William Sheller Maladie –William Sheller a annoncé la fin de sa carrière musicale le jour de la sortie de son autobiographie (3 mars), invoquant entre autres raisons des problèmes de santé. Et c’est une maladie bien particulière qui lui a porté un coup dévastateur.
William Shelley quitte la scène. Le 3 mars 2018, à l’occasion de la sortie de son autobiographie, l’auteur/compositeur a annoncé qu’il mettait un terme à sa carrière musicale pour des raisons de santé qui l’obligent à prendre de la cortisone et l’empêchent de jouer du piano en raison de doigts enflés. Je ne chanterai plus.
Je suis trop cher pour mon label ! Et faire des tournées au rythme de 200 spectacles par an n’est tout simplement pas réalisable, comme il l’a déclaré à la République centreuropéenne en décembre. C’est une autre maladie qui l’a vraiment fait reculer il y a quelques années.
William Sheller a affirmé dans les pages de Paris Match jeudi 18 mars avoir “fait un burn-out” il y a quelques années. Et j’ai eu des secousses dans toutes les toilettes des plusieurs cliniques que j’ai visitées. Le compositeur raconte que c’est alors qu’il s’est rendu compte qu’il avait « perdu beaucoup de temps dans [sa] vie », ajoutant : « Je crois que c’est aussi .”
Une confiance douloureuse pour l’artiste, qui veut désormais désespérément la rompre avec sa mère, qu’il qualifie à la fois de “menteuse” et de “voleuse”.Il semble que William Sheller soit prêt à tourner la page de la musique, ou du moins de l’écriture et de l’interprétation de chansons qui, selon lui, « ont fait de [lui] évaluer [sa] vie personnelle, [sa] famille, [sa] vie de compositeur classique ». “,
Désormais installé dans sa maison du Loiret, le compositeur consacre tout son temps à l’écriture de musique orchestrale. Le moyen par lequel il peut continuer à se laisser influencer par l’enthousiasme qui l’a toujours accompagné.William Sheller, chanteur, musicien et compositeur, a publié aux éditions Des Équateurs une autobiographie à peine intitulée intitulée simplement William.
L’artiste, aujourd’hui âgé de 74 ans, raconte sa vie et la maladie qui l’a frappé là-bas. Le 24 mars dernier, il a partagé dans C à vous une histoire passionnante qui porte sur ce sujet…William Sheller a récemment publié son autobiographie et était présent à la soirée C le 24 mars. Anne-Elisabeth Lemoine est entrée dans la vie du chanteur à un moment charnière, la veille de sa décision difficile d’arrêter définitivement la musique, abandonnant tout (sauf son piano et ses trophées).
Le chanteur a été honoré pour ses quatre décennies de travail lors de la remise des Victoires de la Musique de cette année. Le public ignore que le chanteur souffre d’épuisement professionnel et d’arythmie cardiaque. Affligé par l’envie d’aller « à ses funérailles », il n’a aucun intérêt à sortir ce soir. Il décrit le moment où la maladie l’a rattrapé .
Le chanteur qui affiche sa minceur retrouvée explique qu’il était autrefois si méconnaissable qu’on l’a pris pour un autre personnage célèbre. Les couloirs entre les services sont généralement très longs dans les hôpitaux, dit-il avec humour. Un gentil médecin me poussait et je me sentais plutôt étourdi à cause de la cortisone.» L’interprète de l’homme heureux répond :
Sous le choc, les journalistes présents à la table des C-suites ont éclaté de rire. William Sheller dit : « Non, il nous a quitté il y a quelques mois », après avoir dû tromper le médecin en lui mentant. demanda le médecin. C’est une ressemblance difficile à trouver dans le monde moderne.
Même si « Un homme heureux » est son œuvre la plus célèbre, William Sheller a vécu de nombreuses périodes sombres dans sa vie. L’artiste est venu à l’émission “C à Vous” pour promouvoir son autobiographie “William”, sortie le 3 mars, et a révélé qu’il était en burn-out.
Vous aimerez peut-être également lire sur les années de lutte que Mireille Darc a endurées à cause de son AVC, de son hémorragie et du coma.L’auteur William Shelley a déclaré : « J’étais malade. C’était un véritable burn-out.William Sheller n’a pas été beaucoup vu sur les écrans de télévision ces dernières années.
Son état de santé préoccupant est probablement la raison de son black-out médiatique. J’étais très malade. Il raconte à Anne-Elisabeth Lemoine et à ses écrivains : « C’était un vrai burn-out, c’est-à-dire que ça attaque le corps. » Cet épuisement lié au travail s’est produit en 2016. Il rappelle :
« Quand on a une éthique de travail et puis on se rend compte que c’est faux pour de mauvaises raisons, ça rend nerveux, malade, on cesse de travailler aussi efficacement qu’on le devrait, et on se retrouve entouré de gens qui semblent être au courant du canular.
C’est finalisé; il ne chantera plus, mais William Sheller raconte sa vie dans une œuvre de fiction, entre secrets de famille, conseils de Barbara, fêtes endiablées, cocaïne et passion “homo-romantique”. Fans de l’écrivain des “Filles de l “Aurore” et “Un homme heureux” ont reçu un coup dévastateur. Ce surdoué de pop et de composition élabore :
« Je ne veux plus chanter, je ne veux plus de scène, j’ai vendu le piano à queue, j’ai donné mes disques d’or et de platine, j’en ai filé à un copain médecin, j’ai débranché tous les synthés, les bazars…
William Sheller s’exprime sur son état de santé et sa situation actuelle dans une rare interview publiée lundi dans le journal français Le Parisien.
Le chanteur de 69 ans est ravi de revenir trois soirs aux Folies Bergère à Paris (les 14, 15 et 16 avril) pour se produire devant les fans qui lui ont tant manqué lors de sa prochaine tournée. J’adore jouer ici car la pièce est pleine de plumes et de souvenirs. La scène est l’un des rares endroits où je m’amuse vraiment. Mais j’ai dû ralentir les concerts depuis que je suis malade”, dit-il.
Malheureusement, le chanteur qui chantait “Allez, mets ton rock” souffre depuis deux ans d’arythmies, l’obligeant à reporter ses engagements et ses nouveaux projets. Malgré sa maladie, il accepte d’assister aux Victoires de la Musique le 12 février et de recevoir une récompense d’honneur.
Un moment chargé en émotions qu’il a savouré en partie grâce à son amie de longue date Véronique Sanson. “C’est une musicienne aussi talentueuse qu’aujourd’hui, mais aussi intelligente et pleine de cœur. Il poursuit : “J’adorerais partager la scène avec elle et jouer sur deux pianos, tous deux issus de nos répertoires respectifs”, ajoutant qu’il est en admiration devant son talent.
William Sheller, soulagé de reprendre la route, tente de se rassurer en affirmant avoir enfin trouvé “le bon diagnostic” pour combattre sa maladie. Je prends désormais soin de moi. Cependant, j’ai mangé quinze livres de flotte. Il continue : “C’est bon de rire, je peux à nouveau reprendre mon souffle, mais marcher est difficile à cause de l’effort constant qu’il demande.
C’est précisément pour cela qu’il est si méfiant lorsqu’il parle aux médias. Le programme épuisant de l’année dernière 70 concerts plus un album et un travail de promotion m’ont épuisé. Je n’ai pas pu m’étouffer en Belgique, je vomissais du sang jusqu’au ventre. Il y a des inquiétudes immédiates. Mais bon, je commence un nouveau chapitre de ma vie à June. Comme il le dit, « ce n’est pas chanter en tortillant du cul à la télé », mais bel et bien « compositeur de la musique ».
Écrire pour des orchestres symphoniques, mais aussi jouer, diriger et trouver son public comme “Je suis sur le point d’avoir 70 ans et je veux me livrer à tous mes fantasmes les plus fous de m’embrasser. Et peut-être qu’ils vont gâcher le camp au Brésil”, dit-il. Sa performance la plus récente remonte à 2016. Victoires de la musique.
Ce soir, Louane, Véronique Sanson et Jeanne Cherhal remettront à William Sheller une Victoire d’honneur en reconnaissance de ses 40 ans dans le métier. Mais en coulisses, l’artiste est malade. Il a de nombreux problèmes de santé, mais surtout des arythmies au niveau du cœur, qui peuvent être liées à sa consommation de cocaïne lorsqu’il était plus jeune. C’est ce qui ressort de l’interview du compositeur accordée à Paris Match (en kiosque le 24 mai 2018).
Il aurait préféré cacher et ne pas révéler le “laideur de la maladie” lors de cette Nuit de la Victoire. Dire que William Sheller a été endommagé est un euphémisme. J’ai hésité à aller aux Victoires car je me sentais comme un freak show, un Quasimodo bouffant dans une flotte, comme le résume Paris Match. J’étais nerveux; .
Je ne voulais pas que quiconque me voie de cette façon, mais je ne pouvais pas refuser une célébration de la victoire au cours des quatre premières décennies de ma carrière. Le chanteur a fait un burn-out et s’est immédiatement effondré suite à une crise cardiaque et une infection pulmonaire : “Les poumons se remplissent de flotte”.
William Shelley ne laisse pas beaucoup de place au mystère. Ces problèmes de santé sont liés d’une manière ou d’une autre à sa forte consommation de cocaïne. Je n’ai pas été trop choqué par ma maladie. Mes frais de dépassement se sont additionnés. J’ai bu beaucoup de coca. Même si j’ai fait pas mal de mouches dans les années 60 et 70, je n’ai jamais été du genre à parcourir Paris à la recherche d’un gramme.
C’est la source de mes problèmes cardiaques. L’homme au turban n’était pas fou lorsqu’il m’a demandé : « Tu n’aurais rien pris pour te stimuler avant, n’est-ce pas ? En fait, j’avais des sacs cachés pour la nuit, des invitations et de la cocaïne pendant toute cette période. À l’époque où je le vivais, c’était humoristique.
Le risque des stimulants comme la coke pour les types créatifs est qu’ils commencent à croire à leur propre battage médiatique selon lequel ils sont meilleurs lorsqu’ils sont défoncés .Puis ses enfants, dont la mère était chef de secte, avaient besoin de lui. Presque du jour au lendemain, .
William Sheller abandonne son mode de vie nomade pour s’installer avec sa fille et son fils, qui auront bientôt tous deux bientôt la quarantaine. Trois ans après avoir sorti un album qui ne lui plaît pas (il qualifie Stylus de “bricolé par des crétins” lors de son hospitalisation.
