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Sophie Chauveau Taille
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Sophie Chauveau Taille – La répétition de la coupure cette saison a touché Bis physiquement et psychologiquement. Examen d’une éventuelle opération de sauvetage, quelques affirmations au fondement scientifique douteux et excès de nécessités. Je me suis dit : “Ça y est, je peux faire des podiums, c’est important que j’y parvienne rapidement”, en pensant à 2021 et 2022. Comme on avait déjà abordé le huis clos lors de la Coupe du Monde, j’avais confiance en mes capacités à affronter eux.

Ces facteurs sont cruciaux dans une activité mentalement éprouvante comme le biathlon. L’état mental du grimpeur est d’une importance cruciale. N’ai aucun doute; c’est ce qui est important : “Il faut avoir envie de déglinguer la cible quoi !” J’ai évité la traînée parce que je craignais que cela ne m’agrippe trop fort et n’endommage mes skis.

Ces jours-ci, je me sens beaucoup mieux dans l’ensemble. Tout au long de l’été, la Haut-Savoyarde a minutieusement peaufiné ses mouvements derrière la carabine. Sophie Chauveau, quant à elle, n’a jamais abandonné le ski. Je sais que le ski sera présent lors de chaque virage. La principale raison en est que rien n’a jamais changé.

Depuis son arrivée en équipe de France, le Grand-Bornand a…

Elle et sa famille allaient skier dans la Vallée-Verte chaque hiver au Grand-Bornand lorsqu’elle était petite. Personnellement, j’ai trouvé le biathlon plus excitant que le ski de fond. Au fil du temps, le Comité Mont-Blanc a pris conscience de ma performance exceptionnelle. Les jeunes sélections de l’époque étaient impactées par sa petite taille.

Jusqu’au début de sa tournée mondiale, elle y reste plus longtemps que tout le monde. Tout d’abord, je ne me laisserais pas m’en préoccuper de manière irrationnelle. “Ma plus grande ambition, en tant qu’admirateur de toujours de Martin Fourcade, était de représenter la France sur la scène internationale”, écrit le Haut-Savoyarde dans son photojournal.

Je ne pouvais tout simplement pas la laisser atteindre ce niveau, où elle serait pétrifiée à cette perspective. Ma carrière et le reste de ma saison ont été complètement ignorés par eux. Mais je dois admettre que ma propre performance m’a pris au dépourvu ! En déclarant faussement : “Je n’aurais pas pu imaginer avoir ce niveau à ce moment-là”, s’est embarrassée la biathlète.

L’hiver suivant, avec Camille Bened et Lou Jeanmonnot à ses côtés, elle remporte son premier titre international. Se tenir côte à côte avec la médaille d’or entre nos mains est sans aucun doute le plus beau souvenir de sa carrière. Ce sera un événement unique de remporter ce trophée aux côtés de ses coéquipiers après une course parfaite.

Que pense-t-il des résultats de l’équipe française en F1 ?

Sophie Chauveau regarde désormais vers le haut. Pour faire simple, la Coupe du Monde est comme une marche triomphale. Choisir des co-équipiers pour représenter la France A et devenir l’élite mondiale est une tradition annuelle à la Bornandine. Par exemple avec Lou Jeanmonnot et Paula Botet en janvier de l’année dernière.

“Avec les filles, on mène chacune notre chemin et on se tire vers l’avant”, dit un vieux proverbe que tout le monde envie. Ce groupe est pour moi une incroyable source de motivation. Alors même qu’elle performe chez elle, la jeune biathlète rêve visiblement à la Coupe du Grand-Bornand : Même si ce serait une perte de participer, j’ai dit que c’était mon objectif principal.

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“Un gros moteur sur la piste”, explique Sophie Chauveau, experte en troubles mentaux. La biathlète de 23 ans Bornandine Sophie Chauveau en apprendra davantage sur la coupe du monde de biathlon de Kontiolahti, en Finlande, jeudi après-midi. Bien que la biathlète soit née à Genève, en Suisse, de parents suisses, c’est sa vitesse remarquable sur les pistes qui l’a finalement conduite en Haute-Savoie.

Sa compatriote jurassienne Caroline Colombo a déclaré : « C’est un gros moteur sur la piste » (Nordic Magazine, 189), faisant référence à leur participation commune aux différentes étapes de la Coupe IBU les saisons précédentes. Tout au long de l’été, nous avons été constamment visibles puisque nous avons interverti les étapes avec l’équipe B. Nous avons pu nous détendre et partager davantage lorsque nous avons planifié des séances collectives tout en roulant sur nos vélos.

Après trois hivers fructueux sur le circuit B, Sophie Chauveau, talon et queue d’Achille, a été sélectionnée pour disputer cette année la Coupe du monde à Bessans (Savoie), qui débute en novembre. “Ma sélection a été une sacrée surprise”, a-t-elle déclaré dans une interview accordée à Nordic Magazine au lendemain de l’annonce officielle de sa participation au cours de Kontiolahti.

Le chemin parcouru par le Haut-Savoyarde en Coupe du Monde dépend de ses performances derrière la carabine. Cyril Burdet a déclaré : « Elle a besoin de mettre les balles », malgré son rythme de base. L’équipe lui fait confiance pour prendre un bon départ et même disputer le championnat mondial.

Debout sur le podium masculin, un petit compagnon

Constatant qu'”Elle a encore un peu de mal à se stabiliser en haut du plan” et ajoutant qu’elle s’est améliorée, la Meuthiarde Caroline Colombo fait le constat. L’entraînement, lorsqu’il est présent, est un moment passionnant de par les ondes positives qu’il apporte au groupe. Lors de sa première course de biathlon en compétition, Sophie Chauveau, qui s’efforce toujours d’acquérir un « beaucoup d’expérience », se comporte admirablement.

Au cours des trois mois précédents, l’adolescente dit avoir eu “une grande confiance” en son instructeur de fitness. “J’ai une conscience de mes capacités !” Les jeunes athlètes féminines du monde entier admirent Sophie Chauveau, une concurrente de triathlon de 22 ans. Alternant clichés époustouflants et horrifiants, la Bornandine se donne à fond dans sa quête d’une place en équipe de France et en Coupe du monde.

Conversation coordonnée. Un nuage apparaît Sophie Chauveau. Lors d’une étape à Brezno-Osrblie (Slovaquie) de la Coupe IBU, deuxième niveau du biathlon international, la Bornandine a réalisé une performance exceptionnelle. À seulement dix secondes du podium, elle se contente de la quatrième place de la finale du sprint, faisant ainsi ses adieux à sa deuxième course de ski et à sa première note parfaite (10/10) en compétition internationale.

Elle réitère son top 10 le lendemain. Le voyage en Slovénie a été un franc succès, même si les premiers efforts du biathlète de 22 ans ont été un échec total. “Je dois reconnaître que mon premier match de saison a été un défi”, s’est exclamée Sophie Chauveau.

Si vous vouliez concourir en Slovaquie avec l’équipe de France B, vous n’aviez d’autre choix que de vous classer en dessous de la cinquième place. J’ai dû commencer à rassembler des preuves à partir de zéro à cause de cela. Le biathlète du Grand Bornandais reprendra le parcours du Samse National Tour dans un peu plus d’une semaine. La course se terminera à Prémanon (Jura).

Tandis qu’elle hypnotisait les spectateurs, son paon se balançait avec élégance : “J’étais sereine, c’était l’occasion pour moi de repartir du bon pied et de prouver que j’avais toute ma la Coupe IBU à Brezno-Osrblie. Afin d’atteindre un exploit célèbre.

Allez-y et revenez mieux.

En l’occurrence, ce « yo-yo » sert en quelque sorte de tremplin de carrière à Sophie Chauveau. Avant de pouvoir douter et se remettre sur les rails, les deux hommes vont devoir traverser des moments difficiles marqués par des performances médiocres et une perte de confiance. Mes terribles saisons en 2019 et 2020 ont été bien pires que ce à quoi je m’attendais.

J’ai ressenti moins de pression la saison suivante, qui était l’année dernière, ndlr. Afin de pouvoir maintenir mon taux de croissance actuel, j’ai déjà planifié les prochaines étapes de mon étude. Mon attention aurait dû être portée sur l’amélioration de mes tâches, comme il l’a demandé, afin que nous puissions atteindre notre objectif, plutôt que de m’inquiéter de ma position à mon arrivée.

Dans cet état mental, j’ai agi selon mes connaissances et le résultat a été superbe. Pour la première fois cette année, elle a terminé sur le podium lors de la Coupe IBU de fin de saison à Obertilliach, en Autriche.

Elle remporte sa deuxième victoire au relais mondial junior à la fin de la saison hivernale 2020-2021/22. Je me dis de « arrêter » à chaque fois que j’atteins mon point le plus bas et je me rappelle que je me soucie moins de moi que de toute autre chose. Cela garantit que la biathlète peut garder son sang-froid sous pression. Chaque fois que j’ai envie d’abandonner, je dois garder à l’esprit qu’il reste encore un long chemin à parcourir. Pour atteindre mes objectifs, je dois vaincre mes peurs et trouver un moyen de procéder.

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