Sylvain Anquetil Fils De Jacques Anquetil -Malheureusement, nous venons d’apprendre que Sylvain Anquetil est décédé après un long combat contre la maladie. Il avait 47 ans lorsqu’il est décédé ; il voyageait avec la fille de Régine Rouque et la nièce d’Arnaud Anquetil, président du Tour de Normandie.
Sa première licence lui vient du VC Yvetot. Au moment où il entre dans la première catégorie, il s’impose déjà comme un prometteur coureur sur route et sur piste après avoir remporté trois titres de France cadets consécutifs (deux fois sur piste et un sur route, à Gap, devant son grand ami Florent Brard). ).
Il est très prometteur car il n’a que 17 ans et sa deuxième année de compétition junior, mais il a déjà remporté 12 titres, quatre championnats de France (route et piste), établi un record de France et été sélectionné pour disputer deux championnats du monde.
Il a fait un travail fantastique en protégeant le drapeau de l’US Sainte-Austreberthe Pavilly sous les ordres de Jackie Tiphaigne. En 1996, il remporte le concours départemental du Maillot Jeunes à Montivilliers.
En attaquant dès le départ et en réalisant une course solo spectaculaire, il a solidifié sa position de force dominante sur le circuit et remporté son premier championnat régional dans la division cadet.
Cependant, sa première année en division supérieure sera un défi pour lui. Après avoir terminé troisième à Paris-Barentin et s’être fait remarquer l’année suivante, il triomphe aux Boucles de l’Austreberthe.
C’était sa première victoire, et c’était la plus importante. Il était encore très motivé, alors à 40 kilomètres de l’arrivée, il a pris la décision exécutive de prendre la tête.
Dans ce cas, personne ne pourra l’empêcher de se développer davantage. A deux kilomètres du filet, sur la Côte de l’Enfer, il dépossède Gaétan Sécher (VC Saint-Lô).
Cependant, bien qu’il ait toujours la confiance du sélectionneur national en disputant aux Bleus le Tour de la Côte Picardie, il n’a fait que parcourir un chemin semé d’embûches au lieu de vivre une année couronnée de nouveaux succès en courant sous les couleurs du Bataillon de Joinville.
Il réitère son triomphe de 1999 aux Boucles de l’Austreberthe et remporte également les Boucles de l’Eure cette année-là. Cette année-là, il passe à un cheveu de remporter une étape du Tour de l’Avenir. Il avait maintenant l’occasion d’agir selon sa nature naturellement audacie.
Ses 23 années d’expérience lui ont donné la confiance nécessaire pour rejoindre la bonne échappée qui lui a finalement permis de prendre 16 minutes d’avance. Puis, à Castelsarrasin, il était aux avant-postes de la course alors que la flamme rouge balayait le paysage.
Il n’a pas pu battre Alexandre Chouffe, futur vainqueur de l’étape et actuellement quatrième coureur au classement général. Il terminera sa carrière au VC Rouen 76, où il a remporté de nombreux succès avec notamment des victoires au critérium de Pont-Audemer et au Grand Prix de Gerponvi.
Les titres et les podiums aux niveaux national et national s’accumulent pour lui sur la piste. Deux titres nationaux de France consécutifs par équipes Elites en quête, pour commencer. Le premier était un effort commun avec Cyril, Reynald et Samuel Renaux, publié en 1996.
Il a été suivi d’un deuxième effort cinq ans plus tard incluant Cyril Bos, Fabien Merciris et Benoît Genauzeau. Deux ans après avoir terminé pour la première fois sur le podium, à la troisième place, avec Laurent Genty, lui et Laurent Genty s’associent pour remporter l’argent à l’Américaine (1999).
Nous venons d’apprendre avec un profond regret que Sylvain Anquetil est décédé à l’âge de 47 ans des suites d’une longue maladie. Il entre dans la première catégorie comme un coureur prometteur puisqu’il est un novice talentueux, ayant remporté trois titres de France cadets consécutifs, la Route de l’Avenir et le Championnat du Monde Route Junior.
Extrêmement prometteur, puisqu’à 17 ans, il avait déjà remporté 12 titres, quatre championnats de France (route et piste), établi un record de France et été sélectionné pour deux championnats du monde.
Il a fait un travail remarquable en défendant le pavillon Pavilly/Barentin sous la direction de Jackie Tiphaigne. Au concours départemental de Maillots Jeunes de Montivilliers 1996, il se classe premier. Un an plus tard, il remporte les Boucles de l’Austreberthe en dépassant Gaétan Sécher (VC Saint-Lô) à deux kilomètres de la ligne d’arrivée.
C’était sa première victoire, et c’était la plus importante.Nous venons d’apprendre avec un profond regret que Sylvain Anquetil est décédé à l’âge de 47 ans des suites d’une longue maladie.
Il entre dans la première catégorie comme un coureur prometteur puisqu’il est un novice talentueux, ayant remporté trois titres de France cadets consécutifs, la Route de l’Avenir et le Championnat du Monde Route Junior.
Extrêmement prometteur, puisqu’à 17 ans, il avait déjà remporté 12 titres, quatre championnats de France (route et piste), établi un record de France et été sélectionné pour deux championnats du monde.
Rapidement d’accord, M. Boucher est intervenu. Après avoir abandonné leurs études, les deux hommes sont entrés directement sur le marché du travail. Anquetil est un pivot chez Etablissements.
Ce futur champion fait ses débuts en course lors du grand prix Gai-Sport au Havre le 8 avril 1951. Le commissaire manque qu’il franchisse la ligne d’arrivée, son nom ne figure donc pas sur la liste des vainqueurs.
Le succès de son ami Maurice n’apaise en rien sa rage… Il n’attend qu’un mois avant d’afficher fièrement sa récompense du prix Maurice Latour, le 3 mai 1951, à Rouen.
Cela marque le début de sa vie professionnelle. Je savais qu’il était un champion, mais je ne savais pas qu’il était à un tel niveau”, dit Maurice Dieulois à propos de son ami. Ce n’est qu’après qu’il a remporté le Grand Prix des Nations en 1953 que j’ai découvert son talent.
Quatre ans plus tard, le premier champion du Tour de France, Jacques Anquetil, se gare devant la source de Montigny-lès-Cormeilles, où son copain a travaillé pendant 38 ans dans l’embouteillage. Nous sommes allés à Rouen parce qu’il voulait me vanter son triomphe. Chaque week-end, Maurice Dieulois se rend à Anquetil avec sa famille (épouse Nicole, fille).
Ils séjournent au Château de La Neuville. Michel Billaux et Sylvain Perambure, deux de nos membres les plus fiables, étaient également présents. Christian Biville, un autre proche, est confiant : “S’il le fallait, nous serions allés nous pendre pour Jacques.
” Pour ceux qui ont bien connu le champion, la visite à la mi-novembre au modeste cimetière de Quincampoix a été un événement qu’ils ne pourront jamais oublier. Jacques Anquetil fêtait ses 80 ans en 2019.
Capable de réussir sur route et sur piste Il réitère son triomphe de 1999 aux Boucles de l’Austreberthe et remporte également les Boucles de l’Eure cette année-là. cette année-là, il termine quatrième à Castelsarrasin au terme d’une longue échappée, qui n’est pas très loin de la première place et d’un triomphe sur le Tour de l’Avenir.
S’il avait réussi, il aurait pu poursuivre des études supérieures dans le domaine de son choix. A la fin de sa carrière, il était joueur du VC Rouen. Sur la piste, il a remporté plusieurs championnats et s’est classé très bien aux niveaux régional et national.
Pour commencer, la poursuite par équipes Elite a remporté deux titres nationaux français consécutifs. En 1996, Cyril, Reynald et Samuel Renaux forment le premier. La seconde a eu lieu cinq ans plus tard et mettait en vedette Cyril Bos, Fabien Merciris et Benoît Genauzeau.
Deux ans après avoir terminé pour la première fois sur le podium, à la troisième place, avec Laurent Genty, il décroche l’argent à l’Américaine (1999).
Il n’y avait rien que Sylvain Anquetil n’avait pas. Excellent talent, charisme et sophistication.
Avec son physique supérieur et sa connaissance évidente de la course automobile, il a accumulé un palmarès impressionnant dans les jeunes divisions de la course moto.
Champion de France cadet de football 1992
Sylvain Anquetil est un prodige qui remporte le championnat de France cadets en 1992 et domine ensuite les rangs juniors. Il était également un grand fan de contre-la-montre et assistait régulièrement à des compétitions d’athlétisme.
La chasse était l’un de ses sports et activités préférés en raison de sa grande générosité et de son esprit d’équipe. Cette monture diversifiée a brillé aux championnats du monde juniors il y a 30 ans en se classant 6ème en Australie, puis en participant au Tour de l’Avenir.
Il a concouru en Elite pour le VC Rouen en DN1, le plus haut niveau des cyclistes amateurs, mais il n’a jamais trouvé sa place ni découvert le cyclisme qui lui tenait vraiment à cœur.
Sylvain Anquetil avait une haute conception de sa fougue et était extrêmement dur avec lui-même. Pendant de nombreuses années, il a participé à vélo au Tour de Normandie, un événement caritatif fondé et aujourd’hui dirigé par la famille d’Émilie.
Malgré sa santé dégradée, il a insisté pour assister au premier Tour de Normandie réservé aux professionnelles féminines au printemps dernier.Nous sommes dévastés par la perte d’un homme si spécial dans le cyclisme normand, à la fois sympathique et perspicace.
La section sportive de l’Ouest de la France présente ses plus sincères sympathies à sa famille et à ses amis.L’honnête Maurice Dieulois est un gentleman. Mais c’est lui qui a entamé l’une des carrières les plus illustres de l’histoire du cyclisme à l’échelle mondiale.
Il appartenait au grand Jacques Anquetil, que ce Beauchamp (Val-d’Oise) “a mis à vélo” en plein hiver 1947. Ce gentil octogénaire (81 ans), aujourd’hui vice-président du VC Levallois club de cyclisme, me dit : “C’est vrai qu’il m’a toujours dit : je ne serais jamais devenu qui je suis si je ne t’avais pas rencontré.
Ça, personne ne le sait avec certitude. La seule chose qui était définitive Pourtant, notre amitié a été forte pendant quarante ans, jusqu’au décès prématuré du quintuple vainqueur du Tour de France, le 18 novembre 1987, à l’âge de 53 ans.
Cette histoire de deux Normands, comme tant d’autres, a un début accidentel. Au lycée Marcel-Sembat de Sotteville-lès-Rouen, une réunion d’information est prévue pour la rentrée 1947.
Un jeune homme blond s’est assis à côté de moi. Ils n’étaient pas particulièrement épais du tout. En effet, c’était Jacques. Nous étions tous les deux assis au même poste de travail deux semaines plus tard. Et cela a duré trois années entières !
Ces deux lycéens sont inscrits dans un programme de tourneur-monteur. Au fil du temps, ils se rapprochent et se découvrent un amour commun pour le sport. Jacques Anquetil est un redoutable compétiteur en cross-country.
Grâce aux succès cyclistes de son père, Maurice Dieulois s’est lancé lui-même dans ce sport. Une balade à vélo est quelque chose que j’ai recommandé à Jacques.
Celui qu’il a reçu pour sa communion était strictement destiné au transport. Bientôt, leurs déambulations se transforment en entraînements plus poussés, « grands jeux de manivelles », et Dieulois, rayonnant, découvre les pouvoirs de son ami.