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Zola Mort Hotel
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Zola Mort Hotel – Comment se fait-il que Zola soit mort? C’est sûrement un canular. La rumeur est en ébullition: la légende du rap Zola est-elle décédée? Une fois que ce ne sera plus la norme, deux histoires sur des sites Web “humoristiques” suffiront à amener les gens à poser sérieusement la question Alors qu’un article proclame : «

Le célèbre rappeur français Zola a été découvert mort dans une chambre d’hôtel à Paris cet après-midi », un autre, publié sur l’obscur site Actualite.co et largement partagé sur les réseaux sociaux, précise : « Le rappeur Zola et mort ce midi [sic].”

Mais pourquoi les artistes, et les rappeurs en particulier, font-ils si souvent l’objet de rumeurs de cette nature ? Il y a un an, c’est Ninho, un jeune rappeur français, qui a été signalé mort dans un accident par un autre site satirique, provoquant une inquiétude généralisée sur les réseaux sociaux. Buzzing ou espionnage malveillant ? La requête est posée.

Malgré son silence sur Instagram, le rappeur français Zola a dû reporter ses apparitions au festival Solidays et aux Eurockéennes après que sa mère a été tuée dans un accident de voiture le 19 juin. Le matin du 29 septembre 1902, le corps du célèbre auteur a été découvert dans sa chambre; il était mort d’un empoisonnement au monoxyde de carbone. Ses adversaires ont-ils tenté, jusqu’au bout, de saboter sa relation avec le capitaine Dreyfus ?

Lors de l’ouverture mardi du musée de l’Affaire Dreyfus, Emmanuel Macron a averti l’assistance de ne “rien oublier” des combats passés qui se sont déroulés puisqu’ils “disent que le monde dans lequel nous vivons, comme notre pays, comme notre République, ne sont pas acquis”. .”

Ce mémorial, ouvert au public depuis jeudi dernier, a été installé dans la maison qu’Émile Zola a achetée à Médan (Yvelines) en 1878 dans le but de perpétuer Bien que l’affaire contre le capitaine ait commencé en 1894, ce n’est qu’en 1906 qu’il a été disculpé, en grande partie grâce aux efforts de l’écrivain qui a écrit le désormais célèbre “J’accuse”. Le président a précisé : « Zola, c’est aussi ce combat pour lequel il a pris des risques fous, un combat éminemment républicain.

En septembre 1902, Emile Zola est retrouvé mort dans sa chambre suite à une intoxication au monoxyde de carbone. L’enquête a identifié une voie défaillante comme cause de la catastrophe. Un demi-millénaire plus tard, l’affaire refait surface avec le témoignage d’un fumeur qui affirme avoir délibérément saboté les infrastructures de l’autoroute. A une époque où l’affaire Dreyfus faisait encore polémique, l’écrivain Emile Zola fut vraisemblablement assassiné pour des raisons politiques.

En septembre 1902, Emile Zola est retrouvé mort dans sa chambre suite à une intoxication au monoxyde de carbone. Un accident s’est produit à cause d’un escalier défectueux, a révélé l’enquête.Un demi-siècle plus tard, l’affaire refait surface avec le témoignage d’un fumeur qui affirme avoir soufflé délibérément le conduit dans lequel l’écrivain Emile Zola a été tué pour des raisons politiques à l’époque où l’affaire Dreyfus faisait encore grand bruit.

La nouvelle se répandit rapidement sur Paris comme un nuage de poudre. Vous le trouverez au coeur de Clichy, non loin de la place de Clichy, au 21 bis, rue de Bruxelles. Le soir du 29 septembre 1902, Emile Zola et sa femme Alexandrine sont découverts en train de glousser dans leur chambre à l’étage noble de l’hôtel particulier où ils résidaient depuis 1889.

L’appartement est un véritable capharnaüm d’objets que l’auteur aimait collectionner mais que sa femme revendra aux enchères l’année prochaine. Parmi ceux-ci figurent des livres, des meubles et des œuvres d’art d’une grande variété d’époques. Ce matin, Alexandrine Zola s’est allongée évanouie sur le lit conjugal. On dirait qu’elle a vraiment du mal à respirer. L’écrivain est étendu sur le sol. On souffle dans un miroir et rien n’en sort.

La veille au soir, les Zola ont quitté leur résidence d’été à Médan en bord de Seine dans les Yvelines pour regagner la capitale par le train, comme ils le font chaque année à la même période. Après son arrivée à Paris, le couple mange ensemble, apparemment de bon appétit et de bonne humeur, puis ils se retirent dans la chambre principale où ils dorment côte à côte. La porte de la chambre d’Alexandrine Zola était verrouillée, comme c’est son habitude. Ni l’un ni l’autre ne se sont levés à 9 heures le lendemain matin comme ils auraient dû le faire depuis un certain temps.

Pour écrire « tout doucement, en moyenne trois pages par jour », Emile Zola s’asseyait alors à son bureau « comme un marchand à son comptoir », comme il disait. Eugénie Lavaud, la chambellan, claque sur le lit à 9h30 après n’avoir rien entendu dans la chambre. Silence.

Elle claqua la porte dans son anxiété. Les deux émeus ont été localisés. Non loin de là, leurs deux petits chiens font les cent pas, découragés. Les docteurs Lenormand et Main ont été appelés à la rescousse. Quand ils descendent dans la rue de Bruxelles, le corps d’Emile Zola est encore chaud.

Mais ni les bouffées d’éthyle, ni les deux heures d’inhalations et de tracts rimés de la langue, ni la couverture journalistique de celle-ci ne le feront revivre. La principale voix du mouvement naturaliste, qui était aussi vilipendée par certains de ses contemporains que vénérée par d’autres, est décédée. Le corps est emmené au bureau du croque-mort.

Au-dessus du canapé où il était allongé se trouve une photographie de son père, l’ingénieur italien François Zola, disparu en 1847. L’écrivain porte une chemise blanche, une barbe rase et des cheveux gris. Il apparaît calme et détendu. Seule sa pâleur menace l’irréversibilité. Il avait 62 ans à l’époque. Alexandrine Zola, sa femme, s’est effondrée et a été envoyée dans un Ehpad de Neuilly-sur-Seine. Elle sera en sécurité en un rien de temps.

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C’est “un malheur irréparable”, déplore le lendemain la revue littéraire française L’Aurore, qui avait publié le dernier ouvrage de l’auteur, Vérité (le troisième de ses Quatre Evangiles), dans le numéro en cours. La vie quotidienne est trempée dans un liseré noir. Lorsque le fondateur de L’Aurore, Ernest Vaughan, est décédé subitement, il était “en pleine force, plein talent et pleine gloire”, comme l’a écrit Vaughan.

La nouvelle de la mort du poète se répandit rapidement dans le monde : « La France perd un fils qui l’a fait honorer par sa vaillance ; les lettres françaises ne se consoleront pas longtemps du chagrin qu’elles ont subi », commente Le Journal de Genève.

Presque immédiatement, la théorie d’une mort accidentelle est privilégiée. C’est la principale conclusion de l’enquête préliminaire menée par le commissaire de police Cornette. Une autopsie est pratiquée et des échantillons de sang sont prélevés. L’asphyxie au monoxyde de carbone a causé la mort d’Emile Zola.

Lorsque le Zola revint de Médan, au début de l’automne, le temps était frais et étouffant. Jules Delahalle, leur majordome, allume un feu de boulets dans la cheminée de la chambre avant leur arrivée. Ça marchait bien avant l’été, mais ça pue le joint aujourd’hui. Le serviteur verrouille la porte, ouvre toutes les fenêtres et informe ses maîtres de l’événement dès qu’ils entrent. Alexandrine Zola a ordonné qu’en aucun cas le feu ne se rallume, et un fumiste doit vérifier la cheminée de la cheminée dès le lendemain.

Les boules de charbon ont continué à brûler toute la nuit, remplissant la pièce de fumées mortelles et endormant l’écrivain. Alexandrine Zola s’est sentie mal toute la nuit et est allée aux toilettes à côté. Lorsqu’il rentre chez lui, elle l’interroge sur ses sentiments; lui non plus ne se sent pas bien, mais il ne va pas alarmer les femmes de ménage.

Les derniers mots dits à Emile Zola étaient “Demain, nous serons guéris”. Il est probable qu’il se soit évanoui lorsqu’il s’est levé pour ouvrir une fenêtre et que, alors qu’il était par terre, il a respiré des concentrations de gaz toxiques supérieures à celles auxquelles sa femme endormie avait été exposée.

La presse parisienne n’est pas en phase avec la vague d’émotion qui déferle sur L’Aurore et, plus sombrement, sur Figaro. A l’horrible disparition de l’auteur prolifique réputé à la fois tenace et évocateur, le journal catholique La Croix consacre à peine plus qu’un entrefilet, écrivant : « Il a bien fait du mal à la France, dont il a sacrifié le reste et le rebaptiser à les satisfactions de son formidable orgueil.”

En revanche, La Libre Parole fustige « un fait divers naturaliste », évoquant la possibilité fantasque d’un suicide parce qu’une bouteille d’eau chloroforme a été retrouvée dans la stalle d’Emile Zola : « On comprend que l’homme, en voyant la vie dans son œuvre , manifestait pour elle un irrésistible dégoût.”

Il faudra attendre encore un demi-siècle avant qu’une nouvelle théorie n’émerge, remettant sérieusement en cause l’idée que la victime est décédée d’une surexposition accidentelle au monoxyde de carbone.

Un jeune reporter nommé Jean Bedel a publié une enquête intitulée « Zola a-t-il été assassiné ? en plusieurs parties pour la Libération (journal fondé par la résistance en 1941 et qui cessa de paraître en 1964) entre septembre et octobre 1953. L’émission est basée sur les confessions d’un chimiste normand nommé Pierre Hacquin qui dit avoir été dans un relation avec un homme d’affaires de Sarcelles qui faisait le commerce des fumées.

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