Affaire Alain Penin – Marcy” est un expert juridique qui a été consulté par un expert médical qui a été consulté par un avocat qui a été consulté par un avocat qui a été consulté par un avocat.Le TGI de Lille a retenu vendredi la “responsabilité civile” d’un psychiatre qui avait évalué favorablement un an avant sa récidive le meurtrier de Natacha Mougel en 2010 près de Lille, mais écartant sa responsabilité dans le crime lui-même.
Condamné en 2006 pour viol, Alain Penin a été libéré sous condition fin septembre 2009 avec obligation de soins. Natacha Mougel, 29 ans, a été abattue par lui à Marcq-en-Baroeul début septembre 2010, moins d’un an plus tard.
Le psychiatre expert Laurent N. rapportait le 14 septembre 2009 que le viol était un « acte isolé, dans un moment de désespoir sous l’emprise d’une substance illicite. Le risque de récidive, s’il existe, reste limité. “La chambre civile du tribunal a estimé dans son verdict rendu vendredi que le médecin a commis “deux fautes, chacune d’une gravité particulière de nature à engager la responsabilité.
Il est indéniable que l’individu en question n’a pas fait le minimum pour assumer ses responsabilités. En 2014, avant que la cour d’assises ne condamne Penin à la prison à vie, assortie d’une peine de 22 ans de sûreté avec possibilité de maintien en détention, le médecin a reconnu avoir émis un avis sans consulter l’historique du dossier médical et avoir omis de le mentionner. dans son rapport.
L’avocat de la famille de la victime, Bruno Drye, s’est dit “satisfait” du résultat de l’audience unique qui s’est déroulée le 2 juillet. Ils espèrent qu’en attirant l’attention sur le problème,Un autre professionnel de la santé, un médecin chargé de la coordination, n’a pas été tenu responsable.
C’est le cycle de la délinquance et de la récidive. L’absence de danger
Ils ont déjà été indemnisés par la cour d’assises et le tribunal administratif pour la perte de leur fille.L’épreuve de la récidive a commencé. “Le risque zéro n’existe pas”, a affirmé l’avocat de la défense Me Réza-Jean Nassiri, traitant Alain Penin de “pervers capable de masquer la réalité” tout au long de l’audience.
Alain Penin a été reconnu coupable du meurtre de Natacha Mougel et condamné à perpétuité.Un homme accusé du meurtre d’un jogger en 2010 a été condamné à perpétuité avec 22 ans de sécurité à la cour d’assises du Nord.
Je sais que je devrais m’excuser, mais je n’ai aucun espoir d’être pardonné. Je dois être puni. Voici les dernières déclarations prononcées par Alain Penin à l’issue de son procès pour le meurtre de la coureuse Natacha Mougel, en septembre 2010, à Marcq-en-Baroeul (Nord).
le dit dit dit dit dit dit dit dit dit dit…et dit dit… “dans ce cas, la sécurité maximale légale” (22 ans) a été ajoutée à la peine à perpétuité d’Alain Penin. Me Abderrahmane Hammouch a déclaré : “Mon client accepte cette sentence et il n’envisage pas de faire appel”.
Tout au long des débats, la question de la récidive a été au premier plan. Après sa sortie de prison en 2009, Alain Penin, 42 ans, condamné pour viol en 2006, a rencontré sa deuxième victime alors qu’il était en liberté conditionnelle. Un examen des quatre événements les plus marquants du procès.
Les faits relatés par Alain Penin sont inquiétants.
Alain Penin, jugé depuis lundi pour enlèvement, isolement, torture, tentative de viol avec arme et intention d’homicide, reconnaît avoir fait quelque chose “d’horrible”. Il avoue avoir uniquement pensé « à [lui] » le 5 septembre 2010, et avoir considéré Natacha Mougel, 29 ans, comme un « objet sexuel ».
Par ailleurs, Alain Penin révèle qu’il a “perdu le fil de [son] scénario” en n’atteignant pas ses objectifs, et qu’il a fini par frapper une centaine de personnes avec un tournevis, dont un dénommé Natacha Mougel qui avait les mains liées avec un tournevis. son lacet et était tombé au sol depuis le coffre de la voiture de Penin. Alors qu’elle résistait, il l’a étranglée cinq fois.
102 coups de tournevis portés à la tête, au torse, au ventre et au dos de la victime ont été documentés par les médecins légistes, qui ont témoigné devant le tribunal que la victime avait enduré « des souffrances physiques extrêmes » en conséquence.
Ils pensent que ces coups ont été portés en une heure, le dernier atteignant l’oreille droite et prouvant la mort. Il parle calmement depuis sa boîte, les mains derrière le dos, les pouces travaillant : “Je pense que c’est [à cause de] la frustration de ne pas avoir pu faire l’amour.”
Les parties civiles traversent leur journée la plus difficile à ce jour. “Avec une autre difficulté qu’ils n’imaginaient pas : cette impartialité de l’accusé, qui raconte tout cela en spectateur, sans manifester la moindre empathie, sans exprimer de regret”, a déclaré Emmanuel Rabier, l’avocat de la victime.
La famille de, répond. Selon sa première victime, il « a vu la mort dans ses yeux ».
Alain Penin a finalement rencontré la femme qu’il avait violée en 2004, Sylvia Peromingo, le jour de l’ouverture de son procès. Elle a déclaré au juge : “Il est dangereux, c’est tout ce qu’il faut savoir”, et elle n’avait que 34 ans. Agressée par Alain Penin alors qu’elle faisait un jogging en région parisienne, elle rappelle avoir fait des efforts pour “garder le contact” avec son agresseur malgré son avertissement : “Si tu cries, je te tue”.
Il y a travaillé pendant deux heures et a réussi. Deux heures se sont écoulées. Il a certainement endommagé 9 ans de ma vie. Même maintenant, je traverse une période difficile. Je pense qu’il n’aurait pas dû sortir”, dit-elle, la tête haute et les yeux fixés sur son agresseur.
Elle a été rencontrée par France 3 avant son procès. Voici sa déclaration :
Le juge chargé de l’application des peines regrette d’avoir été libéré en 2009. qui a rendu public son verdict par visioconférence. Il a libéré Alain Penin sous caution et sous conditions en septembre 2009.
Il y avait cependant des “éléments positifs” pour lui accorder cette libération restreinte, explique l’ancien JAP, notamment l’absence “d’incidents de détention” et “d’efforts significatifs” de sa part, ainsi que des “soins liés à sa condamnation”.
Selon Loc Binault, “Alain Penin a présenté de sérieux efforts de réinsertion”, qui comprenaient “une promesse d’emploi aux Restos du coeur” et “une place en foyer”.
Une personnalité de « tueur en série », telle que définie par les psychiatres
Le tribunal souhaitait également savoir si Alain Pénin avait influencé ou non les psychiatres. Son avocat, Abderrahmane Hammouch, a déclaré : “Je ne pense pas qu’il ait la capacité de tromper et de manipuler les experts à ce point”. “Ce procès pose une question essentielle : c’est le poids de l’expertise psychiatrique dans le contexte de la sortie, qu’elle soit favorable ou défavorable”, ajoute-t-il.
Pour la plupart mis à témoin mercredi, ces experts ont défini “la personnalité” d’un tueur en série, dont la responsabilité pénale est “pleine”. Par certains côtés, le personnage d’Alain Penin s’apparente à celui de Michel Fourniret. Le psychologue Jean-Luc Ployé, qui a évalué les tueurs en série Francis Heaulme et Michel Fourniret, commente : “Ces derniers sont partis en chasse”.
À mon avis, c’est un déviant sexuel. Il aspire au pouvoir absolu. Il continue d’insister sur le fait que “sa dangerosité criminologique est très importante, toujours active”, et qu’il a des doutes “très réservés” sur sa possibilité de réinsertion dans la société.
Cependant, comme le souligne le psychiatre et spécialiste des affaires pénales Daniel Zagury, trois meurtres suffisent pour déclarer cette personne comme un meurtrier en série. Défendant le travail des experts, il note qu’Alain Penin “a peut-être manqué de prudence dans la forme” : On ne peut pas procéder sans la paperasse. Nous ne pouvons pas procéder à une évaluation si la justice ne nous en donne pas accès. Ce n’est peut-être pas la faute de l’évaluateur. »
Évaluation du prévenu par le procureur : « nitroglycérine humaine ». Malgré son attitude apparemment banale, il est une bombe à retardement.Alain Penin, un délinquant en série, risque la prison à vie pour le meurtre brutal de Natacha Mougel en septembre 2010.
Jeudi, Alain Pénin a été condamné à la peine maximale de prison à vie assortie d’une peine de sûreté de 22 ans. Cette semaine, le récidiviste de 43 ans accusé du viol et du meurtre de Natacha Mougel en septembre 2010 a été jugé devant la cour d’assises de Douai.
“Vous n’avez pas d’autre choix que la peine maximale : la réclusion à perpétuité”, a déclaré devant le jury le procureur général Jacques Bouzigues, avant d’ajouter : “L’homme que vous devez juger, c’est la nitroglycérine humaine”. Inoffensif en surface, il menace d’exploser à tout moment.