Sandrine Rousseau Espagne – Sandrine Rousseau affirme : “Je veux créer un effet de ‘réveil’ pour que les gens prennent conscience de l’ampleur et de la gravité du changement climatique.” Il s’agissait d’alerter le public sur ce qui se passe en Espagne, en Californie et en Chine. , a déclaré le législateur, et le sujet a été discuté tout le week-end. Il est temps de commencer à parler de la façon de lutter contre le réchauffement climatique, dit-elle.
Cette semaine verra une hausse des températures dans toute la France, notamment dans le sud-est, où les Alpes-Maritimes ont déjà été placées en vigilance orange. L’Europe du Sud ressent déjà les effets du prochain canicule ; L’Espagne est en alerte rouge et des températures allant jusqu’à 48 degrés sont prévues pour la Sardaigne. Il a fait environ 46 degrés Celsius au Texas et près de 41 degrés Celsius en Californie aux États-Unis. Les parties nord et ouest de la Chine ont connu des températures record de 52,2 %.
L’éco-politicienne parisienne Sandrine Rousseau s’est dite préoccupée par la vague de chaleur qui a balayé la péninsule ibérique jeudi, écrivant sur Twitter, “Il fait 60 degrés en Espagne”. 60 degrés. » Cependant, ce que le gagnant n’a pas précisé, c’est que le chiffre choquant de 60 degrés faisait référence à la température du sol plutôt qu’à la température de l’air. Certains écologistes et militants du changement climatique ont estimé que son tweet méritait l’attention pour leur cause.
L’explication de la législatrice écologiste pour le tweet effrayant de lundi était qu’elle voulait “réveiller les gens”. Voici ce qu’elle a déclaré sur BFMTV-RMC : “Je veux que les gens prennent conscience de la gravité et de l’ampleur de ce changement climatique.” Elle a posé la question : « Que pouvons-nous faire pour sensibiliser et stimuler l’action contre le changement climatique ?
Un mouvement stratégique en politique
La députée parisienne a défendu son tweet, qu’elle considère comme une stratégie politique : “Le fait que finalement on en ait parlé tout le week-end, c’est aussi une manière d’alerter sur ce qui se passe actuellement en Espagne.” A cette température, “il fait 60 degrés pour les plantes, pour la faune, pour les animaux et pour les enfants qui sont allongés par terre”, a-t-elle insisté lundi.
De nombreux scientifiques, comme l’agroclimatologue Serge Zaka, avaient critiqué sa déconnexion avec la réalité. La scientifique a déclaré à BFMTV que la législatrice nourrissait “certaines thèses sur les écologistes” qu'”elles exagéraient sur l’impact du changement climatique”, et qu’il fallait faire attention à ses discours “catastrophistes” car ils étaient “tirés du contexte et puis sans source surtout.”
Le lundi 17 juillet 2023, Sandrine Rousseau, une législatrice française, est apparue dans l’émission de BFMTV pour aborder la polémique qui a surgi après avoir déclaré qu’il faisait 60 degrés Celsius en Espagne sur Twitter sans préciser qu’elle parlait de la température du sol. L’éco-politicienne parisienne Sandrine Rousseau s’est inquiétée de la canicule en Espagne dans un tweet posté le 13 juillet : “Il fait 60 degrés en Espagne. 60 degrés.”
Cependant, l’élu a omis de préciser que le chiffre de 60 degrés Celsius représentait la température du sol plutôt que la température de l’air. La législatrice écologiste a tenté de défendre son tweet ce matin sur BFMTV en expliquant qu’elle espérait qu’il aurait un effet “réveil”.
La législatrice parisienne qui s’est défendue a déclaré : “Le fait que finalement on en ait parlé tout le week-end, c’est aussi un moyen d’alerter sur ce qui se passe actuellement en Espagne.” Elle utilise son propre tweet comme ce qu’elle considère comme une stratégie politique.
CLIMAT : une histoire d’extinction, de survie et d’environnement. Malgré les critiques que lui adressent les scientifiques sur ses libertés avec la vérité, Sandrine Rousseau a justifié un tweet alarmiste qu’elle a posté le 17 juillet et annonçant « 60° en Espagne » en disant qu’elle voulait provoquer un « effet de réveil » afin que “les gens se réveilleraient” sur le réchauffement climatique.
Le législateur écologiste a déclaré sur BFMTV-RMC : “Je veux faire un effet de réveil, pour que les gens prennent conscience de la gravité et de l’ampleur de ce changement climatique”. Un législateur parisien a tweeté : “Comment alerter et créer des actions autour du changement climatique ?
En Espagne, la température est confortable de 60 degrés. Sandrine Rousseau, jeudi, a tweeté “60 degrés”, sans préciser que la mesure correspondait à la température du sol et non à celle de l’air. Cela a attiré l’attention immédiate de plusieurs scientifiques, dont l’agroclimatologue Serge Zaka.
La scientifique a déclaré à BFMTV que la législatrice nourrissait “certaines thèses sur les écologistes” qu'”elles exagèrent sur l’impact du changement climatique” et qu’il faut faire attention à sa rhétorique “catastrophiste” car elle était “tirée du contexte et donc sans source”. en particulier.”
Elle a souligné lundi qu’une température du sol de 60 degrés est sans danger pour les plantes, la faune et les enfants jouant pieds nus sur le sol. Météo France a déclaré plusieurs régions en vigilance orange depuis mardi dernier, juin étant le deuxième mois le plus chaud jamais enregistré dans le pays.
Selon Sandrine Rousseau, députée du parti Nupes et représentante du 21e arrondissement de Paris, il aurait atteint 60 diplômes en Espagne. Cela me semble être une température très élevée, et plusieurs des réponses sur le bureau de vote ont laissé entendre une inexactitude.
En fait, ce sont des données incomplètes. Il s’agit en réalité de la température du sol de la région d’Estrémadure, mesurée depuis l’espace dans le sud-ouest de l’Espagne et diffusée par l’Observatoire européen Copernicus.
Cependant, les niveaux de mercure dans l’air à Loja le 11 juillet ont atteint “seulement” 45 degrés Celsius, selon les informations du Figaro. En effet, selon les données fournies par Le Parisien, trente des soixante-sept communautés autonomes espagnoles sont actuellement en « état de risque aux fortes chaleurs », certaines même dans une catégorie « à risque extrême ».
Cela se produit pendant une période de canicule qui traverse les Pyrénées depuis plusieurs semaines. Il indique que la lecture a été recueillie “via satellite” et “fournit des données sur la température de surface de la Terre”. “La température ressentie de l’air est encore élevée, mais il est clair qu’elle n’atteint pas 60 degrés”, poursuit-il. La température du sol n’est pas toujours un indicateur fiable de la façon dont les gens se sentiraient dans un environnement donné.
Sandrine Rousseau dévoile sa tactique surprise dans une interview à BFMTV du 17 juillet. Initialement, elle a publié une carte de l’Observatoire Copernic montrant la zone noire dans la région d’Estrémadure où la température avait atteint 60 degrés Fahrenheit sous terre. Plus tard, elle l’a retiré dans le but de réveiller les gens attentifs à la “gravité” du réchauffement climatique.
Elle affirme qu’elle voulait seulement “ouvrir le débat” en tweetant sur la chaleur du sol (60 degrés Fahrenheit) pour les travailleurs extérieurs. Elle poursuit en disant que l’environnement, pas seulement les « plantes », les « animaux » ou les « enfants qui sont au ras du sol », mais tout le monde, est affecté par des températures aussi élevées.
Nos amis parisiens s’empressent de nous signaler que le record mondial de température élevée de 56,7 degrés Celsius a été enregistré aux États-Unis le 10 juillet 1913, dans la vallée de la mort. Les températures record récentes en Californie ont atteint 54 degrés Celsius, dans le cadre d’une tendance mondiale vers un temps plus chaud. Si l’on en croit les relevés météorologiques, les premiers jours de juillet 2023 ont été les plus chauds jamais enregistrés sur Terre.
La représentante Sandrine Rousseau, écologiste, a faussement affirmé avoir alerté sur la crise climatique en Espagne après avoir diffusé une information incomplète sur les 60 degrés sans préciser qu’elle concernait les températures du sol.
Elle tient bon et marque les esprits. Un tweet de l’éco-politicienne Sandrine Rousseau, publié vendredi dernier mais toujours disponible en ligne, affirmait à tort que la température en Espagne était de 60 degrés lundi. Plusieurs scientifiques sont intervenus pour rappeler à l’écologiste que la température du sol est en fait d’environ 60 degrés, prouvant son affirmation.
Lundi, le nouvel élu a déclaré: “J’avais fait un autre tweet avec la carte mentionnant que c’était au sol et j’ai fait des express de le supprimer pour alerter sur Elle a également noté que “60 degrés contribuent à créer des îlots de chaleur”. Ce tweet n’a vraiment aucun sens. Le mieux serait de se débarrasser de Mme. Rousseau tout à fait. C’est injuste envers les climatologues, avait prévenu l’agronome Serge Zaka lors de l’émeute.
Se forcer à agir, comme dans “JE VEUX FAIRE UN EFFET ‘WAKE UP'”
Mais la législateur insiste sur le fait que son estimation est nécessaire pour tirer la sonnette d’alarme alors que la planète fait face à une vague de chaleur expansive. Comment sensibiliser et inciter à l’action climatique ?Nous ne sommes pas d’accord avec l’analyse (ni les personnes qui l’ont critiquée, ndlr).