Raphaël Lakafia Et Sa Copine – Il existe une véritable romance entre Lesly Boitrelle et l’athlétisme. Si la francilienne a commencé à aimer le sport, ce n’est pas parce qu’elle s’est installée dans le Var pour rejoindre son compagnon Raphaël Lakafia, rugbyman au RC Toulon. Le journaliste est un passionné de sport, que ce soit l’hiver comme l’été, en voiture ou en groupe.
La jeune mère de deux enfants travaille comme animatrice pour Eurosport lorsqu’elle ne couvre pas les matchs du championnat de France dans le sud-est pour Amazon Prime Video. Nous voilà de retour quotidiennement à l’antenne pour rejoindre les téléspectateurs d’Eurosport aux Jeux d’hiver qui viennent de commencer pour deux semaines à Pékin, en Chine, et qui se poursuivront jusqu’au 20 février, six mois après les inoubliables Jeux olympiques d’été de Tokyo.
Quelle importance les Jeux Olympiques ont-ils dans votre vie ?
Pour les journalistes sportifs, c’est d’une importance capitale. Je dois m’y remettre le plus vite possible ; Je suis encore en convalescence après Tokyo et je dois étudier les disciplines, évaluer les possibilités de médaille de la France et me tenir au courant.
Nous avons la chance d’avoir de nombreux consultants chez Eurosport, ce qui nous permet d’être à jour. Même si je suis plus attaché aux Jeux d’été, les Jeux d’hiver n’en sont pas moins spectaculaires, avec plus d’une centaine d’épreuves dans une quinzaine de disciplines.
Du bobsleigh à la luge en passant par le ski, les options sont infinies. C’est le genre de choses dans lesquelles, pour une raison quelconque, nous avons tendance à nous embourber chaque fois que nous allumons la télévision. De 6h à 16h chaque jour, nous ferons vivre cette Olympiade et serons là pour le public.
Quelle est la meilleure façon de se préparer aux Jeux olympiques d’hiver ?
Il y a toujours quelques directives de base à suivre et de nouvelles informations à absorber avant de s’y lancer. Les Jeux olympiques d’hiver attirent moins l’attention des médias que les autres sports olympiques, c’est pourquoi moins de gens les connaissent. Dans cet article, nous nous efforcerons de définir le freestyle, de décrire le score de skate, etc. Quelque chose de nouveau peut être appris à tout moment.
Qu’est-ce qui vous a le plus retenu des Jeux olympiques d’hiver ?
Salut! Je voulais saluer Martin Fourcade, qui vient de devenir consultant chez nous. Je ne pense pas que nous sachions vraiment qui est le vainqueur, mais cela fait cinq titres olympiques. Son impact sur le passé du biathlon est incommensurable. C’est un plaisir de l’avoir dans la série ; il apporte beaucoup de valeur.
lequel préfères-tu?
Glisser sur des patins est ma faiblesse. Je peux généralement ignorer ce genre d’événement sportif lorsqu’il est diffusé à la télévision. Parce que j’aime les sports mécaniques, le bobsleigh est un autre sport que j’apprécie beaucoup. Le curling est aussi un sujet qui me captive.
Alors, comment se présentent les Jeux français après Tokyo ?
Les sports d’équipe en particulier ont rendu la semaine dernière à Tokyo absolument folle. L’histoire de Kevin Rolland est tellement incroyable ; J’adorerais le suivre alors qu’il participe à ses troisièmes Jeux olympiques.
Il est devenu père en 2019 après avoir plongé de 22 mètres sur un halfpipe, ce qui l’a laissé dans le coma pendant trois jours et alité pendant trois mois. Il vient de documenter son rétablissement dans un documentaire sur la persévérance. Ce serait absolument remarquable s’il pouvait répéter sa médaille de bronze de 2014.
Nous sentons une diminution du niveau d’enthousiasme autour de Pékin.
Tokyo n’était pas différent. Tout est bien en place et il y a toujours du travail de préparation et de nettoyage après le grand événement. Si les médailles françaises arrivent rapidement, les gens sonneront l’alarme une fois les jeux commencés.
Jusqu’à présent, nous nous sommes davantage concentrés sur le contexte sanitaire des Jeux olympiques que sur les objectifs sportifs eux-mêmes. Lentement mais sûrement, une fois les Jeux olympiques commencés, les gens réagiront.
Pouvez-vous décrire votre style à l’antenne ?
Malgré l’abondance de l’expertise, Eurosport conserve un ton chaleureux et accueillant. Nos connaissances nous permettent de nous détendre et de nous amuser. Chaque jour, nous sommes aux côtés de ceux qui en ont besoin et nous serons là pour accueillir les athlètes à leur retour de Pékin.
Cela reste un sport, il faut donc savoir entretenir son sourire. L’objectif est d’inciter les téléspectateurs à nous rejoindre pour vivre une expérience agréable et à régler leur alarme tous les jours, même s’il est très tôt, afin qu’ils puissent suivre les événements à nos côtés.
Relations variées associées à l’ECR
Lesly Boitrelle, fille de Seine-Saint-Denis, est tombée amoureuse du Var, même si cela ne semblait pas lui être destiné au premier abord. Après avoir rencontré Raphaël Lakafia, rugbyman professionnel au Stade Français, en 2016, la suite a été prise en charge par Cupidon. Un an plus tard, l’international français aux cinq sélections rejoint le RC Toulon.
Elle ajoute que les futurs parents ont craqué pour la Région de Carqueiranne après s’y être installés. Une maison qui offre l’équilibre idéal entre loisirs et vie de famille. Destiné à Lesly et Raphaël, dont le père, Jean-Paul, était lanceur de javelot aux JO de Los Angeles en 1984 et dont le frère, Pierre-Gilles, a joué au rugby à sept aux JO de Rio en 2016. Une lignée noble.
Raphaël Lakafia a évoqué son expérience au RCT dans un entretien au journal régional Var-matin. Il est membre du Rugby Club Toutroisième ligne lonnais. Le deuxième dit que lui et sa famille se portent très bien à Toulon. Il est entièrement satisfait de sa décision. Il affirme que Patrice Collazo a confiance en lui sur le plan sportif. Extrait:
Ici, je suis simplement content. Tout le monde dans ma famille se sent bien, moi y compris. Je pense aussi que c’est crucial, et une fois que cela est réglé, le rugby devient beaucoup plus facile. J’ai trouvé une région et un groupe dans lesquels je m’intègre vraiment, et c’est génial. J’espère passer le reste de ma carrière ici et vivre encore de nombreuses années merveilleuses ici.
Je me sens bien dans ce club. Je m’identifie à certains des principes retenus ici. Le rugby est l’élément vital de la région. Pour ma famille et moi-même, c’est un lieu de vie extraordinaire. Je tiens également à remercier Patrice Collazo de la confiance qu’elle m’a accordée puisque j’en ai bénéficié. On nous a fourni tout. Comme j’aspire à sa continuation.
La région toulonnaise et le club varois ont tellement séduit Raphaël Lakafia qu’il a exprimé son envie d’y terminer sa carrière. Mieux encore : il a abandonné l’idée de se retirer à Paris. Il compte résider à Toulon. Extrait:
Les intentions de la famille furent légèrement modifiées à mon arrivée à Toulon. La famille de mon conjoint habite en région parisienne, nous ne sommes donc pas trop loin. Après cet incident de Toulon, notre intention initiale était de rentrer à Paris. Enfin, j’ai peur que nous ne puissions plus jamais y retourner.
Je souhaite que le père de la famille Lakafia… Jean-Paul, aujourd’hui âgé de 50 ans, soit finaliste de l’épreuve du javelot aux Jeux olympiques d’été de Los Angeles en 1980 et détenait le record de France de 86,60 mètres. En 1984 à Los Angeles. Quelle carrière et quelle construction fantastiques ! A la tête des policiers lors des manifestations assez houleuses à Tours se trouve une carrure de mauvais goût (1,93 m).
Le climat agréable n’est pas la seule raison pour laquelle Jean-Paul Lakafia, originaire de Nouvelle-Calédonie, a décidé de s’implanter en Touraine. Il a également mentionné que son épouse et mère de ses trois enfants, Laurence, était la fille d’un président de club sportif. “Je suis arrivé en 1986 parce que…” Il décide de s’installer en Touraine après avoir été captivé par le regard époustouflant de Laurence Philibert et le CO de Tours-Sud.
Passion pour la Touraine
Avant de se retirer du lancer du javelot pour se consacrer à sa famille et à sa carrière au commissariat central, Jean-Paul Lakafia a connu un âge d’or de l’athlétisme tourangeau. Cependant, le terme est réapparu récemment dans la section sportive nationale.
Il a pour fils deux rugbymen très talentueux : Pierre-Gilles, 24 ans, portera le maillot castrais après Toulouse, et Raphaël, 22 ans, est le troisième ligne médian de Biarritz. “Au début, comme n’importe quel autre enfant, ils pratiquaient le football et le judo”, se souvient Jean-Paul.
Ils ont « eu un coup de foudre » après avoir découvert le rugby par hasard un jour en suivant un ami.
De plus, Jean-Paul en est venu à privilégier ce sport plutôt que l’athlétisme. Rendez-vous au centre d’entraînement de Clermont-Ferrand, une immense écurie, après avoir intégré l’école de rugby de l’US Tours.
L’accord était qu’ils n’abandonneraient pas l’école, donc ma femme et moi étions un peu hésitants. Ils le tenaient en haute estime. A la suite d’un IUT, Pierre-Gilles et Raphaël sont diplômés d’une licence.
L’attention des grands clubs a été immédiatement attirée par ces caractéristiques frappantes ; l’aîné, mesurant 1,85 m et pesant 95 kg, est un ailier puissant et rapide, tandis que le plus jeune, mesurant 1,91 m et 113 kg, est un troisième rameur prometteur.
Des rêves noirs énigmatiques
Presque au point où il vient d’être nommé sur la liste de la Coupe du monde pour le tournoi de septembre en Nouvelle-Zélande. ” Il m’appelle régulièrement. Il a du mal en ce moment tout au long des entraînements à être au top. Il ne faisait aucun doute que Raphaël prendrait des vacances pendant l’entraînement commando Et ses parents non plus.
Pas encore là… “Ma famille et moi prévoyons de partir en vacances d’un mois en Nouvelle-Zélande à partir de septembre.” La famille Lakafia a vidé la banque parce qu’elle avait un rêve sinistre : la France jouerait contre les All Blacks le 24 septembre. Si Raphaël C’est Lakafia qui a enfilé le maillot bleu en troisième ligne ce jour-là, on connaît un père fier. Mais tranquillement : être plongé dans le vif du sujet est la seule chose que Jean-Paul méprise.
Le troisième ligne Après avoir joué au Stade-Français Paris, Raphaël Lakafia rejoint le Rugby Club Toulonnais en 2017. L’ex-star parisienne a évoqué sa décision de rejoindre le Harbourside dans un entretien au quotidien L’Equipe. Extrait:
Lorsque j’ai signé au Stade Français en 2014 et immédiatement après la Coupe du Monde 2011, j’ai catégoriquement refusé de jouer à Toulon. Toulon n’était pas un endroit que je me sentais prêt à visiter. Si vous voulez réussir dans cet environnement électrisant, vous devez être un joueur expérimenté qui connaît ses talents et ses faiblesses.
Il suffit de prendre un départ horrible, et ensuite il faut se relever… C’était ma dernière chance, alors je me suis dit : “C’est maintenant ou jamais” quand l’occasion s’est présentéee. Pour être honnête, j’étais confiant et prêt.
C’était une erreur de s’inscrire au RCT ; maintenant j’aurais aimé ne pas l’avoir fait : “Tu n’as jamais osé y aller pour voir à quoi ça ressemblait.” Pour ma carrière à l’époque, c’était une décision majeure. Fabien Galthié et Fabrice Landreau m’ont tout de suite fait confiance, donc j’ai fait en sorte d’avoir ce qu’il fallait pour arriver à Toulon en un seul morceau. Je continue de jouer beaucoup cette saison. Je m’amuse avec ça.