Qui Est La Première Femme De Pascal Praud – Pascal Praud est un journaliste français né le 9 septembre 1964 à Nantes. Il a toujours eu un grand intérêt pour le sport et joue actuellement au football pour une équipe locale. Diplômé en journalisme sportif à la prestigieuse Ecole supérieure de journalisme de Paris (l’ESJ), il poursuit sa formation en obtenant une autorisation d’exercer le droit.
En 1988, il fait ses débuts dans le milieu lorsque lui et Thierry Roland sont tous deux embauchés comme animateurs pour l’émission Téléfoot de TF1. Il apparaît également comme commentateur respectivement dans l’émission “On refait le match” de LCI et RTL. Pascal anime sa propre émission sur RTL, Tirs au départ, dès le matin.
Il quitte TF1 en janvier 2008 pour prendre la direction générale de son équipe de football préférée, le FC Nantes. Son mandat en tant que président du club fut bref, ne durant que deux ans. Après avoir fait le point et décidé de revenir au journalisme, il s’engage avec ITélé pour la Coupe du monde 2010 pour animer la matinale L’il de Praud.
Dans les années qui suivent, il continue de travailler avec le réseau d’information, animant à la fois le 20h foot et le 13h foot. En 2016, il prend la direction de l’animation de L’Heure des Pros d’ITélé ; l’émission sera transférée sur CNews en 2017. Pascal Praud a quatre filles nommées Morgane, Tiphaine, Faustine et Lou-Elise. En 2015, après son divorce avec la mère de ses enfants, il rencontre sa nouvelle épouse, Catherine.
AU BOUT DU Gouvernail de Pascal
Demain, mon ex-petite amie partira pour Noirmoutier. Même si nous ne sommes pas divorcés, je le dis à mon ex-petite amie. Mon ex-petite amie et son compagnon sont arrivés passer quelques jours dans ma jolie maison de Noirmoutier. C’est bien, non ?
Je ne trouve pas de terme pour décrire le nouveau petit ami de son ex-petite amie. Cela doit être corrigé immédiatement. J’apprécie quelque chose que les veuves ne font jamais pour leur défunt mari : apprendre à connaître (et aimer) la personne qu’elles ont perdue.
Au milieu du tuyau de poêle familial, des fêtes magnifiques, des portes qui claquent et du chaos général, je vous vois tous les deux engagés dans un combat passionné de bidoning. Quand je raconte ma vie autour d’un dîner, mon ami Onteniente a toujours envie de monter dans le prochain train pour la France pour rallier les citoyens de Noirmoutier. et tu seras toujours David qui me conduit sans me porte, me tient sans me posséder, m’aime sans rien exiger en retour, etc.
Le cinéma, c’est la vie. Les amitiés nouées pendant les vacances ressemblent plus à des vacances qu’à des amitiés. Ils disparaissent douze mois d’affilée, puis se présentent à votre porte entre le 15 juillet et le 15 août, avec une bouteille de rosé. Les 50 premiers sont réveillés après minuit.
A 2 heures du matin, ils dansent autour de la table, se tenant la main et faisant une embardée vers la gauche en entonnant l’air de “La Jument de Michao” (et son petit poulain, bien sûr) qui ont traversé le pré et dévoré tout le repas. approvisionnement en aileron. Quand ils commencent à attaquer les enfants de L.A. de manière générique, je sais qu’il est temps d’aller au lit.
Ils partent à pied, à vélo ou dans leur fidèle automobile allemande, parfait pour les amener de Passy au Trocadéro mais cauchemardesque pour les amener de la plage au Café Noir. Je suis au lit, mais je les entends encore chanter. On dirait que les Parisiens mangent plus tranquillement.
jeudi 22 juillet
“Il nous rend fou avec son Noirmoutier !” Ce n’est pas le Taj Mahal. Savez-vous qui est Noirmoutier ? Oh mon Dieu, mi Josette, tu as tellement raison. Raymond a dévoilé le grand jeu. « Trois tridents. »Je vais laisser les idiots s’exprimer. Le capitaine Gragnon, les citoyens de Luzéronde et M.
Giraudet III, qui vend le gâteau que son grand-père a inventé au feu (le “Cob”) à la boulangerie de la Grand Rue, sont autant de noms qui leur échappent. Climat et microclimat sont confondus par les non avertis, tout comme les îles françaises de Noirmoutier et de La Baule, ainsi que les crêpes dentelles et les crêpes Suzette.
En ce moment, je suis à Noirmoutier. Il n’y a rien d’unique chez moi. C’est l’été maintenant. Les fenêtres sont grandes ouvertes. Des pots-de-vin conversationnels circulent de maison en maison. Il y a des voix d’hommes et des cris de petites filles qui s’accrochent à quelque chose qui ne veut pas disparaître. Je suppose que ce n’est pas une surprise si j’apprécie ça. N’est-ce pas juste méchant ?
L’histoire d’un homme qui veut répéter encore et encore les mêmes actions. Il passait chaque été à Noirmoutier vêtu du même costume gris et de la même chemise en popeline de coton blanche. Un homme qui manque ses lieux de rencontre, ses cafés et ses connaissances habituels.
Un homme tellement amoureux des premiers films de Claude Lelouch qu’il regarde chaque année La Bonne Année, ou qui lit Les Lettres de Capri de Mario Soldati chaque année le 22 juillet. Je ne doute pas qu’un lacanien ou un freudien puisse expliquer cette situation. ce penchant pour la redondance.
J’ai des amis qui partent à New York dans les prochains jours. Je plains les pauvres ! D’autres que je connais voyagent dans leur nième Club Med. Ils ne peuvent pas trébucher sur le sable des plages du monde ou sur les peluches d’un tapis. Il me tarde de susciter leur intérêt. Je suis conscient de la proximité de mon cœur.
Je méprise la nourriture exotique et les zones d’attente des aéroports. Ma curiosité s’arrête au voisinage des bibliothèques. Comme c’est étrange pour un journaliste, n’est-ce pas ? J’ai peur de l’océan et je porte toujours mes Stan Smith lorsque je voyage.
mercredi 23 juillet
Ce sont les adolescents d’aujourd’hui, les adultes de demain. A moins qu’ils ne soient de perpétuels adolescents : dormeurs, boozers, amoureux, etc. Ils ont tous deux des racines parisiennes. Ils apprennent qu’être assis le soir dans un fauteuil de tailleur sur la plage des Dames est une bonne manière de débuter dans la vie. Les Challans fantasment sur les jeunes femmes de la ville qui ont grandi entre le Champs-de-Mars et le jardin du Luxembourg.
Emma, Rose, Marie, Alice, Elia et Capucine sont leurs prénoms. Ils commenceront leurs études secondaires à l’automne après avoir fréquenté l’université. Chaque année, Faustine et Lou invitent des amis, et chaque année, les parents de ces amis appellent pour s’assurer qu’ils sont bien invités.
Pendant trois semaines, de nouveaux jeunes arrivent et repartent. Des invitations totalement girly. Les filles invitent d’autres filles à seize ans. Ils ne sont pas assez mûrs pour mettre une fiancée dans leurs valises. Je garde tous les chocolats et bougies parfumées que les nouveaux locataires me laissent avec un mot gentil de leur maman. C’est toujours maman qui prend la plume. Merci beaucoup pour l’accueil de Rose, Monsieur, n’hésitez pas si possible, etc.
J’utilise un transat pour écrire ces lignes allongées. Dans la cuisine, je les entends rire. À cette heure tardive, même un goût de Nutella sera trop fort. Cette dernière bouchée est un rite de passage nécessaire et une tradition précieuse de l’enfance.
Ils sont heureux en ce moment. Ils se retrouveront au bord de la piscine. Quand ils partiront, je trouverai du granola sur les serviettes de plage qu’ils ont laissé traîner, car ils croient probablement qu’une fée nettoie après eux et range leurs chemises, t-shirts et foulards.
Personne ne lit jamais un livre pour le plaisir. Personne ne parle de politique. Personne ne pleure à haute voix en public. Ils portent des jeans déchirés ; certains d’entre eux ont même des trous aux genoux.
Ils affirment qu’ils n’ont jamais essayé la vodka ou le gin et qu’ils n’ont aucune idée de leur goût. Leur téléphone portable leur sert de « doudou ». Ils ne se souviennent pas avoir jamais vu leurs deux parents en même temps. Lorsqu’on leur demande comment s’est passée la soirée, ils répondent par un « oui, ça va » enthousiaste.
Depuis quelques jours, j’apprécie d’être en leur compagnie, même si je ne leur prodigue aucun conseil ni commentaire. Je les vois vivants et j’apprécie ces moments que l’hiver n’effacera pas. Il n’existe pas d’« histoire » (H majuscule inclus). Tu veux dire Napoléon ? Ils n’étaient même pas encore nés.
Le cinéma en noir et blanc existe depuis l’époque de l’homme de Cro-Magnon. Il semblerait donc qu’ils soient toujours bien vivants. Sans trop les interroger ni personne d’autre. Ils ne sont pas encore adultes, ce qui est une bonne chose.