Soldat Francais Mort En Irak – Lundi, le gouvernement français a annoncé la mort d’un soldat servant en Irak. Il s’apprêtait à participer à une opération antiterroriste. Le moral des militaires français est une fois de plus au plus bas. Mardi dernier, le gouvernement français a annoncé la mort d’un soldat servant en Irak. Lundi, le militaire des forces spéciales françaises devait participer à une opération antiterroriste. D’autres soldats ont également été blessés.
Le palais a publié un communiqué disant : “C’est avec une profonde tristesse que le Président de la République a appris le décès du sergent Nicolas Mazier du 10e régiment d’infanterie parachutiste”, tué hier en Irak alors qu’il soutenait une unité militaire irakienne dans un opération antiterroriste. Le sergent. Nicolas Mazier s’est battu pour la France, pour notre sécurité. L’Irak tout entier pleure sa mort.
Selon un responsable de la sécurité irakienne à Kirkouk, lundi soir, une opération conjointe entre les forces antiterroristes irakiennes et les troupes françaises sur la base aérienne K1 de Kirkouk a tué des dizaines de membres du groupe jihadiste Etat islamique (EI) dans la province de Salahedine, dans le désert de al-Ath, qui borde Kirkouk.
Le gouvernement a réaffirmé sa « détermination dans sa lutte contre le terrorisme aux côtés de l’Irak » dans un communiqué. Cependant, l’armée est confrontée à une sombre réalité puisque trois soldats sont morts en l’espace de deux semaines.
Après la mort tragique du sergent Baptiste Gauchot dans un accident de voiture le 18 et de l’adjudant Nicolas Latourte, “mortellement blessé en marge d’un exercice d’entraînement au combat en zone urbaine”, le 21 août, la France a exprimé sa tristesse La perte des deux hommes.
Environ 600 soldats français y sont stationnés dans le cadre de l’opération Chammal, la composante française de la coalition internationale Inherent Resolve lancée en 2014 pour lutter contre le groupe État islamique.
Selon la présidence française, le sergent Nicolas Mazier du 10e Commando parachutiste aéroporté a été tué alors qu’il soutenait une escouade antiterroriste irakienne. Un membre des Forces spéciales françaises a été tué le 28 août lors d’une opération anti-djihadiste en soutien à l’armée irakienne, a annoncé le lendemain l’Élysée, portant à trois le nombre total de militaires français tués en Irak ce mois-ci. La présidence a publié un communiqué disant :
“Le Président de la République a appris avec une profonde tristesse le décès du Sergent Nicolas Mazier, du Parachute Air Force Command, n°10”, tué hier en Irak alors qu’il soutenait une unité de l’armée irakienne dans un opération antiterroriste.
“Le sergent Nicolas Mazier s’est battu pour la France, pour notre sécurité. Emmanuel Macron a répondu sur X : “Tombé en Irak, c’est tout le Nation qui pleure.” Mes plus sincères condoléances vont à ses proches et à ses camarades militaires. Sébastien Lecornu, commandant de la France. Le ministre de la Défense a déclaré mardi que “la France ne reculera pas” face au terrorisme.
Quatre autres militaires ont également été blessés.
À une centaine de kilomètres au nord de Bagdad, des militaires français ont participé mardi à une opération de reconnaissance en soutien aux forces irakiennes. L’armée irakienne a été définitivement envahie par une bande de terroristes qui se cachaient dans l’ombre.
Quelques heures après l’attaque initiale, les forces françaises ont répondu pour soutenir leur allié, infligeant de lourdes pertes à l’ennemi, comme le détaille un communiqué publié lundi par les hauts gradés de l’armée française. Le sergent Nicolas Mazier a été mortellement blessé lors de cette fusillade. Il ressort clairement du major d’État que quatre autres soldats français ont été blessés dans ces combats.
Le sergent Nicolas Mazier, du 10e Commando aéroporté parachutiste, a été tué le 28 août 2023, alors qu’il assistait une force militaire irakienne dans une opération antiterroriste. Le soldat français Nicolas Mazier, qui servait au sein du 10e Commando parachutiste aéroporté, a été tué en Irak le 28 août 2023. D’autres soldats des forces spéciales françaises ont été blessés alors qu’ils servaient aux côtés des forces irakiennes dans le cadre d’une opération antiterroriste.
Dans un communiqué, le président de la République Emmanuel Macron « s’incline avec un profond respect devant le sacrifice de ce soldat tombé au combat dans l’accomplissement de sa mission » et salue « le courage des forces armées françaises déployées dans le pays. “
Un deuxième soldat français est mort dans un accident, tandis qu’un troisième est mort lors d’un « exercice opérationnel » à Erbil ce mois-ci, portant à trois le nombre total de victimes françaises dans le pays cette année. Selon le site Internet du ministère français de la Défense, plus de 600 soldats français sont actuellement stationnés dans le pays.
Rend hommage au chef de l’Etat et au ministère de la Défense
Le général Thierry Burkhard, chef des armées, s’est profondément incliné devant la valeur et la mémoire du soldat décédé en service actif pour que la mission puisse être accomplie. Ses proches et ses frères d’armes sont dans ses pensées, a indiqué mardi le chef de l’armée dans un communiqué.
Un des enfants de la Nation pleure encore aujourd’hui. Le sergent Nicholas Mazier a été tué par des tirs ennemis alors qu’il effectuait une mission de lutte contre le terrorisme en Irak. À ses proches et à ses frères d’armes, veuillez accepter mes plus sincères condoléances. La France ne reculera pas dans la lutte contre le terrorisme, a déclaré le ministère de la Défense dans un communiqué publié le même jour.
Quatre autres soldats français ont été blessés.
Lundi, l’armée française a annoncé avoir entamé une mission de reconnaissance pour soutenir les soldats irakiens à 100 kilomètres au nord de Bagdad. L’armée irakienne a été définitivement envahie par une bande de terroristes qui se cachaient dans l’ombre. L’armée française “a immédiatement riposté pour soutenir l’allié, infligeant de lourdes pertes à l’ennemi”, comme l’a détaillé le général en chef de l’armée, qui a ajouté : “
Le sergent Nicolas Mazier a été mortellement blessé lors de cette fusillade. Quatre autres soldats français ont été blessés dans les combats. Lundi soir, des djihadistes du groupe État islamique (EI) dans la province de Salahedine, dans le désert d’al-Ath, frontalier de la province de Kirkouk, auraient été anéantis lors d’une opération conjointe. opération entre les forces antiterroristes irakiennes et les troupes françaises stationnées à Kirkouk, selon une source AFP.
Cette source affirme également que trois membres de l’agence antiterroriste irakienne ont été blessés pendant « plus de cinq heures » de combats.
Outre les deux décès survenus à la suite d’un accident de la route et à la périphérie d’un exercice le 29 août, il a été annoncé qu’un membre des forces spéciales avait été tué au cours d’une opération antiterroriste. Depuis quelques semaines, un troisième soldat français a été tué en Irak.
Le sergent Nicolas Mazier, membre des forces spéciales françaises, du Commando parachutiste de l’armée de l’air 10 (CPA 10) basé à Orléans, a été tué dans un attentat terroriste en Irak le 28 août, a annoncé mardi l’Elysée.
Comme de coutume, très peu de détails sur sa mort ont été rapportés. Selon le ministère de la Défense, les djihadistes ont attaqué le commando français et les forces irakiennes alors qu’ils effectuaient une mission de reconnaissance à une centaine de kilomètres au nord de Bagdad. Au cours de ces combats, quatre autres soldats français furent blessés. Plusieurs médias irakiens ont confirmé que l’île d’Al-Aith, dans le Tigre, était le site d’une embuscade de l’EI.
Deux autres soldats français sont morts ces derniers jours en Irak et la situation est depuis tendue. Ces décès ont été officiellement attribués à deux accidents distincts. Le 18 août, le Sgt. Baptiste Gauchot du 19e Régiment du génie a été tué lors d’une patrouille routière de routine. Lors d’un entraînement le 20 août, l’adjudant Nicolas Latourte du 6e Régiment du Génie a tragiquement perdu la vie.
Protéger nos fondations au Moyen-Orient
Les troupes françaises n’avaient plus perdu un soldat au combat depuis janvier 2022, lorsqu’un brigadier du 54e régiment d’artillerie à Hyères avait été tué dans une attaque au mortier contre un camp militaire lors de l’opération Barkhane au Mali.
Le sergent Nicolas Mazier est le premier soldat français tué au combat depuis plus d’un an. C’est aussi le premier bilan des forces spéciales annoncé depuis que deux soldats du commando Hubert ont été tués au Burkina Faso en janvier dernier alors qu’ils libéraient des otages.
Les trois décès récents sont survenus dans un contexte de coopération militaire renforcée entre la France et l’Irak. Depuis le début de l’opération Chammal en 2014, la France dispose de 600 soldats stationnés dans la région Irak-Syrie (sans compter les forces spéciales rattachées à la Task Force Hydra, dont les membres sont tenus secrets). L’opération “Chammal” est un double effort de formation et de soutien aérien pour la coalition internationale Operation Inherent Resolve (OIR), dirigée par les États-Unis.