Sarah El Haïry Origine Parents – À la suite des dernières élections municipales en France, elle a été élue conseillère municipale de la ville de Nantes et de la métropole Nantes Métropole. En juin de cette année, à la demande du Premier ministre Edouard Philippe, elle a co-signé un rapport intitulé “Pour une philanthropie à la française” avec Nama Moutchou, une législatrice française d’origine marocaine. Sarah El Hary, 33 ans, est une boule d’énergie et d’ambition qui ne mâche jamais ses mots.
En effet, la benjamine du gouvernement se montre homosexuelle dans cette interview sur les jeunes et l’entreprise sans en faire tout un plat, faisant d’elle la première femme ministre en France à le faire. Une approche dépassionnée du progrès social. Yves Derai a compilé les suggestions suivantes.
Puisque vous et Gabriel Attal êtes nés le même jour, vous occupez tous les deux le poste de benjamine du gouvernement. Quelle drôle de coïncidence… S. El Hary Sarah : C’est vrai que nous avons tous nos liens personnels avec le titre. J’ai grandi au Maroc et en France, et j’ai terminé mes études secondaires à Rabat.
J’ai décidé d’entrer en politique française au niveau local dans ma ville natale de Nantes et au niveau national en tant que député ; Je suis actuellement au service du gouvernement français. Même si le Maroc, le pays où j’ai grandi, occupe une place spéciale dans mon cœur. Je ne cacherai aucun détail de mon passé.
Les relations tendues actuelles entre la France et le Maroc vous épuisent ?
Des liens forts existent entre la France et le Maroc, comme l’affirme S.E.H. Les liens entre ces deux pays vont plus loin que leurs divergences politiques actuelles. Vous savez déjà que ce sont avant tout des liens humains qui se sont forgés au fil du temps et qui ne cessent de se renforcer. Il existe plusieurs partenariats et associations couvrant de nombreux domaines. J’en suis heureux, j’en fais partie et je continuerai d’en faire partie.
Où avez-vous obtenu ces liens malveillants ?
Parfois, bien sûr, comme une famille ! – S.E.H. Parfois, des disputes surviennent avec les personnes qui nous sont chères, mais nous ne rompons jamais avec elles. Les deux rives de la Méditerranée s’engagent à entretenir des relations étroites et à travailler à l’amélioration de la qualité de notre partenariat. J’ai aussi récemment visité des institutions françaises au Maroc et, à la demande de Sébastien Lecornu, rencontré le ministre de la Défense.
Nous avons besoin de preuves que cette approche peut réussir en France. Les gens me disent souvent : « C’est bon de te voir et de t’entendre. Je me sens revitalisé par cela. Cependant, des modèles virils sont nécessaires. Les héros du quotidien inspirent ma foi. Il peut s’agir d’un homme d’affaires, d’un enseignant, d’un pompier, d’un parent, etc.
Être sûr. Enraciner un idéal, une France qui ne soit pas victime, une France ouvrière qui ne coupe pas les ailes de l’espoir. A l’âge de dix-huit ans, j’ai lancé ma première entreprise. Cela n’a pas fonctionné, mais j’ai créé des groupes et je me suis finalement lancé en politique à mes propres frais.
J’ai d’abord échoué, réessayé une fois, réessayé deux fois… Peut-être dans ma ville… En tant que conseillère municipale de Nantes, je trouve frustrant de voir ma ville chuter dans le classement après avoir été “menée au bûcher” pour des raisons de sécurité. J’espère qu’elle pourra retrouver son ancienne gloire.
Alors oui, une bataille de ninja aura lieu. Mais payez bien, le projet n’essaie pas forcément de dire le mandat. Oui, en effet ! Par exemple, lorsque j’enseigne la littératie financière à la Banque de France via le SNU, les étudiants acquièrent les compétences nécessaires pour gérer leur propre budget.
Parce que le manque de mobilité est un obstacle important à l’emploi, le SNU aidera certains jeunes à faire l’expérience de la mobilité pour la première fois. En tant que problème du monde du travail, il exposera également ces jeunes à des personnes différentes d’eux-mêmes. Je ne fais aucune distinction entre ma vie personnelle et ma vie professionnelle.
14 ans. Casablanca. La matinée du 16 mai 2003 a commencé comme n’importe quelle autre journée pour l’adolescente que je suis. Les mathématiques, le français, l’anglais et la chimie physique se succèdent au collège. Ensuite, mon petit frère et moi rentrerons à la maison. Mon papa et ma maman sont dans leur restaurant, prêts à assumer le service du soir et prêts à tout donner, comme ils le font tous les jours, pour que leurs clients vivent une expérience qu’ils n’oublieront pas de sitôt.
Le ministre de la Jeunesse d’origine marocaine nouvellement élu en Nouvelle-Zélande revient sur l’atmosphère unique de la demi-finale de la Coupe du monde entre la France et le Maroc, qui a réuni l’amour commun des deux pays pour le sport et les liens particuliers qui les unissent.
Sarah El Hary est née en France de parents marocains naturalisés français. Elle y passe une partie de son enfance, principalement dans la ville de Casablanca. Elle applaudit la “joie collective” de la soirée football France-Maroc.
Le sport a le pouvoir d’unir et de rassembler les gens, comme l’a dit un fan hier soir : « Hier soir, au coup de sifflet d’ouverture, j’étais fier de l’équipe marocaine, ce qui a été un peu une surprise car personne ne s’attendait à ce qu’elle gagne.
Interrogée sur les propos tenus par des personnalités politiques comme Eric Ciotti et Eric Zemmour, choqués d’assister à des scènes de réjouissances en France suite aux victoires de l’équipe nationale marocaine lors des deux matches précédents, Sarah El Hary a répondu :
C’est la saison des fêtes; ces gens sont des fêtards. Ils tentent de semer la discorde et d’alimenter le soutien aux candidats d’extrême droite. La diversité du patrimoine de notre nation se traduit par le fait que l’on peut revendiquer la nationalité française tout en chérissant le pays d’origine de sa famille ou de son lignage paternel.
On peut détenir la double nationalité sans perdre son identité française. Au contraire, avoir la double nationalité n’est pas un signe d’instabilité mentale mais plutôt « les visages de notre histoire, une conjugaison de richesses ».
La Nantaise prend pour illustration sa propre histoire de vie : la « beurette » de Romorantin qui accède au poste de ministre. Être français, c’est ressentir un lien affectif avec un pays qui “ne juge pas, mais accueille”. Pour Sarah El Hary, être française et marocaine, c’est « la conjugaison des richesses ».
Le ministre de la jeunesse est un ressortissant franco-marocain qui détient la double nationalité. Elle soutiendra Deschamps et son équipe, mais elle n’aura de cesse de marteler que “la binationalité n’est pas une schizophrénie” ou qu’elle “ne s’oppose pas”. Sarah El Hary est née à Romorantin-Lanthenay (Loir-et-Cher) de parents marocains, a fait ses études primaires à Rabat (Maroc), fait ses études secondaires à Casablanca (Maroc), puis fait ses études secondaires à Nantes (Loire-Atlantique).
En réponse à une question sur ce qu’elle ressentira en regardant le quart de finale de mercredi soir entre la France et le Maroc, la secrétaire d’État chargée de. Le fonctionnaire a la double nationalité française et marocaine. Je veux que l’équipe de France remporte la Coupe du monde et la ramène à la maison.
Elle soutiendra Deschamps et son équipe, mais elle ne cessera de marteler que “la binationalité n’est pas de la schizophrénie, c’est le mariage de deux cultures”. C’est un “et” ; ça ne contredit rien. Le PDG très attendu sur la gestion des déversements potentiels
De toute évidence, c’est une façon de contrer l’utilisation par l’extrême droite de cette affiche pour faire avancer son propre agenda. Dimanche, le président de Reconquista, Éric Zemmour, a qualifié de “bizarre” le fait que “des milliers de personnes censées être françaises célèbrent la victoire du Maroc” sur la tribune de BFM Politique.
C’est sombre et inquiétant, c’est un euphémisme. Il jette la méfiance sur une grande partie du pays, rétorque El Ha’ary. Il est acceptable d’honorer et de porter les chandails des deux équipes. Beaucoup de Français considèrent le Maroc comme un pays ami car nos histoires sont entrelacées. De nombreux Marocains ont versé leur sang en défendant nos principes et en aidant à construire la terre de leurs ancêtres.
Au-delà de la guerre des mots et de la manipulation symbolique, l’exécutif devrait pivoter sur la question du maintien de l’ordre. Si des tempêtes venaient gâcher la fête sur les Champs-Élysées ou ailleurs, les idéologues de droite ne tarderaient pas à revenir dans la mêlée. Alors, dit Sarah El Hary la maligne, “il faut une tolérance zéro pour ceux qui cassent et montent le bazar.”
A mon avis, ils ont commis un double tort en s’en prenant aux autorités, ce qui n’est jamais acceptable. Et puis parce que cela renforce le soutien des électeurs d’extrême droite.
C’est pourquoi le gouvernement a encore plus de raisons d’espérer qu’aujourd’hui est un jour férié. Parce que la politique ne peut jamais être séparée du football.
Sarah El Hary, députée du MoDem (Mouvement Démocrate) de la 5e circonscription de Loire-Atlantique, a été nommée, dimanche 26 juillet 2020, au poste de secrétaire d’État à la Jeunesse et à l’Engagement au cabinet du ministre de l’Éducation nationale, de la Jeunesse et des Sports, Jean-Michel Blanquer.
Une mère française et un père marocain la mettent au monde en 1989, et elle termine ses études secondaires au Lycée Lyautey de Casablanca. Elle a été membre de l’Union pour un mouvement populaire (UMP) jusqu’en 2010, date à laquelle elle est passée au parti modéré.
