Sandrine Bonnaire Compagnon Pierre Lemaitre

Répandez l'amour du partage
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Sandrine Bonnaire Compagnon Pierre Lemaitre – Sandrine Bonnaire sort depuis 2018 avec le célèbre trompettiste Erik Truffaz. L’histoire amoureuse de l’actrice compte plusieurs hommes marquants, dont les pères de ses filles, William Hurt et Guillaume Laurant, avec qui elle entretient des relations cordiales. Allant même jusqu’à fixer des rendez-vous pour un dîner avec eux.

Il est courant que des célébrités et leurs ex se disputent, mais Sandrine Bonnaire est une exception. L’actrice de 52 ans se trouve dans une situation tout à fait opposée. Ses plus récentes confessions sont à retrouver dans le numéro du 17 octobre de Paris Match. Elle parle de ses filles Jeanne et Adèle, ainsi que de leurs papas.

Sur le tournage de La Peste de Luis Puenzo en 1991, Sandrine Bonnaire rencontre William Hurt pour la première fois. Jeanne est née de leur amour. Peu de temps après, le comédien français et l’acteur américain se séparent. Sandrine Bonnaire a épousé le dramaturge et comédien Guillaume Laurant (célèbre pour son travail sur le Fabuleux Destin d’Amélie Poulain) en 2003. Adèle est née de ses parents en 2005, mais ils ont divorcé trois ans plus tard.

Deux années d’intervalle n’ont pas entamé leur amitié. L’amour passé s’est même transformé en une nouvelle amitié. Selon Paris Match, chaque fois que William Hurt visite la ville, il reste avec son ex-petite amie. J’ai encore des sentiments pour les hommes de ma vie, confie Sandrine Bonnaire. L’actrice récemment à l’affiche du film “Trois jours et une vie” de Nicolas Boukhrief est un parfait exemple de ce dont il parle. La soirée s’est déroulée sans encombre.

Ils vivent actuellement séparés, ce qui convient à son compagnon actuel, le célèbre tromboniste Erik Truffaz. C’est l’essentiel d’une interview que Sandrine Bonnaire a accordée à Marie-Claire en septembre, du moins. “Être avec quelqu’un ne signifie pas nécessairement vivre avec”, avait-elle déclaré, semant le doute sur le partage d’un toit.

Elle incarne une mère dévouée dans “Trois jours et une vie” auprès d’un garçon qui cache à tout le monde un terrible secret. Nous avons rencontré une femme vraiment passionnée et radicale.

C’est un polar noir, mais la procédure est à l’envers car l’auteur est évident dès le départ. En 2016, paraît le roman Trois jours et une vie de Pierre Lemaître. Il raconte l’histoire tragique d’un petit garçon qui assassine accidentellement l’un des enfants de son quartier et est obligé de vivre avec la culpabilité qu’il ressent pour le reste de sa vie.

L’adaptation cinématographique, signée Pierre Lemaître lui-même et réalisée par Nicolas Boukrhief, sortira le 18 septembre. Boukrhief a été choisi parce qu’il accorde une attention méticuleuse au personnage central, qui mène l’histoire tout au long.

Sandrine Bonnaire incarne la mère du fils meurtrier (interprété par Jérémy Senez puis Pablo Pauly) dans ce film. Cet enfant a une mère courageuse qui a tout sacrifié pour lui. Lors du Festival d’Angoulême, nous l’avons croisée dans un jardin.

Vous êtes-vous déjà senti submergé par un sentiment de culpabilité ?

Ça n’a pas d’importance. Cependant, il arrive parfois qu’un membre de la famille qui réussit puisse dire à ses frères et sœurs moins prospères qu’ils ont de meilleures chances de réussir dans la vie. Cela aurait pu être le cas chez moi.

Avez-vous joué Blanche et dit qu’elle savait ce que faisait son fils ?

Il existe même une scène supprimée qui le montre clairement. Mais elle ne pose aucune question après avoir découvert le blouson déchiré ; ça en dit long. Sa potentielle histoire d’amour avec Kowalski a été sacrifiée sur l’autel de cette révélation. Ce film a beaucoup à dire sur le fait d’être seul. La littérature « blanche » ou « noire » est-elle plus votre préférence ?

“Plutôt noir. Dans la vie comme dans les arts, je prends beaucoup de plaisir à être chahutée. C’est pareil avec la musique, j’aime danser, mais quand je le fais, c’est sur les airs de Léo Ferré et Jacques Brel. Votre visage exprime à la fois la tristesse et le bonheur. Qu’appréciez-vous le plus dans votre communauté ?

Lorsque Pialat et moi étions ensemble, je me souviens qu’il me demandait fréquemment ce que je pensais. Les gens supposent souvent qu’ils ont des pensées profondes alors qu’en fait, elle se demande peut-être : ” Qu’est-ce que je vais manger ce soir pour le dîner ? »

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Avez-vous déjà éprouvé des regrets d’avoir commencé si jeune ?

Pas du tout. C’est le summum de l’indulgence, car cela n’a rien enlevé à mon enfance. Et entre les films, j’étais occupé avec les affaires d’une jeune femme. J’ai pu repérer certains de mes copains. Ce qui m’a le plus blessé, c’est d’être seul et ignoré pendant trop longtemps. Par exemple, mes parents se réjouissaient du fait qu’il existait une légère distinction au sein de notre fraternité. Mes frères s’exclament désormais spontanément : “Oh ! Oui ! Mais tu écoutes maman !

J’aimerais vous demander ce que vous avez appris de cinq personnes importantes au cours de votre carrière. Commençons par Chabrol. Il m’a appris à me discipliner. Comme Claude Sautet, il avait une approche méthodique de son travail, notamment de son découpage. Comme si vous entriez dans une pièce et trouviez chaque chose à sa place.

Qui est cette femme, Agnès Varda ?

Quand j’ai rencontré Pialat pour la première fois, j’étais une fleur, mais depuis que j’ai rencontré Varda, je suis devenu un arbre. Elle m’a enraciné. Elle avait un faible pour les gens terre à terre, matérialistes et financièrement stables. Et parce que le personnage m’était tellement éloigné, j’ai compris que jouer était en réalité un métier grâce à Sans toit ni loi.

Monsieur Rivette?

Je suis désolé, Rivette! Il m’a encouragé à poursuivre ma passion pour la scène car il appréciait la valeur de l’improvisation. Alors que la chambre était en ordre quand vous êtes arrivé avec Chabrol et Sautet, c’était le désordre quand vous y êtes arrivé avec lui. Il a proposé une intrigue à moitié cuite et vous a invité à l’aider à l’écrire.

Qu’est-ce que Pialat ?

Ce tatouage représente qui je suis. Il restera gravé à jamais dans ma chair. Il m’a appris la valeur de la persévérance et la nécessité de la crédibilité.

Comment voyez-vous évoluer votre carrière ?

Je vais me dépasser et voir ce que je peux apprendre en m’aventurant en territoire inexploré. Je viens de terminer l’écriture d’un scénario avec une scénariste belge qui s’appelle Isabelle Willems. C’est une vidéo sur la difficulté de savoir qui on est si on ne sait pas le nom de ses parents ou qu’on est né dans X. Dominique Besnehard est la productrice du film.

J’ai récemment créé une société de production avec ma fille Jeanne, c’est donc quelque chose de nouveau dans ma vie. Ça s’appelle “A nos amours” (elle sourit) en français. Nous voulons créer nos propres œuvres. J’ai commencé à tourner un documentaire sur Erik Trufaz, trompettiste. J’ai l’intention de produire les films de ma fille et d’autres jeunes cinéastes.

Pourquoi Truffaz a-t-il fait ça ?

Parce que « nous nous sommes rencontrés », « nous avons travaillé ensemble », « je suis fasciné par sa musique » et « c’est presque un scénario de film ». Je l’ai vu à l’Olympia il y a quelques années et je suis immédiatement tombé amoureux de sa musique. C’est pourquoi je l’ai pensé en composant la musique de mon film imaginaire. J’en ai beaucoup écouté sans rien comprendre.

Un jour, il m’a appelé et m’a demandé si j’étais intéressé à lire L’Homme Atlantique de Duras avec lui et le bassiste Marcello Giuliani. Je suis tombé sur l’artiste et il m’a enthousiasmé, et nous sommes rapidement tombés amoureux. Aujourd’hui, j’aimerais parler de son travail parce que sa musique m’a beaucoup influencé.

Laurent Ruquier est sorti avec Sandrine Bonnaire dans la deuxième saison de On n’est pas couché sur France. L’actrice a été assaillie par deux autres comédiens lors de la première de son dernier film.

Le 14 septembre, plusieurs personnalités se sont présentées pour voir Laurent Ruquier affronter les deux chroniqueurs de la semaine, Etienne Gernelle et Fabrice Nicolino, sur le plateau d’On n’est pas couché. Ségolène Royal, qui dirige l’association Désirs pour une planète future, était présente pour discuter de cette initiative, aux côtés des acteurs Sylvie Testud, Eric Elmosnino et Sandrine Bonnaire.

Dans ce film, nous suivons le chemin fracturé d’un petit garçon qui tue accidentellement l’un des enfants de son quartier et est obligé de vivre avec le poids de ce secret pour le reste de sa vie. Dans une performance émouvante, Sandrine Bonnaire incarne la mère meurtrière du garçon.

Pour être invité Nous ne sommes pas encore couchés pour discuter de films ; l’actrice a trouvé une scène particulièrement drôle. Sylvie Testud et Eric Elmosnino, désormais à l’affiche de l’adaptation d’une comédie de Marivaux de Ladislas Collat, ont interprété un court extrait de la pièce.

Sandrine Bonnaire n’a pas hésité à affronter les comédiens tandis que le public écoutait avec attention Sylvie Testud et sa partenaire de jeu. Elle a ri de l’absurdité du scénario et a demandé : “C’est comme ça que vous jouez ?”

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