Sophie Toscan Du Plantier Wikipedia – Sophie Toscan du Plantier a été assassinée le 23 décembre 1996, alors qu’elle était en vacances en Irlande. L’incident s’est produit devant son domicile à Toormore, dans le comté de Cork. Même si le meurtrier n’a pas été officiellement identifié, le journaliste britannique Ian Bailey est l’un des principaux suspects. Malgré l’insuffisance des preuves, il a été condamné à 25 ans de prison française en 2019 sans avoir été extradé d’Irlande.
Sophie a été réveillée en sursaut le soir du 23 décembre par plusieurs coups violents à la porte de sa cuisine alors qu’elle était encore habillée pour la nuit. Elle alluma calmement la lampe de chevet, descendit dans la cuisine et ouvrit la porte. Le cri meurtrier la frappa au visage.
La police a ensuite découvert du sang de Sophie sur la porte. Elle s’est disputée, puis a frappé son agresseur au visage et aux bras (des cheveux ont ensuite été découverts sous ses ongles). Son meurtrier la poursuit et la frappe à plusieurs reprises. Elle se couvrit la tête pour se défendre, mais il la frappa de nouveau au crâne. Elle fait un saut de cheveux. Références requises.
L’assassin a déversé sa colère sur le corps de Sophie, couvert de dizaines de blessures et défiguré. Le meurtrier connaissait bien les environs de la maison de vacances de Sophie, qui étaient difficiles d’accès en raison du mauvais état des routes, selon la police.
L’enquête a été compliquée par le fait que l’heure du décès de Sophie n’a pu être établie car le médecin légiste n’est arrivé que 36 heures plus tard. L’arme du crime de Sophie Toscan du Plantier n’a jamais été retrouvée. La victime avait subi de multiples blessures à la tête, il était donc clair qu’il s’agissait d’une hachette particulièrement odieuse. Après cela, le meurtrier a utilisé un bloc de ciment pour tuer sa victime.
En 1996, le producteur français est sauvagement assassiné dans le sud de l’Irlande. Si un homme était reconnu coupable par un tribunal français, l’affaire serait toujours considérée comme une « affaire non résolue » par les autorités irlandaises. Une vigueur nouvelle, 26 ans après.
L’enquête sur le meurtre de la productrice française Sophie Toscan du Plantier, brutalement assassinée en Irlande en décembre 1996, a été reprise par la police irlandaise fin juin. La justice cherche à éradiquer une fois pour toutes ce que le Premier ministre Micheal Martin a qualifié de « tache » dans la société irlandaise.
Le matin du 23 décembre 1996, une rivière sur la péninsule de Mizen Head, dans le sud du comté de Cork, a découvert avec horreur le corps d’une femme dont le visage avait été brutalement lacéré avec un parang. La victime, Sophie Toscan du Plantier, était âgée de 38 ans.
Le corps de cette productrice a été découvert à environ 150 mètres de la résidence secondaire qu’elle et son mari, l’ex-président d’UniFrance Films Daniel Toscan du Plantier, avaient achetée cinq ans plus tôt. Compte tenu du lieu où a été retrouvé le corps de la victime, les enquêteurs concluent rapidement qu’elle tentait de fuir son agresseur.
Ne négligez jamais un itinéraire possible.
La sortie récente de deux documentaires revisitant l’affaire en profondeur est probablement un facteur contribuant à la vigueur renouvelée de l’enquête. Les documentaires, l’un produit par Netflix et l’autre par le réseau d’information Sky News, mettent tous deux en lumière les échecs et les impasses de l’enquête depuis le crime et incluent de nouveaux témoignages.
Sophie Toscan du Plantier, habillée pour la nuit du 22 décembre 1996, a été frappée au visage par son assassin ; la police trouvera plus tard son sang sur la porte d’entrée. Elle se dispute avec son agresseur, le frappe au visage et aux bras, puis trouve des poils sous ses ongles.
Elle commence à courir dans le jardin. Le meurtrier du fils le suit en la frappant à plusieurs reprises. Lorsque le meurtrier a atteint la clôture métallique entourant le jardin, il a saisi un morceau de ciment et l’a lancé au visage de Sophie. Son corps a été retrouvé par des voisins le 23 décembre 1996.
L’assassin s’en est pris à sa victime ; Le corps défiguré de Sophie Toscan du Plantier comportait plus d’une centaine de blessures. Le meurtrier connaissait bien les environs de la maison de vacances de Sophie Toscan du Plantier, située dans une zone reculée et mal desservie par les routes, selon les autorités. Le médecin légiste appelé à son secours étant en retard de 36 heures, l’enquête est compliquée par le fait que personne ne sait exactement quand il est décédé.
De plus, les échantillons de sang sont inutiles pour l’analyse de l’ADN ou pour déterminer le groupe sanguin de la victime si le prélèvement a été bâclé ou si la pluie tombée la nuit du meurtre a tout emporté. L’arme du crime utilisée pour tuer Sophie Toscan du Plantier n’a jamais été retrouvée. La victime avait de multiples blessures à la tête, il était donc clair qu’il s’agissait d’une hachette très tranchante.
Le soir du meurtre, un témoin affirme avoir aperçu un suspect à quelques mètres de la maison. Le même homme peut se confier à un ami : “Je suis allé la voir, elle est devenue nerveuse et je lui ai cassé le crâne”.
Malachi Reid, un adolescent qui habite près de Ian Bailey et qu’il a arrêté, affirme l’avoir entendu dire en état d’ébriété : “Tout allait bien avant que je grimpe ici et que je réduise son cerveau à une bouillie.” Suspect du meurtre de Sophie Toscan du Plantier est Ian Bailey, un éleveur de porcs anglais qui vit dans une ferme non loin de chez lui.
En tant qu’une des premières personnes sur les lieux du crime, il a semé les soupçons en révélant des détails sur le meurtre que seuls les enquêteurs et l’auteur auraient dû connaître. Enfin, il avait des coupures au visage, aux mains et aux avant-bras et avait avoué de manière irrationnelle à plusieurs personnes qu’il avait commis le meurtre.
Le 22 août 2001, il a été arrêté à l’aéroport de Cork après que sa compagne Catherine Jules Thomas l’ait accusé d’agression. . En 2003, Ian Bailey a tenté de poursuivre en justice huit journaux irlandais et britanniques pour diffamation, le décrivant comme le parfait criminel.
Au tribunal, plusieurs témoins l’attachent si bien que le juge Ian Bailey arrête le procès. Le témoignage d’une femme nommée Marie Farrell, qui prétend avoir vu l’écrivain indépendant dans le quartier du domicile de la victime du meurtre la nuit du meurtre, est particulièrement dommageable pour Bailey. Après avoir d’abord affirmé que Bailey l’avait menacée à plusieurs reprises de se rétracter, Mme Farrell a changé sa version en 2005, affirmant que la police irlandaise avait fabriqué ses déclarations.
Les autorités françaises examineront le premier témoignage de Farrell. Par ailleurs, la petite amie de Ian Bailey, la peintre Catherine Jules Thomas, lui donne un alibi plausible pour la nuit du meurtre5 tout en laissant entendre qu’il pourrait être responsable des actes dont il est tenu responsable.
En 2008, les autorités françaises ont ouvert une enquête distincte. A la suite d’un mandat d’arrêt européen émis le 19 février 2010 par le juge français Patrick Gachon, Ian Bailey a été libéré sous caution et placé sous contrôle judiciaire le 24 avril 2010. Nathalie Turquey, la juge parisienne chargée du dossier, a émis un deuxième mandat d’arrêt européen. Mandat d’arrêt le 13 juillet 2016, et elle a informé les autorités irlandaises de cette évolution.
Le 27 juillet 2016, elle a signé une ordonnance visant à ce que Ian Bailey soit rejugé à Paris pour meurtre plutôt que pour assassinat (aucune préméditation requise). Cependant, compte tenu de la coutume irlandaise, Ian Bailey n’est pas extradé et le procès se déroule sans lui. La police irlandaise arrête Ian Bailey le 16 décembre 2019, puis le libère peu de temps après.
Cette arrestation intervient après que la Cour de cassation française a jugé que le mandat d’arrêt émis par le gouvernement français était légal. Le gouvernement français doit maintenant décider d’extrader ou non le suspect.
Un juge du plus haut tribunal irlandais a statué le 12 octobre 2020 que les autorités françaises ne pouvaient pas extrader Ian Bailey après avoir déjà jugé trois fois. En juillet 2017, une deuxième tentative a été refusée au motif que la demande constituait un abus de procédure. Sophie Toscan du Plantier est née à Paris le 28 juillet 1957.
Sophie Bouniol, ou Sophie en abrégé, est l’aînée des enfants de George Bouniol et Marguerite Gazeay. Le nom de son frère cadet est Bertrand. Sur le plan professionnel, elle commence une nouvelle vie de productrice de télévision.
La jeune femme s’est déjà mariée deux fois. Le 21 juin 1980, il se marie pour la première fois avec Pierre Baudey. Pierre-Louis Baudey est né du couple le 26 mars 1981, ce qui lui fait un an. Malheureusement, ils rencontrent quelques problèmes et finissent par se séparer. Elle rencontre Daniel Toscan du Daniel dix ans plus tard et ils se marient le 18 juin 1991. Ce sera le troisième mariage du producteur.
Depuis que le meurtre de Sophie Toscan du Plantier a suscité de vives réactions, de nombreux documentaires ont été diffusés sur le sujet. Sophie, l’affaire toscane du Plantier, une série documentaire Netflix qui retrace l’enquête, sera diffusée en première sur le service de streaming le 30 juin 2021.