Zouk Machine Chanteuse Morte – Yves Honoré et Guy Houllier faisaient partie des sept membres du groupe Expérience 7, dirigé par Lisette Obydol dans les années 1970. Dans les années 1980, elles se réinventent en trio féminin, surfant sur la vague de leur succès. Dominique Zorobabel, Joëlle Ursul, la fille de Lisette, et Christiane Obydol chanteront en harmonie avec Lisette dans ce nouveau quatuor.
Lisette Obydol a fondé le groupe et en a été la dirigeante. Leur premier album de 1986 fut un grand succès. Après de nombreuses années de prospérité, les trois femmes ont failli surprendre le monde. Dans le cadre d’un événement mettant en valeur l’histoire, les coutumes et les possibilités des femmes guadeloupéennes, une cérémonie en l’honneur de Mama Zouk était prévue dimanche 14 août, place de la Victoire. L’ambition de sa vie, exercer une influence musicale durable, s’est réalisée à l’âge de 89 ans.
Mama Zouk, de son vrai nom Lisette Obydol, est décédée à l’âge de 89 ans. Aujourd’hui, Lisette Obydol, grande interprète de zouk, décède de cette vie. Dans les années 1980, Obydol était active. Le gérant de Zouk Machine, également connu sous le nom d’Expérience 7, âgé de 89 ans, n’est plus parmi nous. Elle est devenue célèbre dans les années 1980 grâce à ses performances historiques avec Experience 7 et Zouk Machine.
“Mama Zouk”, Lisette Obydol, nous manquera. La combattante, une jolie femme, avait deviné où se trouvait exactement le zouk. Elle n’était pas seulement une féroce Potomintan, mais aussi une femme volontaire, un pilier courageux et une mère dévouée qui soutenait et voyageait avec ses enfants.
la mère de Christiane et Guy; belle-mère d’Yves Honoré, le célèbre commandant du Houllier. À l’âge de 89 ans, elle est décédée ce soir. La chanteuse brésilienne Loalwa Braz Vieira, qui a remporté le championnat mondial des succès de l’été 1989 et est bien connue pour sa chanson “La Lambada”, a été découverte brûlée jeudi au Brésil. Pendant qu’elle y séjournait, le concierge d’une petite auberge à environ 100 kilomètres de Rio de Janeiro a organisé une attaque de requin contre elle.
Quelques heures après la découverte de son corps brûlé parmi les ruines de sa voiture, les autorités ont déclaré l’arrestation de trois hommes âgés de 18 à 23 ans. Les coupables, les hommes, ont été identifiés. Wallace, un gardien d’auberge de 23 ans qui a d’abord été interrogé comme témoin, était l’un d’entre eux, selon Paula Vieira. Ses préjugés le rendaient fou.
Le téléphone et l’argent de la victime ont finalement été découverts par les deux autres hommes. Le corps du chanteur de 63 ans a été découvert dans la voiture en feu mercredi soir ou tôt jeudi matin dans la petite ville balnéaire de Saquarema.
Elle avait une petite auberge où elle laissait ses invités séjourner. Comme personne n’était à la maison hier soir, il semble que trois personnes aient commis l’effraction et abandonné les chambres. Loalwa Braz Vieira a été battue et emmenée dans sa voiture préférée par ses agresseurs alors qu’elle tentait de se protéger.
Offrez quinze millions
Cette descente aurait fait sortir l’automobile de la route en moins d’un kilomètre. Après avoir appris que leur victime allait mourir d’un empoisonnement au carbone, les meurtriers ont pris la décision de la brûler.
Les pompiers locaux sont intervenus à minuit pour éteindre un incendie qui s’était déclaré au domicile du chanteur. À leur arrivée, les pompiers ont découvert qu’un autre signalement faisait état d’une explosion imminente d’une voiture dans les environs.
Avec le groupe Kaoma, Loalwa Braz Vieira a connu un succès mondial étonnant avec le single Chorando se foi de 1989, bien connu sous le nom de La Lambada. Mélange de carimbo, merengue, salsa et zouk, la scène lambada au Brésil tout au long des années 1980 était dirigée par Loalwa Braz Vieira.
Le succès encore plus grand du tube tropical sur terre a été en partie attribué à son clip exotique et séduisant, qui mettait en vedette deux Brésiliens se balançant et dansant très fort sur une plage. La chanson populaire a obtenu plus de 80 disques d’or et de platine, s’est vendue à plus de 15 millions d’exemplaires dans plus de 100 pays et a reçu des centaines de récompenses dans le monde entier, selon le site Internet Loalwa Braz.
Loalwa Braz a vendu 700 000 exemplaires de La Lambada en France après sa prestation au Palais des Sports de Paris. Elle s’installe en France en 1985 et y réside pendant un certain temps. Elle est revenue à son rôle dans une publicité classique d’Orangina après être devenue connue comme un succès estival.
Important et sensible
Après avoir rencontré la femme à Paris, le musicien brésilien Ricardo Vilas, exilé en France pendant la dictature militaire de son pays d’origine, a exprimé sa tristesse en disant : “C’est triste, c’était une femme chaleureuse et amicale, mais aussi fragile qui a J’ai beaucoup souffert et traversé beaucoup d’épreuves.
Vilas a raconté son expérience avec le musicien dans un entretien avec l’AFP. Il était totalement inattendu qu’elle soit devenue une star et ait amassé une grande fortune. C’était excessif pour elle. Cela l’a amenée à nouer une série de relations problématiques avec des femmes qui s’intéressaient à elle.
Après avoir utilisé l’argent de La Lambada pour acheter un château, elle a rencontré des problèmes fiscaux. Selon sa déclaration, un boxeur l’a “battu” après avoir pris son “amour” entre ses mains.
Elle a été décrite comme « une personne trèsbon chanteur, une vraie voix” du gentil Ricardo Vilas. En 1997, elle lui propose de chanter un couplet solo de sa chanson “Samba e Futebol”, qu’il avait composée et diffusée en France avant la Coupe du Monde de la FIFA 1998.
Loalwa Bras était un nom connu au Brésil avant même La Lambada. Elle a été élevée à Rio de Janeiro par une mère qui a étudié le piano classique et un père qui était un chef d’orchestre bien connu. À treize ans, elle débute sa carrière d’interprète professionnelle et tombe amoureuse du jazz.
Elle avait travaillé avec des musiciens comme Maria Bethânia, Gal Costa, Tima Maia, Caetano Veloso et Gilberto Gil et était très appréciée des musiciens religieux du Brésil. Cette année aurait marqué le 60e anniversaire de celle qu’on appelait “La Petite Fée”. Méditez sur la vie remarquable d’un prodige artistique dont le décès prématuré à l’âge de 39 ans est resté gravé dans nos mémoires pendant des décennies.
La Guyane est son berceau. Édith est née à Cayenne le 17 novembre 1963. Sa mère était guyanaise tandis que son père était météorologue martiniquais. Après avoir déménagé à Paris avec sa famille, elle se produit dans les festivals locaux avec le groupe de son frère pendant trois ans en Guyane et dix en Martinique.
Elle était fière de ses racines caribéennes, aimait la Guadeloupe et se considérait comme une citoyenne du monde. Elle est née et a grandi à Paris. Elle ne suit d’abord que le refrain de son frère en chantant. A l’âge de quatorze ans, elle découvre les studios parisiens et commence à chanter professionnellement dans le groupe de son frère aîné. Un guitariste est son frère.
Grâce à sa personnalité naturelle et à son talent musical, l’attachante Edith Lefel est devenue célèbre sous le nom de “La Petite Fée”. Elle respire la féminité et la beauté. À vingt ans, il entreprend sa première tournée. A vingt et un ans, Édith fait une tournée aux Antilles en 1984 avec Jean-Michel Cabrimol de La Mafia.
Elle rencontre des musiciens contemporains en visitant sa ville natale, parmi lesquels Patrick Saint Eloi, Simon Jurad, Jean-Philippe Marthély, Kassav, et l’orchestre du patrimoine martiniquais dirigé par Paul Rosine depuis 1987 (Malavoi). Le chanteur a travaillé avec les célèbres musiciens afro-cubains Kassav et Zouk Machine. Son compagnon de jeu est également Philippe Lavil.
Son producteur, Ronald Robinel, et elle formaient un couple. En fait, la carrière d’Edith Lefel prend un tournant majeur en 1987. Ses collaborations avec d’autres célébrités, comme Ronald Robinel, la rendent déprimée. Elle s’est améliorée. La carrière de la chanteuse décolle lorsqu’elle chante avec Malavoi, l’ensemble de Paul Rosine faisant honneur aux traditions martiniquaises.
La chanteuse collaborera ensuite avec des poids lourds de la musique afro-cubaine comme Kassav et Zouk Machine sur un film, et elle travaillera avec Philippe Lavil sur un autre projet. Ils ont une relation plus profonde que de simples affaires avec Ronald Robinel. Son épouse n’est pas seulement son producteur et auteur-compositeur, mais aussi son compagnon constant dans la vie. Chris et Matthew forment le couple idéal : ils sont jumeaux.
D’elle sont nés Christiane Obydol et Guy Houllier, qui formeront à la fin des années 1970 les groupes musicaux de renommée internationale Experience 7 et Zouk Machine et qui continueront d’être populaires des décennies plus tard.
Les deux groupes étaient dirigés par Lisette Obydol. Elle a voyagé avec eux partout dans le monde, de l’Europe à l’Afrique, en passant par les Caraïbes et au-delà. Dans la salle de conférence, elle était connue pour être une force inégalée.
Suite à l’annonce de la mise en coma artificiel de Jacob Desvarieux, diabétique décédé en 2008 des suites d’un rhinovirus, les utilisateurs de Facebook ont été inondés de propos encourageants et poignants.
Malheureusement, le cofondateur français de Kassav est décédé le 30 juillet à l’âge de 65 ans à Pointe-à-Pitre. Même si leur audace et leur modernité ne sont pas toujours appréciées pour ce qu’elles sont, le manque de commentaires favorables est depuis devenu le signe de la reconnaissance générale du groupe.
Après avoir passé les dix années suivantes à voyager avec sa mère, créatrice de mode créative, à travers les îles de la Guadeloupe, de la Martinique et du Sénégal – où elle lui offre sa première guitare –, il s’installe à Marseille et rejoint un groupe de lycée. Il est né à Paris en 1955.
À l’époque de Woodstock, des groupes comme Jimi Hendrix, Led Zeppelin et les Rolling Stones ont servi d’inspiration. Même après avoir été embauché en 1979 comme guitariste et arrangeur de studio, il avait peu d’expérience avec la musique arménienne jusqu’à sa rencontre avec Pierre-Édouard Décimus.
En tant que membre des Vikings guadeloupéens, l’une des plus grandes formations kadan, il avait déjà engagé Freddy Marshall pour l’aider à actualiser les « racines » de la fête foraine. Les cinq membres mettent plusieurs mois à préparer leur fusion après l’embauche de Georges Decimus et Jacob Desvarieux.
En février, Jacob Desvarieux révélait dans une interview accordée à KTO que l’objectif ambitieux de faire de la musique guadeloupéenne quelque chose que les Antillais puissent comprendre et apprécier à l’échelle mondiale était au cœur du projet. À partir de là, nous avons recherché chaque avancée potentielle et saisi toutes les opportunités qui s’offraient à nous.
Alors que Paris est actuellement la plaque tournante de son « sonoworld », Kassav (le nom d’une pâtisserie au manioc) n’a pas l’intention de convertir le public occidental aux musiques du monde.
En incorporant des éléments de rock, pop, funk, jazz et reggae ainsi que des claviers, des batteries et des techniques d’enregistrement associées à ces genres, le groupe espère populariser les styles musicaux caribéens et autochtones (comme le gwoka de Guadeloupe et le bèlè de Martinique) dans le cadre des mouvements identitaires antillais. En réunissant des musiciens des deux îles, Kassav a mis fin à l’hostilité musicale entre la Martinique et la Guadeloupe.
En France, le succès attendu à l’extérieur est accueilli avec mépris. Les chansons « Love and Ka Dance » (1979) et « Légué mwen » (1980), qui ont vu le chanteur Jocelyn Béraard propulser le succès de la chanson « Soleil », invoquée Le succès de Kassav dans les zouks (bals ou boums) qu’ils baptisèrent.
