Tareek Maladie – Un téléspectateur de la version américaine de “House to Sell”, “Flip or Flop”, a vu une anomalie dans l’estomac de Tarek El Moussa et a aidé à lui sauver la vie. En 2013, l’infirmier professionnel Ryan Read remarque quelque chose d’étrange dans la tête de l’animateur lors de la diffusion d’un épisode de Flip ou Flop. Pour devancer Tarek El Moussa, elle écrit aux producteurs de l’émission.
Pour des problèmes de défécation, il avait déjà consulté un médecin de soins primaires, mais aucune maladie n’avait jamais été diagnostiquée. En réponse à la lettre de Ryan, l’animateur va voir un autre médecin. Et le verdict est tombé : le cancer du thymus a progressé à un stade avancé chez Tarek El Moussa, 34 ans.
Deux ans plus tard, après une intervention et un traitement d’urgence, l’homme est en rémission. Sur le plateau de The Doctors, il a pu rencontrer le téléspectateur qui lui a sauvé la vie. Tarek El Moussa dit : “S’il n’y avait pas eu la télévision et son observation de cette énorme boule dans mon cou, je serais encore là aujourd’hui, et le cancer se serait propagé dans tout mon corps.” Il poursuit en disant que sa santé s’est grandement améliorée et que les risques de récidive ont diminué.
Le nouveau Tareek est arrivé, et vous pouvez en essayer quelques-uns sur la scène de l’Alhambra avant de faire un tour. A boire sans modération. Dans une interview franche, il admet être gravement touché par le Covid-19 et insiste sur la nécessité de mesures préventives.
Est-il possible de mieux vous connaître, vous le père solitaire, à travers votre one-man-performance Life ? A boire sans modération. Dans une interview franche, il admet être gravement touché par le Covid-19 et insiste sur la nécessité de mesures préventives.
Est-il possible de mieux vous connaître, le père solitaire, à travers votre one-man performance Life ? Vous évoquez également le Covid-19. Avez-vous vécu une profonde perte personnelle? C’était au mois de mars, juste après que le président de la république ait pris la décision d’avoir un bébé.
J’ai ressenti les signes d’une diminution de l’odorat et du goût. J’étais incroyablement épuisé et j’avais des migraines. Je remercie Dieu de ne pas avoir éprouvé de difficultés respiratoires. Heureusement, le public est revenu.
Les jeunes ont tendance à penser qu’ils sont inaccessibles.
Alors je leur dis, “Ne soyez pas un imbécile”, à eux et à tous les autres. Protégez-vous. Je prends certaines mesures préventives sans être sermonné. J’ai 42 ans et je suis un produit de la génération qui a grandi dans les banlieues, plus précisément la ville de Morillon, où coexistaient Juifs, Africains, Arabes, Bouddhistes, Catholiques et Musulmans. Nous étions tous des gosses qui passaient du bon temps ensemble. Je n’ai jamais rencontré de cas de réponse communautaire. Au moins, ils n’ont rien vu d’inhabituel.
Je réside actuellement dans un appartement de Rosny, loin de toute préoccupation liée au ghetto. Si le séparatisme est un problème, il est temps d’agir. Je rejette fermement tout ce qui peut être défini comme de la radicalisation. Les médias sociaux ont introduit des innovations qui n’existaient pas pendant mes années de formation.
Tous les comédiens de ma génération sont les descendants de Jamel. Il m’a ouvert des portes. Je ne le remercierai jamais assez et je m’assure de le mentionner dans mon émission. Pour ma carrière, Le Jamel Comedy Club était un incontournable qui a porté ses fruits.
Ma “cam” est l’endroit où je me sens le plus vivant ; c’est là où je suis le plus à l’aise et où je me sens le plus libre de m’exprimer. Je travaille sur un scénario de comédie avec mes deux frères, Walid Afkir et Grégory Boutboul. Le thème sera l’aide ou le vivre ensemble. Parfait en tout point pour moi ! Après avoir été présenté à “La France un incroyable talent” sur M6 et repris par le “Jamel Comedy Club”, il s’est imposé comme l’une des principales voix comiques de notre époque.
Tareek, véritable “Roi de l’improvisation” en constante conversation avec son public, nous raconte avec humour sa vie de père seul et divorcé et nous propose chaque soir un nouveau spectacle. Tareek, dont le prénom est Tarik Raifak , est né à Madrid et a grandi dans la banlieue parisienne de Montreuil.
Ses camarades de classe l’encouragent à essayer le stand-up tout au long de ses années de lycée. Il apparaît pour la première fois dans plusieurs cafés-théâtres parisiens. Après avoir obtenu son baccalauréat, il s’est inscrit à l’école de médecine et a poursuivi ses études en même temps.
Parallèlement, il débute également sa carrière en tant que personnalité à l’antenne de Beur FM, mais il n’arrête pas de se produire. Après plusieurs années de travail à temps partiel, il décide de se concentrer sur sa carrière à temps plein.
Tareek Maladie : Cancer de la Thyroïde
Découvert en 2012, Jamel Debbouze l’invite à rejoindre le Jamel Comedy Club en tant que membre. Tout en entretenant une carrière à la radio, il ne cesse de faire ses preuves et démarre même la carrière de quelques comédiens. En 2017, il auditionne pour deux longs métrages : C’est tout pour moi et Coexister. En 2018, le jeune comédien apparaît dans l’émission La France un incroyable talent, où sa comédie séduit téléspectateurs et juges.
David Ginola lui remettra même un Golden Buzzer pour reconnaître ses capacités. Tarek El Moussa est le sosie de Stéphane Plaza aux Etats-Unis. Le couple joue dans Flip or Flop de HGTV, que l’hôte co-anime avec sa femme Christina. c’est une émission sur l’achat de maisons délabrées et leur réparation pour la revente.
Une infirmière nommée Ryan Read a eu une réalisation intuitive en 2013 lorsqu’elle a vu une masse étrange à la base de la gorge de Tarek El Moussa en regardant son émission de télévision préférée. La téléspectatrice inquiète n’arrivant pas à se décider entre une option ou l’autre, elle a donc écrit un e-mail aux producteurs de Flip ou Flop leur demandant d’inciter l’animateur de l’émission à consulter un médecin au plus.
Tarek El Moussa avait vu un médecin au sujet de la prise de poids qui lui causait une gêne lorsqu’il tentait de se déshydrater, mais le médecin n’avait rien trouvé d’anormal. Et pourtant… L’animateur, alarmé par la lettre de Ryan Read, a fixé un rendez-vous pour un deuxième avis médical.
Le nouveau médecin a examiné Tarek El Moussa et a posé le diagnostic de cancer de la thyroïde. Pire encore, le cancer s’était déjà propagé aux ganglions lymphatiques de son cou, mais heureusement, il était encore opérable à ce moment-là.
Il y a quelques jours, sur la base des médecins, Tarek, sa femme Christina et l’infirmière se sont tous rencontrés pour la première fois. “S’il n’y avait pas eu la télévision et leur observation de cet énorme bobo dans mon cou, je serais encore là aujourd’hui et le cancer se serait propagé à tout mon corps sans que je sache quoi faire à ce sujet”, a déclaré le très dit l’animateur à consonance émeu.
“Quand j’ai vu cette taille, je me suis arrêté et j’ai regardé à nouveau pour être sûr”, avoue l’infirmier qui hésitait au départ à envoyer un mail de peur d’être pris pour un imbécile. Tarek El Moussa, 34 ans, s’est caché aujourd’hui. Avec chaque jour qui passe, la probabilité de récidive du cancer diminue.
Comment traverser la vie après un événement traumatique, un accident ou une maladie. La façon dont certaines personnes perçoivent le monde qui les entoure peut changer radicalement. C’est ce qu’on appelle le syndrome du “Lazare” ou du “survivant”.
Nombreux sont ceux qui se reprochent d’avoir survécu à une calamité. D’autres, cependant, parviennent à rassembler l’énergie nécessaire pour aller de l’avant. Tarik Moukrime tombe catégoriquement dans le deuxième groupe.
Cette athlète verviétoise de 25 ans est de classe mondiale. À l’automne 2014, il est décédé d’un cancer des testicules. Il est inévitable qu’il doive subir un traitement chimique. C’est la douleur et la souffrance quotidiennes. Je ne sais vraiment pas comment le mettre autrement en mots. Au début, tu t’enfuis.
La ressemblance d’une personne mourante est représentée ici. Et quand vous êtes juste au bord de la falaise, soit vous sautez, soit vous vous retournez pour vous faire face. J’ai décidé de continuer à me battre et de continuer à vivre”, déclare l’expert de demi-profondeur.
Lorsque Tarik a terminé huitième du 1500 mètres aux Championnats d’Europe à Zurich quelques mois plus tôt, c’était l’apogée de sa carrière. Tous les espoirs étaient permis pour cet athlète qui a couru le dernier tour avec brio. La maladie et son traitement ont tout remis en question. Ses espoirs de participer aux Jeux olympiques de Rio ont été anéantis.
Pourtant, il y avait investi beaucoup de temps et d’efforts. Lorsque l’entraînement reprend, force est de constater que le corps n’a pas suivi. Là, j’ai sérieusement remis en question ma propre force et ma résilience. J’étais sur le point d’arrêter complètement l’athlétisme, nous dit-il franchement.
Changement de la garde
Cela l’amène à faire un choix majeur en octobre 2016. Il quitte son équipe précédente pour signer avec l’Excelsior à Bruxelles, mais pas avant d’avoir fait ses valises pour Reims, en France, pour rejoindre l’une des meilleures unités françaises de demi-terrain sous la tutelle de Farouk Madaçi. Parmi eux, Vincent Luis, champion d’Europe de triathlon, et Mahiedine Mekhissi-Benabbad, triple médaillée olympique.
Il trouve l’inspiration dont il a besoin pour reconstruire sa vie au travail, peinant à l’ombre de ces grands. Une intégration rapide s’est produite. Vincent Luis n’est pas avare d’éloges : « c’est un gars vraiment courageux. Il a surmonté des obstacles que la plupart d’entre nous n’aurions jamais rencontrés de notre vivant. Il a « vécu dix fois pire sur un lit d’hôpital que lorsque d’autres disent que l’entraînement est difficile.