Qui Est Le Fils De Georges Brassens – Une famille dont l’origine remonte à Bertrand Brassens, maître tuilier né vers 1610 et marié vers 1650, installé à Castelnaudary bien qu’il soit probablement originaire d’ailleurs. Certainement plus à l’ouest, car ce patronyme était le plus répandu avant 1700 en Dordogne, notamment sur les communes de Bourgnac et Sourzac. Le nom est clairement dérivé de noms de lieux comme Brassenx et Brassens (Sore), que l’on trouve tous deux dans la région des Landes, à l’ouest de la France.
Georges Brassens a écrit de belles chansons d’amour (Brassens est avec nous, France 3, 20h50). Il la connaissait également, mais il rejetait systématiquement le mariage et la paternité, contrairement à beaucoup de ses contemporains.
En 1944, Georges Brassens (Brassens est chez nous, France 3, 20h50) tente d’éviter le STO (service de travail obligatoire) imposé par les nazis. Il se cache chez sa grand-tante Jeanne Planche, 30 ans.
Une femme prénommée Jeanne qui emménage avec lui dans une petite maison au fond d’une impasse et avec qui il développe des relations profondes et riches de sens. Le chanteur-compositeur aura notamment une série de liaisons secrètes avec la jeune femme Jo, qui lui servira d’inspiration pour plusieurs de ses chansons, dont le tube mondial “Une jolie fleur”.
En 1947, Brassens rencontre Joha Heiman, une ancienne comédienne estonienne de neuf ans son aînée dans une boulangerie du XIVe arrondissement. La future épouse de Brassens, qu’il surnomme affectueusement “Pupchen” (de l’allemand püppchen ou petite poupée), passera le reste de sa vie à ses côtés et lui inspirera certaines de ses chansons les plus mémorables, comme “J ‘ai rendez-vous avec vous” et “Non demande en mariage”. Mais jamais avec lui : Pupchen et Brassens, qu’elle appelle « le roi Jo », sont des individus autonomes qui ne se marieront jamais et ne vivront jamais ensemble. A chacun sa maison.
Brassens et Pupchen vivent ensemble dans la même maison, mais dans des chambres séparées, car ils craignent le train-train quotidien comme la peste et préfèrent avoir des rendez-vous amoureux plutôt que de l’affronter à la maison. Brassens, auteur de « L’encre des becs mous se répand vite entre les pages des livres de cuisine », a dit un jour : « Se marier, c’est fonder un foyer, avoir des enfants et en prendre soin. » Malheureusement, je ne peux pas m’occuper seule d’une maison.
Sans aborder le sujet, Georges Brassens explique sa décision de renoncer à la parentalité : “J’ai choisi de ne pas avoir d’enfants. J’aurais préféré éviter le monde tel qu’il est. Brassens et Püpchen finiront par se retrouver. Le chanteur-compositeur a été inhumé au petit cimetière de Sète où il avait déjà réservé une parcelle huit ans avant sa mort le 29 octobre 1981 des suites d’un cancer. Joha Heiman, qui rendra son dernier souffle le 19 décembre 1999, repose à ses côtés.
Georges Brassens a vécu une vie heureuse au pied de son arbre généalogique.
Le 22 octobre prochain, le Polisson de la Chanson aurait eu 100 ans. Profitez de cet espace pour vous souvenir de la vie et de l’héritage de Georges Brassens (1921-1981) et du centenaire de sa naissance. Et qui étaient exactement ses ancêtres ?
Charles Brassens est né le 22 octobre 1921 à Sète (Hérault), de parents maçons Jean-Louis Brassens (1881-1965) et Elvira Dagrosa (1887-1962) au n° 20 de la rue de l’Hospice (aujourd’hui en partie rebaptisée rue Georges-Brassens). Le père est un libre penseur anticlérical et tellement épris de musique qu’il transmettra très certainement son enthousiasme à Georges.
Rend hommage au poète de génie disparu en 1981 à Saint-Gély-du-Fesc (Hérault).
Parmi les ancêtres du poète figure Bertrand Brassens (vers 1610-1684), maître tuilier à Castelnaudary dans l’Aude. Il épouse Catherine Guiraud (vers 1624-1669) puis, le 20 avril 1670, épouse Marguerite Brousse (vers 1641), toutes deux nées dans la commune. Cet arbre généalogique des Chauriens de Castelnaudary perdurera pour les générations à venir.
Qui Est Le Fils De Georges Brassens : Marcel Planche
De la place Georges Brassens au centre-ville à la Canne de Jeanne près du nouveau cimetière, l’ombre du chanteur plane toujours sur Saint-Gély-du-Fesc (Hérault). En 1981, le monde perd un génie poétique. Le 29 octobre 2022, 41 ans s’étaient écoulés depuis son décès.
Le jeune Brassens s’installe dans la capitale française après une jeunesse difficile à Sète (Hérault), dans le sud de la France. Il s’installe chez Jeanne et Marcel au numéro 9 impasse Florimont. Pour Georges Brassens, Jeanne, « la mère universelle », était l’une de ses grandes amours. En fait, il l’a chanté lui-même.
D’après le récit de l’écrivaine Sophie Delassein dans Brassens à 100 ans, il l’exprime ainsi : « Jeanne était un être assez extraordinaire, un être à part entière, un être généreux, violent, exclusif, charitable, compréhensif et, en même temps, elle c’était autre chose : elle était un peu folle.”
Ils avaient une relation ouverte et privée. Le prodige de la chanson française ne s’est impliqué dans rien qu’après la mort de Marcel. En fait, Jeanne va se remarier. Les contrats, les lois et les codes classiques ne signifient pas grand-chose pour Georges Brassens.
Voici sa déclaration d’amour à Joha Heiman : “J’ai l’honneur de ne pas te demander ta main, ne gravons pas nos noms en bas d’un parchemin.” Il avait rencontré l’Estonienne, sa nièce de neuf ans, alors qu’ils sortaient d’une station de métro parisienne.
Jeanne était complètement envahie d’envie. Il aimait Joha, la voyait souvent et planifiait des rendez-vous avec elle, mais ils ne vivaient pas ensemble. Il réservait toujours deux chambres d’hôtel à l’avance lorsqu’il emmenait sa dame en tournée. Le nom de famille de sa future épouse, Püppchen, signifie « chiot ».
L’éternel concubin Georges Brassens
Les véritables sentiments de Brassens pour les femmes ne sont connus que de Dieu. Il la considérait comme « une personne très importante, pleine de charme et à son égal ». Sa muse était sa femme. Il a pensé à eux. Misogynie mise à part, il écrit des odes à Margot, Henriette Ragon, plus connue sous le nom de Patachou, et à celle qui deviendra l’épouse d’Hector. Pourtant, lui ?
Officiellement, il n’a jamais menti et s’est mis en colère même face à la question qui lui était posée trop fréquemment. Ces fameuses Fichues Trompettes ! Sa vie personnelle lui appartenait. Et surtout, il considérait le mariage comme une chaîne, un « tue-l’amour ».
Georges Brassens ne voulait pas d’enfants. Le classique de la chanson française a déclaré: “Le monde ne me convient pas”. Joha Heiman était une autre raison pour laquelle il n’aurait jamais d’enfants.
Il le disait fièrement : “J’ai été amoureux à vingt-six ans d’une femme qui ne pouvait pas avoir d’enfant et c’est la même que j’ai aujourd’hui.” Une affection qui lui restera jusqu’à ses derniers jours à Saint-Gély-du-Fesc. Elle est décédée en 1999 et repose à ses côtés sur la tombe familiale des Brassens. Ce soir à Loiron (53), demain à Sarzeau (56), lundi à Paris (Bobino), et mardi et mercredi à Montargis (10 et 11). Poursuivez la tournée à partir de janvier 2016.
Georges Brassens est né le 22 octobre 1921 de Louis, un anticlérical libre-penseur qui refusa d’assister à la première communion de son fils, et d’Elvira, une veuve de guerre profondément pieuse et pieuse dans son catholicisme. année.
Deux personnes qui partagent une passion pour la musique. Une famille de construction : Louis Brassens, propriétaire d’une entreprise maçon, et la fille de l’architecte Elivra Dagrosa. Sa famille est originaire de l’ouest de la France, plus précisément de Castelnaudary ; la sienne vient du sud de l’Italie, plus précisément de la petite ville de Marsico-Nuova
Lors de la recherche d’ascendance maternelle, un généalogiste se limite aux actes d’état civil français ; cependant, l’ascendance paternelle peut faire l’objet de recherches très détaillées à partir des années 1970 grâce aux travaux de Joseph Valynseele et culminant en 1999 avec la publication du numéro 125 de La Revue française de généalogie de Pierre-Valéry Archassal. Une généalogie fréquemment référencée depuis sa première publication, notamment sur Geneastar, et qui, bien qu’incomplète, est encore possible de renseigner :
De ce fait, la famille paternelle de George est profondément enracinée à Castelnaudary. Ils comptent non seulement des artisans (boulanger, serrurier, menuisier…), mais aussi des tisserands et de très modestes brasseurs, qui rivalisent depuis six générations avec l’illustre famille Brassen.
Un arbre généalogique sans gorilles ni aubers, juste quelques tuiliers du Lauragais et un Percheron traversant la France. Mais là, à côté de son arbre, Georges Brassens était content, comme le dit la chanson.
Officiellement, Geoges Brassens et sa compagne n’auraient pas eu d’enfants ensemble. Mais si vous lisez l’histoire du journaliste Edwy Plenel, vous pourriez avoir l’impression du contraire. Les deux documents iconographiques suivants ont été proposés à la comparaison :
Un autre indicateur qui pourrait affaiblir notre argument a été publié il n’y a pas si longtemps dans le grand journal de Canal+ ; au fil de sa chronique, l’ancien patron du monde cite les paroles d’une chanson du poète sétois.
Sa remarque « Le temps ne fait rien à l’affaire » pourrait-elle être interprétée comme un clin d’œil à son père secret ? Personne ne connaît la réponse. Seuls les tests ADN pourront révéler la vérité… Je vous parie bien que la prochaine fois que vous achèterez un album de Georges Brassens, ce sera Edwy Plenel qui s’occupera des droits à la place de Georges lui-même dans quelques années.
