Vahramian Mari Agnès Vahramian Son Mariage – Lorsque j’ai rejoint l’armée en 1994, l’un de mes premiers arrêts a été le Rwanda, où j’ai vu des combats pour la première fois. La capitale Kigali est accessible depuis l’Ouganda après dix heures de route et un passage frontalier. Installez un téléphone satellite dans notre bureau afin que nous puissions toujours rester en contact avec la direction du journal.
Ce week-end vers dix heures du soir, nous allons essayer de trouver de quoi parler. Il vous faudra encore dix heures pour revenir à travers l’Ouganda car il n’y a aucune installation de montage et de diffusion en plein massacre. Une intrigue se dessine dans ma tête au fur et à mesure que je continue d’enrichir le tiroir. Nous avons deux heures pour être prêts à la télévision ougandaise dans l’après-midi avant de devoir remettre le contenu à JT ce soir-là.
Dans des publications récentes, vous avez évoqué le conflit en Ukraine.
Bien que je ne sois pas actuellement engagé dans les hostilités, j’ai fait un certain nombre d’interventions au bon moment car il était amusant de rendre compte quotidiennement, voire horaire, de la bataille imminente. J’ai attendu des taxis sur la place Maidan à Kiev pendant ce qui m’a semblé des heures, mais aucun n’est jamais venu.
D’après les premières prévisions américaines, l’invasion russe commencerait dans 96 heures. Une fois les cinq semaines écoulées, mon superviseur m’a dit : « Tu dois être fatigué et tu vas prendre des risques, alors maintenant, reviens !
Notre durée de sommeil nocturne oscille autour de trois heures ces dernières semaines. Il y a un investissement complet de sentiments et d’énergie. Si vous souhaitez rejoindre l’armée, vous devez être en bonne forme physique pour pouvoir faire des choses comme monter dans des stores et parcourir de longues distances.
Nous continuons d’essayer de les ralentir, mais ils continuent d’accélérer. À l’âge de vingt-cinq ans, j’ai accompagné une légion de soldats en Bosnie et sur le mont Igman, où j’ai accidentellement percé un trou dans la file indienne.
Lorsqu’il s’agit de rester en sécurité, quels types d’instincts aident les gens à prendre les bonnes décisions ?
Quand la musique devenait forte, ma grand-mère me disait de danser et de ne pas perdre mon sang-froid. Les bruits de conflit que j’ai entendus pour la première fois sur le champ de bataille. L’habitude régit encore bon nombre de nos actions.
Ils s’entraînent au maniement des armes à feu, aux premiers secours et à la réponse aux embuscades. Tout le monde sait qu’il est insensé de se rendre dans une zone de guerre. Il est donc réconfortant d’entendre le conseil de personnes bien informées : “Ne prenez aucun risque”.
Quel niveau de détail espérez-vous fournir dans votre article ?
En général, nous sommes trois. En plus du caméraman et du monteur, nous disposons également d’un “JRI” (Reporter d’Images). Et nous travaillons avec un fixateur sur les zones de guerre ; cette personne réside généralement dans le pays lui-même, mais peut voyager en France avec nous si nécessaire.
Seuls quatre caméramans ont accepté de suivre notre groupe de dix JRI et rédacteurs du siège de France 2, dont quatre femmes (Agnès Burgot, Agnès Vahramian, Stéphanie Perez et moi-même). Avoir une équipe qui travaille bien ensemble est essentiel, mais y parvenir n’est pas toujours facile à réaliser.
Combien de temps dure généralement une mission ?
En raison de la longueur et de la difficulté du voyage, les évacuations ukrainiennes ont souvent lieu au bout de trois semaines. Il faut du temps et des efforts pour demander un visa auprès de l’ambassade, communiquer avec les autorités compétentes par e-mail et par fax, réserver un hôtel et trouver le réparateur.
Agnès Vahramian, personnalité de Jérusalem, visite le podcast “Au comptoir de l’info” en tant qu’invitée. Agnès Vahramian est depuis deux ans correspondante de France Télévisions au Moyen-Orient. Elle a été témoin du premier jour de combats entre Israël et le Hamas, le 7 octobre 2023. Elle a récemment été interviewée par François Beaudonnet du CTI.
Après avoir été témoin des images des horreurs commises par le Hamas le 7 octobre, Agnès Vahramian a affirmé avoir été « toujours là ». Le correspondant chrétien d’origine arménienne de France Télévisions Moyen-Orient est confiant dans sa capacité à aborder ce sujet. Pour elle, les chrétiens ont toujours été des artisans de paix et elle n’a donc rien à craindre des différents camps.
Plus précisément, “Au comptoir de l’info” est le premier effort de France Télévisions dans le domaine du podcasting uniquement audio. Un acteur jouant le rôle d’un présentateur de nouvelles explique comment les publicités sont créées dans le cadre d’une interview marketing. Il est apparu pour la première fois à la radio en tant qu’animateur du journal télévisé de 13 heures de France Inter alors qu’il vivait et travaillait à Rome et à Bruxelles.
Dorothée Olliéric a consacré les 30 dernières années aux reportages sur les conflits pour France 2. Elle a couvert le génocide rwandais ainsi que la crise actuelle en Ukraine. Il n’existe aucun moyen de préparer quelqu’un aux dangers de cette industrie. Les 58 militaires tués au Mali, dont Maxime Blasco, la touchent profondément. Elle raconte au public d’Audiens Le Média comment elle est passée de l’obscurité à la gloire, ou « où ça se passe ».
Quand avez-vous décidé pour la première fois de vous lancer dans cette voie professionnellement ?
Mon père m’a toujours poussé vers une profession de médecin et j’ai l’intention de suivre ses traces. Quand j’étais nantaise, je visitais fréquemment La Baule l’été. Je suis parti à Santiago, au Chili, à l’âge de 19 ans pour m’améliorer. L’attrait de la vie sous un régime autoritaire était plus fort que tout désir de voir le pays lui-même.
Certains événements véritablement uniques et inoubliables ont été rendus possibles par la combinaison des manifs et de la culture underground. En 1989, après le renversement du régime Pinochet, je suis retourné au Chili. Je fournis ce qui suit comme preuve, des anecdotes et des anecdotes tirées de ma propre expérience. Un journal local de Taiwan a publié une interview à laquelle j’ai participé.
Pour toucher un public plus large, pourquoi ne pas utiliser les journaux et magazines ?
Il a été moqué tout au long de ses études à l’école de journalisme pour sa prédilection soi-disant supérieure à la presse écrite plutôt qu’à la radio. Thierry Gilardi (1958-2008), journaliste sportif hors pair et l’un de mes professeurs, est décédé. Lorsqu’il m’a proposé un poste à France 2, j’espérais faire de mon écriture un métier. Mon stage d’été a débouché sur un poste permanent et je suis ici depuis.
Qu’est-ce qui vous satisfait le plus dans le travail dans le journalisme télévisé ?
L’intégration transparente du son et de l’image est l’un de mes aspects préférés de la télévision. Votre présence est nécessaire à l’excitation du jeu. Pourtant, les photojournalistes sont exposés à plus de dangers que la moyenne des gens.
Pour pallier la tristesse du format raccourci de JT, je réalise des émissions magazines (Envoyé Spécial, Un oeil sur la planète…) et des documentaires (comme un reportage de 90 minutes sur le Mali). Parce qu’il faut beaucoup de temps et d’efforts pour découvrir les mots appropriés à un scénario spécifique, dont les récompenses sont grandes.
N’hésitez pas à me tenir informé des développements récents dans votre domaine d’expertise.
Les progrès technologiques ont accéléré le développement dans tous les domaines. Trop de temps a passé trop vite. Descendre de l’avion vous replonge directement dans le vif du sujet. Cela m’aide à raconter une histoire si je prends une position qui va à l’encontre de ce que je vois autour de moi.
L’usine a fait quelques progrès récemment. Il existe néanmoins quelques améliorations très appréciées. Par conséquent, les progrès technologiques ont permis de communiquer avec des personnes du monde entier. En conséquence, nous avons dû expérimenter et tenter de nouvelles choses, comme nous appuyer largement sur les médias sociaux.
