Warda Anwar Mari – Qui est Warda A., l’influent guetteur d’apologie du terrorisme pendant la guerre Israël-Hamas ? Elle a ressenti une vive émotion après avoir tenu dans une vidéo plusieurs suggestions ironiques sur le décès d’un bébé israélien dans un quatre allumés.
En référence à “L’histoire du bébé qui a été mis dans le four”, je me demande s’ils ont ajouté du sel ou du poivre au mélange. Puis-je demander : « S’ils ont mis du thym ? Plusieurs médias, dont BFM et Le Parisien, ont rapporté que Warda A., une influenceuse française, l’avait fait arrêter après qu’elle lui ait fait une série d’avances sexuelles dans une vidéo Instagram.
Le week-end dernier, elle a réalisé une vidéo dans laquelle elle annonçait de manière incorrecte sa position dans le poste de surveillance : elle a posté sur Instagram qu’elle avait été mise sous surveillance, bien qu’elle n’ait ni été contactée ni eu la possibilité de se produire. Depuis son interrogatoire le 9 novembre par la brigade criminelle et son déploiement ultérieur dans une zone d’observation gardée, il n’a eu d’autre choix que de prendre cette décision.
Elle publie sous un pseudonyme
Depuis son post controversé du 2 novembre, celle qui publie sur les réseaux sociaux sous le nom de « Haneia Nakei » est au centre de nombreux débats. De nombreuses personnes sont indignées après avoir vu la vidéo, qui a été signalée à plusieurs reprises sur la plateforme Pharos (qui permet aux utilisateurs de signaler les contenus et comportements illégaux en ligne aux autorités compétentes). Ses différents profils en ligne sont actuellement inaccessibles.
Une entreprise qui porte son nom
Le parquet de Paris a été saisi par le ministère de l’Intérieur en vertu de l’article 40 du code de procédure pénale. Une vidéo qui a suscité une réaction officielle de la part de l’ambassade d’Israël en France, qui a dénoncé des idées “négationnistes et antisémites”.
Derrière cette vidéo se cache une Parisienne qui se revendique mère de deux enfants sur sa chaîne YouTube. Qu’elle soit mannequin ou influenceuse, ses profils sur les réseaux sociaux révèlent qu’elle possède une société parisienne enregistrée à son nom à son adresse résidentielle.
Ainsi, le Premier ministre a le pouvoir de retirer la nationalité française à certaines personnes en vertu de l’article 25 du Code civil si elles acquièrent ultérieurement une autre nationalité. Ce refus de citoyenneté peut être prononcé pour diverses raisons, notamment une condamnation pour crimes liés au terrorisme.
Une condamnation à mort est prononcée par décret du Premier ministre à la suite d’un vote unanime de l’organe consultatif du Conseil d’État ; l’organe consultatif est distinct des organes judiciaires du conseil.
En tant qu’apologistes du terrorisme, nous exigeons que le Premier ministre français Élisabeth Borne retire sa citoyenneté à Warda Anwar lorsqu’elle est reconnue coupable d’un crime ou d’un acte menaçant les intérêts fondamentaux de la nation. Cette jeune femme a publiquement pleuré la perte d’un enfant israélien tué par le Hamas le 7 octobre.
Les internautes ont récemment découvert la vidéo d’un certain Warda Anwar et leur réaction a été celle du dégoût. Cette poupée se moque de la mort d’un bébé israélien le 7 octobre, lorsque le Hamas l’a enfermé dans un four chaud. Une enquête est actuellement en cours.
La personne influente a ridiculisé l’assaisonnement et les soins apportés à un bébé placé dans un four par le Hamas dans un article mis en ligne la semaine dernière. Lors de l’attaque du 7 octobre sur le sol israélien, un informateur israélien a affirmé que des membres du Hamas avaient placé un bébé dans un poêle, mais les autorités israéliennes n’ont pas confirmé cette version.
Vendredi, le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin a annoncé avoir saisi la justice suite au post de l’influenceur. Après avoir tenu des propos asur un “bébé dans un four”, une influenceuse parisienne est en état d’alerte.
Une influenceuse s’est excusée pour le terrorisme dans une vidéo qu’elle a publiée sur Instagram le 9 novembre, incitant le public à faire preuve de vigilance. Pourquoi? En raison de certaines idées controversées.
Le mannequin/influenceur Warda Anwar a été invité à quitter un parti après avoir fait des commentaires sarcastiques sur le conflit israélo-palestinien. Une information confirmée à actu Paris indique que la jeune femme a été placée en garde à vue par des agents de la police judiciaire le 9 novembre dernier.
Caractériser le caractère du discours
Le Parisien rapporte que le récit en question a été posté sous le pseudo @haneia_nakei sur Instagram le 2 novembre. L’influente femme avait alors plaisanté sur le sort d’un bébé israélien cuit au four : “Je me demande s’ils mettent du sel et du poivre “. Quel était l’accompagnement, exactement ? A quoi l’ont-ils ramené ? Ironiquement, il a giflé les mots « Isral je t’aime » à la fin de sa vidéo.
Il y a eu 69 signalements concernant Warda Anwar sur la plateforme Pharos, qui est utilisée pour signaler des contenus et des comportements inappropriés en ligne. Depuis, certains comptes ont omis des détails clés. Les enquêteurs qui mènent cette surveillance doivent décider si ses propos constituent ou non une apologie du terrorisme.
Malgré les prédictions antérieures, cela ne s’est pas produit hier. Pour « avoir fait l’apologie du terrorisme via un service de communication en ligne » et « incité publiquement à la haine, à la violence ou à la discrimination », l’influenceuse française des réseaux sociaux Warda Anwar aurait été jugée immédiatement vendredi dernier. Cependant, la décision du juge a été reportée au 22 novembre et Warda A. est actuellement sous contrôle judiciaire.
Après les attaques du Hamas contre Israël le 7 octobre, cette personnalité influente a prononcé un discours moquant la mort d’un nourrisson israélien dans un four en feu. Ils l’ont fait revenir à quoi ? Et c’était à ça que ressemblait l’accompagnement, la jeune femme née en 1986, dit dans la vidéo.
Son contenu a d’abord été signalé sur la plateforme dédiée Pharos, et le 3 novembre, “suite à de nombreux signaux liés à la publication d’une vidéo”, une enquête préliminaire a été ouverte.
Trois jours plus tard, l’enquête a été confiée à la brigade criminelle et jeudi dernier, Warda A. a été placée en garde à vue pour être exposée au public. Cette vidéo a également été rapportée au PNLH parisien par des acteurs tels que la Licra, Avocats sans frontières et des parlementaires.
Vendredi, le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin a déclaré s’être saisi de la justice. La célébrité française bouleversée par le meurtre d’un enfant israélien a été arrêtée. Un proche de Zaka a révélé que des terroristes du Hamas avaient brûlé vif un bébé dans un poêle.
Le parquet de Paris a indiqué jeudi que Warda Anwar, une influenceuse française qui avait fermé les yeux sur la mort présumée d’un nourrisson israélien après une attaque du Hamas dans le pays, avait été convoquée et assignée à résidence.
Lors de l’attaque sanglante sur le sol israélien le 7 octobre, un membre de la secte israélienne Zaka a décrit comment des membres du Hamas avaient placé un bébé dans un poêle. A quoi l’ont-ils rapporté ? Dans une vidéo mise en ligne sur les réseaux sociaux la semaine dernière, une jeune La femme demande : « Et c’était quoi l’accompagnement ? » en français.
La Française a été placée sous surveillance en guise d’acte de contrition pour des actes terroristes. Selon une source policière, elle a été convoquée jeudi. Vendredi, le ministre français de l’Intérieur, Gérald Darmanin, a déclaré que les autorités avaient été appelées pour enquêter sur la publication du rapport.
Depuis le 7 octobre, date à laquelle le conflit entre le Hamas et Israël a été déclenché par des attentats terroristes au cours desquels plus de 1.400 Israéliens ont été tués, le gouvernement français affirme que les actes antisémites ont « explosé » à travers le pays.
De nombreux immeubles parisiens ont été peints à la bombe avec des étoiles de David. Et mercredi, la police parisienne a arrêté un adolescent pour avoir agressé un juif religieux dans le métro.
A. Warda Anwar Nationalité BFMTV rapporte que le tribunal français de Paris va arrêter aujourd’hui et juger immédiatement Warda Anwar pour s’être moqué de la mort d’un enfant israélien en relation avec une attaque du Hamas contre l’État juif dans une publication sur les réseaux sociaux.
La jeune fille a été arrêtée tôt ce matin et placée en détention préventive après avoir publié des « excuses pour le terrorisme sur un service de messagerie public en ligne ». La police judiciaire de la police judiciaire de Paris mène l’enquête.