni entendu depuis. Audibert a été arrêté dans une chambre d’hôtel avec une arme à feu et des photos du défunt ; en mai 2008, il a été reconnu coupable à la fois de meurtre et de vol à main armée et condamné à trente ans de prison. La cour d’appel des Bouches-du-Rhône a confirmé le verdict initial en mars 2009.

Frédéric Audibert n’a, pour une fois, rien trouvé à critiquer. Hier vers 19h00, le président de l’A.-M. cour d’appel, Jacques Calmettes, a rendu le verdict : 30 ans de réclusion pour avoir agressé sa compagne de 33 ans, Sandrine Autret, et abandonné leur fils en bas âge, Antoine, à souffrir.Si les juges n’ont pas prononcé la peine de mort, ils se sont au moins conformés aux stipulations du procureur général M. Darras.

Les parents, le frère et la sœur de Sandrine ont tous fondu en larmes avant que la famille n’aille embrasser l’avocat de Sandrine, Me Sivan. Pour notre fille et notre fils, que nous ne reverrons jamais, nous avons attendu cette décision. Ces 30 ans ont enfin mis fin à notre attente de cinq ans, comme le disait Maurice Autret.

Quarante ans, et toujours pas de vérité… Frédéric Audibert ne passera pas sous silence la fin tragique du petit Antoine, prisonnier de son mutisme et l’esprit embrumé par des années d’excès et d’interprétations concurrentes des événements. Il a raté son procès tout comme il a raté tous les autres rendez-vous de sa vie, ruinant la vie de tous ceux qui prévoyaient de le rencontrer.

Il a fait une terrible impression sur le public au cours des quatre jours d’audience. Me Denis-Peraldi a été forcé d’admettre : « C’est un cas difficile à cause des dénégations persistantes de mon client. Même si la vérité les regardait en face. Parfois, un peu de décence et de courage étaient nécessaires à cause de la souffrance des êtres chers des autres.

Il était inhabituel pour Audibert d’agir comme un adulte. Me Denis-Peraldi a plaidé, “Cet homme de 41 ans est aussi un enfant de 13 ans”, avant d’évoquer ses blessures d’enfance, comme pour lui pardonner d’avoir commis une bêtise trop difficile à reconnaître.

“Il n’y a pas eu de préméditation, mais il a assassiné Sandrine le soir du 12 octobre 2003, au Mas. Il y a des éléments objectifs, a insisté M. Darras.Le procureur s’est appuyé sur “l’excellente enquête” menée par la police de Grasse. Il a fallu plus de trois ans d’efforts minutieux pour reconstituer ce qui est arrivé à Frédéric Audibert, un gamin gâté qui a grandi pour devenir un prédateur, un tortionnaire et finalement un meurtrier de femmes vulnérables.Sandrine voulait-elle rompre avec lui ? Il l’a assassinée après une nuit de réjouissances ivres et a ensuite revécu l’expérience pour le public.

Le 22 mai 2008, un juge a condamné Frédéric Audibert à trente ans de prison. Il a assassiné sa compagne, Sandrine, et a abandonné leur nouveau-né pour mourir. Cinq ans plus tôt, la mère de l’enfant avait alerté les autorités alors qu’elle n’avait toujours pas de nouvelles de son fils. Ils trouvent une maison sale mais déserte. Dix jours plus tard, ils retrouvent le père dans une chambre d’hôtel, où ils trouvent une arme à feu et des images de l’adolescent assassiné.

Vendredi, la cour d’appel de la région française des Bouches-du-Rhône a confirmé la condamnation d’un homme accusé du meurtre de sa compagne et l’a condamné à trente ans de prison, comme l’a appris l’avocat du client, Me Michel Cardix.

Le tribunal a ainsi confirmé la condamnation prononcée en mai 2008 par la cour d’appel des Alpes-Maritimes à l’encontre de Frédéric Audibert, 42 ans, accusé d’avoir tué sa compagne Sandrine Autret, 33 ans, à l’automne 2003. Le couple vivait une existence marginale dans un cabanon de l’arrière-pays de Nisyros, où ils élevaient et montraient des chiens. Ils étaient bien connus pour leurs disputes violentes.

Audibert a également été accusé d’avoir abandonné leur enfant de 3 mois et de l’avoir laissé mourir dans un état d’abandon. Le corps de l’enfant n’a pas encore été localisé. Même au téléphone, il a affirmé que l’enfant était vivant et vivait avec l’un de ses amis en Espagne, mais il n’a jamais fourni de récit cohérent des événements.

Les résultats des enquêtes urgentes du président du tribunal ont réfuté ses affirmations. Le 23 octobre 2003, la PMI de Grasse saisit le procureur de la République. Antoine, deux mois, devait entrer en intérim, mais ses parents, Frédéric Audibert et Sandrine Autret, avaient cessé de communiquer.

Ils sont considérés comme des parias dans la communauté de Sausses en raison de leur mode de vie reclus et de leur propension à l’alcool. La police arrive chez eux mais n’y trouve personne à part les chiens agressifs de Frédéric. Les parents de Sandrine sont sans nouvelles de leur fille depuis dix jours.

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Mais Frédéric les a appelés. Il a demandé s’ils savaient ou non où se trouvait Sandrine. Il appelle également fréquemment sa famille, à qui il parle souvent de manière incohérente. Et quand la police vient frapper, il refuse de les laisser entrer, disant qu’il a de sérieux problèmes.

La police traque ses appels à Nice, visite chaque hôtel de la ville et finit par l’arrêter au bout de sept jours. Ils trouvent dans sa chambre une arme à feu, un appareil photo jetable et un téléphone portable qu’Audibert a cachés dans le compartiment à rouleaux de papier toilette. Il affirme avoir vu Sandrine pour la dernière fois les 12 et 13 octobre, lorsqu’ils ont passé la nuit séparément. Il a bu trois gallons de pastis hier soir. Deux jours plus tard, à son réveil, Sandrine était introuvable.

Cependant, le bébé n’en fait pas partie. Jusqu’à ce qu’elle revienne et le sorte de la voiture dans laquelle il l’avait laissé au moment de faire ses courses quelques jours plus tard. L’histoire est d’autant plus troublante que les policiers ont mis au point la pellicule qu’ils ont trouvée dans la chambre d’hôtel. Il y a des plans de Sandrine nourrissant le bébé, le berçant et, dans l’image finale, allongée sur le sol. Batue. Mort…

Frédéric Audibert a toujours été un homme d’une extrême violence envers ses amis. Sandrine Autret, alors âgée de 33 ans, est décédée des suites de ses agressions en octobre 2003. Leur fils de 2 mois, Antoine, a disparu. La rumeur disait qu’Audibert avait donné l’enfant à ses chiens dans la région endormie des Alpes-Maritimes où le couple vivait dans l’isolement.

le 23 octobre 2003, la PMI de Grasse saisit le procureur de la République.La PMI de Grasse a saisi le procureur de la République le 23 octobre 2003. En mai 2008, Frédéric a été condamné à trente ans de prison pour avoir tué Sandrine et abandonné leur enfant en bas âge.

Alors, Me Cardix a joué sa carte d’as et a tenté de semer le doute dans l’esprit des jurés, qui étaient composés de 6 femmes et 4 hommes. « Antoine est toujours en vie ! Après le premier appel à l’aide de Sandrine, la famille Autret décide de gérer seule la situation et vient récupérer le bébé le 12 ou 13 octobre. Six suites, un alto, et une soirée inoubliable de Bach avec Frédéric Audibert, ancien altiste solo avec l’Orchestre philharmonique de chambre sous la direction d’Emmanuel Krivine et avec l’orchestre international du Festival de musique de Dresde.

Puisque les Suites sont “de la musique pure, spirituellement mais aussi charnelle presque sensuelle qui exprime, par des formes a priori délicates, les tourments de l’âme humaine”, pour Frédéric Audibert, toutes les interpréter, c’est pénétrer l’âme du compositeur et atteindre un état d’osmose parfaite.

Frédéric AUDIBERT, PERSONNE PHYSIQUE, est l’actuel gérant de la SARL MOTOSTART. L’adresse du siège social de cette société est Av Mal Juin, Lavandou (83). À proximité, l’école primaire Marc Legouhy se trouve à cet endroit. Sa commercialisation a commencé dès le début du premier semestre 1994. Depuis 2009, elle a ajouté 220 000 euros à son capital, portant le total à 500 000 euros.

A la fin du deuxième trimestre 2018, le chiffre d’affaires déclaré s’élevait à 585 712 €, une baisse significative de 10% par rapport au chiffre publié dans le précédent bilan envoyé quatre ans plus tôt. Il existe au total trois entreprises dans ce domaine dans le Lavandou.

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