Sandrine Josso Qui Est Son Mari – Une deuxième assistante nous raconte qu’entre juillet 2017 et février 2018, elle n’a pas demandé le remboursement du reste de ses dépenses, normalement prises en charge par l’IRFM, mais les a payées de sa poche : « J’ai gardé les justificatifs mais j’ai renoncé Faisant valoir mes droits auprès des prud’men, j’ai eu envie de tourner la page de cette expérience professionnelle difficile.”
Un cas d’usurpation de signature ?
Encore une pratique de la CAF qui n’est guère légale. Sandrine Josso a demandé l’aide de la CAF en octobre 2017 alors qu’elle et son ex-mari pratiquaient la prestation de soins alternatifs. En revanche, « elle devrait obtenir mon approbation. Elle ne l’a pas demandé, et a fait trois demandes différentes a la même CAF, en mettant trois fois une signature sous mon nom – les trois sont différents d’ailleurs ! » déclare son ex-mari. Et elle a falsifié le sida.
Quelle bande de Patatras ! Son ex-épouse précise : « Un jugement de la JAF en date du 2 juillet 2018 a ordonné la rétroactivité des pensions de bons d’alimentation et, par extension, des aides de la CAF ; en conséquence, la MSA nous a remboursé ce qui nous était dû et s’est retournée contre Mme Josso. “
Même si le montant est relativement faible (moins de mille euros), la contrefaçon de la signature d’autrui pour bénéficier d’une aide financière constitue néanmoins un délit. Soit jusqu’à 3 ans de prison et 45.000 euros d’amende pour un justiciable lambda. Un ancien travailleur s’emporte : “Mais Mme Josso, qui confond mandat électoral et mandat cash, pense peut-être qu’un législateur est au-dessus des lois qu’il vote ?”
Une ancienne collègue déclare : “Elle a également signé pour moi la vente de tous les comptes que je recherchais depuis longtemps et que j’ai finalement obtenu.” Le document porte sa signature, et elle l’a également signé en mon nom, en utilisant sa propre signature. Si je devais signer intégralement le contrat de vente, je n’aurais aucun recours contre elle pour l’argent qui m’appartient de droit. Mais comme c’est sa signature, honnêtement, je ne comprends pas.
Sandrine Josso nous a répondu, alors prenez note ! Parce que notre dernier article ne traitait pas de « raisons privées » ou de « questions juridiques en cours », mais plutôt de sa carrière et de la manière dont elle s’est déroulée, nous avons supposé qu’il avait été écrit en pensant à nos confrères de Presse-Océan. Cependant, nous publierons sa réponse. Nos tentatives de suivi pour la contacter sont restées sans réponse.
Vous avez écrit un article sur moi en utilisant des informations privées et des affaires juridiques en cours pour discréditer ma campagne à la mairie de La Baule. Si je devais deviner, je dirais que vous n’avez aucune idée de ce qui se passe à La Baule.
Cordialement
Gatien Meunier (LR) confirme avoir tenté de prendre rendez-vous avec elle en mai 2019 : « il est où le problème ? Je l’ai connue bien avant qu’elle se lance en politique. J’ai essayé de lui parler pour savoir ce qu’elle voulait, mais nous ne nous sommes jamais rencontrés et elle n’a jamais répondu à mes messages. Cet aveu est tragique.
Sandrine Josso, députée, a été libérée du commissariat vendredi soir à l’issue d’un entretien de deux heures avec son agresseur présumé, le sénateur Jol Guerriau.
Après 48 heures d’observation, le suspect a été remis à un juge pour complément d’enquête pour « administration à une personne, à son insu, d’une substance de nature à altérer son discernement ou le contrôle de ses actes en vue de commettre une infraction ou une agression sexuelle.”
Les faits se seraient déroulés au domicile parisien du sénateur aux petites heures du mercredi matin. Sandrine Josso (MoDem), députée, a déclaré aux enquêteurs qu’elle avait passé la soirée chez Jol Guerriau et qu’elle s’était sentie mal après avoir bu de l’alcool. Elle affirme avoir ensuite quitté l’appartement sans en informer ses proches. Son sang a été testé positif à l’ecstasy lors de son séjour à l’hôpital.
Son avocat a souligné que les deux législateurs n’avaient pas de relation amoureuse. Maître Julia Minkowski estime également que la cliente “a dû déployer des forces physiques et intellectuelles monumentales pour surmonter sa terreur et s’extirper in extremis de ce guet-apens”.
“Erreur de manipulation”
L’avocat du sénateur, en revanche, nie catégoriquement que son client ait envie de tester un collègue pour un test de dépistage de drogue. Maître Pierre Drai, au micro de TF1, affirme qu’il y a eu une “erreur de manipulation” et que l’objet en question ne lui a jamais été destiné.
Les enquêteurs ont bel et bien retrouvé de l’ecstasy au domicile de Jol Guerriau après perquisitions. Le sénateur a été suspendu de son parti politique, Horizons, bien qu’il soit présumé innocent. Le tribunal l’a placé sous surveillance et lui a ordonné de rester à l’écart de la victime. Jusqu’à cinq ans de prison et 75 000 euros de dédommagement attendent Jol Guerriau s’il est reconnu coupable.
Pour citer son avocat, “Elle est toujours en état de choc”, dit Me Julia Minkowski à propos de sa cliente. Qui est Sandrine Josso, la victime présumée qui accuse le sénateur de Loire-Atlantique Jol Guerriau de l’avoir droguée ?
On suppose qu’elle a trop bu dans la nuit de mardi à mercredi au domicile parisien du sénateur Jol Guerriau, 66 ans (affilié à Horizons, mouvement de l’ancien Premier ministre Édouard Philippe), et qu’elle est tombée malade.
Elle a été élue en 2017 sous la bannière de La République en marche dans la 7e circonscription de Loire-Atlantique, sa région d’origine (Guérande), et est membre du groupe MoDem et indépendants depuis 2021. Le soir des faits, le candidat élu aurait été “pris de malaise après avoir bu une coupe de champagne” et aurait vu Jol Guerriau “se saisir d’un petit sachet en.
Amis avec le sénateur jusqu’à présent
Des échantillons prélevés sur son corps ont montré la présence d’ecstasy, a rapporté jeudi le Paris Post, confirmant une information de RMC. Les enquêteurs ont ensuite perquisitionné le domicile et le bureau du sénateur, où ils auraient trouvé de l’ecstasy cachée dans un tapis. Me Julia Minkowski a précisé : « Jol Guerriau était un ami depuis une décennie, quelqu’un en qui elle avait entièrement confiance.
Agressé par les forces de l’ordre vendredi
Dans le cadre de la détention judiciaire de Jol Guerriau pour « administration à une personne, à son insu, d’une substance de la nature destinée à altérer son discernement ou le contrôle de ses actes en vue de commettre une violation ou une agression sexuelle », une confrontation entre les Le député et le sénateur ont duré près de deux heures vendredi dans le 3e arrondissement de Paris.
stade de l’enquête de caractériser une quelconque infraction arbitraire”.
Prenons par exemple le cas d’une femme voyageant en première classe du TGV et qui prie en silence pour qu’on la laisse seule. Mais elle n’a pas besoin de s’inquiéter ; le nom du législateur figure sur les billets. Sauf qu’elle n’est pas vraiment ça. L’Assemblée nationale rembourse à ses membres jusqu’à 3 000 € par an et 1 000 € pour chaque siège qu’ils occupent, permettant aux représentants provinciaux de voyager confortablement entre leurs circonscriptions et le Palais de Bourbon.
“Sandrine Josso avait trouvé un système très ingénieux pour ne pas toucher à l’IRFM”, se souvient un ancien collègue. Elle envoyait un assistant en voyage d’affaires en achetant des billets de train à son nom. Et parfois, la députée prenait le même train, mais elle faisait de grands efforts pour faire sa réservation via une autre centrale de réservation afin que personne ne remarque qu’elle prenait le même train deux fois dans un créneau de deux heures.
Pour économiser sur les afférentes IRFM, l’assistante de Sandrine Josso effectuait un aller-retour hebdomadaire entre Vannes et Paris chaque semaine pendant les sessions législatives d’automne et d’hiver (de septembre 2018 à décembre 2018). Quand elle a dit qu’elle n’avait plus besoin d’elle, elle a arrêté ces voyages de retour. Comme De Rugy avec ses dîners et ses homards, elle devrait être tenue par la loi de payer ses propres déplacements vers et depuis la Chambre des Représentants.