Thierry Ardisson Coluche – Cela fait trente-sept ans que l’humoriste/acteur/roi de la punchline nous a quittés. Thierry Ardisson revient avec un nouveau chapitre de “L’Hôtel du Temps” après une premier numéro consacré à Dalida.Avec l’aide de l’intelligence artificielle, plus précisément du deepfake, l’homme en noir parvient à “ressusciter” l’homme chargé de créer les Restos du coeur.Découvrez ce faux documentaire vendredi à 21h10 sur France 3.
Lançant cette idée nouvelle et passionnante, Thierry Ardisson change une fois de plus le visage de l’industrie télévisuelle française avec une prouesse technique qui nécessite d’innombrables heures de travail pour chaque épisode. Dans cette émission, le téléspectateur oscille entre sourire et émotion car seules les célébrités décédées ont la possibilité de séjourner à l’Hôtel du Temps et de rencontrer en tête à tête l’animateur-producteur de l’émission.
Un visage animé numériquement, un comédien de taille similaire qui imite le geste signature de Coluche et la voix de Didier Gustin permettent à Thierry Ardisson de mener une interview avec le regretté grand comédien et humoriste français, tragiquement tué au sommet de sa carrière à l’âge de 42 dans un accident de moto. Cette nouvelle génération de biopics, agrémentée de photographies d’archives et basée sur des événements réels de la vie de l’artiste, révèle de nombreux détails sur les moments marquants de l’artiste et regorge d’excès en tout genre.
Toutes les affirmations de Coluche faites au cours de ces 90 minutes sont authentiques, même si elles ont été reconstituées à l’aide de l’intelligence artificielle. Il démontre une fois de plus combien de questions contemporaines – travail, retraite, chômage, police – trouvent une résonance dans les prises de position et les protestations de la star de l’époque.
‘is l’histoire d’un mec…», l’histoire d’un fils d’immigrant italien, voyou de Montrouge devenu l’artiste le plus populaire, puis décrié, de sa génération, tour a tour humoriste, comédien , candidat à la présidentielle, et fondateur des Restos du cur, toujours d’actualité. Ce vendredi 23 juin, sur France 3, dans le deuxième numéro d’Hôtel du temps, Thierry Ardisson nous raconte l’histoire tragi-comique de Michel Colucci, alias Coluche, décédé le 19 juin .
La première fois que nous l’avons vu, en mai de l’année dernière, il se concentrait sur le sort de Dalida, et il ne se montrait pas pleinement. C’est peut-être parce que l’idée nouvelle est difficile à saisir sur le papier ; c’est une sorte de fiction documentaire qui mêle interviews post-mortem, apartés cocasses et photos d’archives. Comme un schmilblick audiovisuel, qui doit être vu pour être compris, encore moins apprécié.
Seuls 1,4 million de personnes étaient suffisamment intéressées pour acheter des billets pour voir l’homme noir et le chanteur italo-égyptien “ressuscités” grâce à la technologie miracle Deepfake (trucage numérique dynamique), qui recrée des visages avec un réalisme troublant.
Qui est jeté à la poubelle. L’intelligence artificielle est similaire à la cuisine à bien des égards. Ce n’est pas si mal si vous le laissez mijoter pendant trois jours. Si vous lui donnez trois semaines, ça devrait aller. L’un des secrets du deep learning, composant clé de l’intelligence artificielle, analysé par Thierry Ardisson.
Pour ce deuxième volet, Thierry Ardisson espère séduire encore plus les adeptes et les téléspectateurs occasionnels de l’icône en déplaçant la date de diffusion de l’émission du lundi au vendredi sur France 3. Pourquoi avez-vous choisi Coluche, d’ailleurs ? Parce qu’il a provoqué une énorme explosion dans la société française. Je suis parti à la recherche de la matriarche de Montrouge qui, plutôt que de rejoindre les rangs des pauvres, a inventé le café-théâtre comme moyen d’évasion. Le clown en colère qui tire un bazooka sur le gouvernement. Le mec qui a monté les Restos du Cœur dans le but de battre un camionneur pour la sainteté de Coluche.
Ce biopic tendrement vache et richement documenté, écrit avec la participation des fils de l’humoriste Romain et Marius, prend beaucoup de temps (1h30 !). Néanmoins, je voudrais l’avis des héritiers. Cette décision morale me semble évidente. L’intérêt de collaborer avec les héritiers est qu’ils peuvent corriger les erreurs et donner accès aux archives pertinentes.
Le producteur animateur donne l’exemple suivant : « Il n’aurait pas dit ça comme vous le décrivez. » Sous la forme de l’humoriste Cédric Weber (vu dans la mini-série L’Île prisonnière sur France 2), un homme de 78 ans Coluche revient sur les moments forts de sa vie, dont sa réussite sans enrober ses excès, ses débuts musicaux et les amitiés qu’il a tissées en cours de route, notamment avec Philippe Gildas et Claude Berri (qui sacrifient littéralement une tête en forme de un jeu CGI pour le saluer
Autant d’anecdotes passionnantes, dont certaines inédites, et de témoignages authentiques tirés d’interviews ou d’émissions télévisées qui semblent avoir une étrange résonance avec l’actualité. Relation entre le statut social et les ressources financières.
Mais derrière son personnage public, risible jusqu’à la cruauté, se dessine un portrait touchant de l’homme masqué : un homme méconnu du plus grand nombre, fidèle à ses amis, et tellement dévasté par son divorce avec Véronique et la séparation d’avec ses enfants qu’il se boit “jusqu’aux oreilles” dans une bouteille de bourbon.
L’histoire d’un fils d’immigré italien, un voyou de Montrouge devenu célèbre et décrit plus tard comme “l’artiste le plus populaire de sa génération” et “le fondateur des Restos du coeur”, continue de résonner aujourd’hui. Ce vendredi 23 juin, sur France 3, dans le deuxième numéro d’Hôtel du temps, Thierry Ardisson nous raconte l’histoire tragi-comique de Michel Colucci, alias Coluche, décédé le 19 juin.
La première fois que nous l’avons vu, en mai de l’année dernière, il se concentrait sur le sort de Dalida, et il ne se montrait pas pleinement. C’est peut-être parce que l’idée nouvelle est difficile à saisir sur le papier ; c’est une sorte de fiction documentaire qui mêle interviews post-mortem, apartés cocasses et photos d’archives. Comme un schmilblick audiovisuel, qui doit être vu pour être compris, encore moins apprécié.
Seuls 1,4 million de personnes étaient suffisamment intéressées pour acheter des billets pour voir l’homme noir et le chanteur italo-égyptien “ressuscités” grâce à la technologie miracle Deepfake (trucage numérique dynamique), qui recrée des visages avec un réalisme troublant. Cela est jeté à la poubelle. L’intelligence artificielle est similaire à la cuisine à bien des égards. Ce n’est pas si mal si vous la laissez mijoter pendant trois jours. Si vous donnez-lui trois semaines, ça devrait aller.Un des secrets du deep learning, composant clé de l’intelligence artificielle, analysé par Thierry Ardisson.
Un âge avancé de 78 ans, dit-il.
Pour ce deuxième volet, Thierry Ardisson espère séduire encore plus les adeptes et les téléspectateurs occasionnels de l’icône en déplaçant la date de diffusion de l’émission du lundi au vendredi sur France 3. Pourquoi avez-vous choisi Coluche, d’ailleurs ? Parce qu’il a provoqué une énorme explosion dans la société française. Je suis parti à la recherche de la matriarche de Montrouge qui, plutôt que de rejoindre les rangs des pauvres, a inventé le café-théâtre comme moyen d’évasion. Le clown en colère qui tire un bazooka sur le gouvernement. Le mec qui a monté les Restos du Cœur dans le but de battre un camionneur pour la sainteté de Coluche.
Ce biopic tendrement vache et richement documenté, écrit avec la participation des fils de l’humoriste Romain et Marius, prend beaucoup de temps (1h30 !). Néanmoins, je voudrais l’avis des héritiers. Cette décision morale me semble évidente. L’intérêt de collaborer avec les héritiers est qu’ils peuvent corriger les erreurs et donner accès aux archives pertinentes.
Le producteur animateur donne l’exemple suivant : « Il n’aurait pas dit ça comme vous le décrivez. »