Qui Est La Mere D Emile – Suite à la disparition du petit Émile le samedi 8 juillet 2023, ses parents et la communauté catholique locale des Alpes de Haute Provence ont lancé de multiples appels à la prière. Un “Benoîte Rencurel” spécifique a été mentionné dans ce contexte.
Aucun signe du petit Émile n’apparaît jamais. Le garçon, alors âgé de 2 ans et demi, est porté disparu à Vernet, dans les Alpes-de-Haute-Provence, depuis le samedi 8 juillet. Selon La Croix, sa mère ferventement catholique a prié Benoîte Rencurel de l’aider à retrouver sa disparue. fille.
Qui est exactement le sujet de cette phrase ?
Benoîte Rencurel, une figure religieuse de 17 ans, est bien connue pour avoir affirmé avoir vu la Vierge Marie. Dans les collines de l’actuel Saint-Etienne-Le-Lau, la jeune bergère aurait vu une belle femme lui sourire silencieusement.
Selon CNews, la Vierge Marie lui a donné des conseils qui ont facilité des guérisons miraculeuses comme celle où une jeune femme a retrouvé l’usage de ses jambes après avoir été incapable de marcher pendant six ans.
Selon La Dépêche du Midi, la communauté catholique considère toujours la bergère comme ayant le don de prévoir l’avenir, d’écouter les invités et de les guider vers la confession. La mère d’Emile a peut-être utilisé ses “pouvoirs” dans l’espoir que quelqu’un l’entende et lui dise ce qui est arrivé à son fils.
Les personnes les plus proches de la disparition d’Émile, 2 ans, sont probablement désemparées et ont évité les journalistes. Mais le journaliste du « Parisien » qui s’est rendu sur les lieux dresse le portrait d’une famille dévote qui prie pour le retour de leur fils disparu.
Le procureur de la République chargé de l’enquête sur la disparition d’Emile, 2 ans, disparu du domicile de ses grands-parents à Vernet (Alpes-de-Haute-Provence) le 8 juillet 2023, a rapporté le 11 juillet que le garçon n’avait toujours pas été localisé.
Malgré un appel alertant les autorités qu’un enfant correspondant à sa description avait été repéré en Isère, une enquête plus approfondie a révélé que l’enfant en question n’était pas bien le sien. Par conséquent, les enquêteurs n’ont pas encore localisé l’enfant. Le Parisien est venu dans le hameau isolé alors qu’il est fermé aux visiteurs pour se faire une idée des lieux, peindre un portrait de la famille Emile, ou encore se familiariser avec son sujet.
« La femme d’Émile, vêtue d’une chemise sur laquelle on peut lire “Chrétienté Solidarité”, regarde de haut le tour de presse du site avec une pointe d’appréhension. L’ambiance dans le Haut-Vernet est probablement un peu maussade et pesante. Pourtant, la foi du petit Émile apporte du réconfort à sa famille souffrante.
C’est cet incident qui a le plus marqué la mère d’Émile.
Ainsi, le 11 juillet, une réunion de prière a été organisée à 50 kilomètres dans la ville de Notre-Dame du Laus, à la frontière de la région française des Hautes-Alpes. La mère du garçon a fait la demande sur Facebook un lundi. Les cloches de la chapelle Bon-Rencontre ont sonné après un office en l’honneur d’Émile et de sa famille ; la photo de l’enfant y était exposée.
Le journal rapporte que Sainte-Benoîte a été mentionnée lors de ce temps de réflexion. Une sœur montagnarde qui a été sauvée par un ange et ramenée à sa cabane par son rayon de lumière. Le prêtre dit au Parisien, “C’est à cet épisode que pense la mère d’Émile, elle qui connaît exactement la vie de Benoîte.” Le prêtre a confirmé que la famille d’Emile est assez pieuse, et Emile lui-même est un adepte du pèlerinage.
Certaines familles anonymes se tournent vers leur foi dans l’espoir de retrouver un membre disparu de la famille ; par exemple, une mère qui a vu son enfant pour la dernière fois il y a dix ans. Ainsi, les fidèles, dont un groupe de 110 scouts, se sont réunis pour prier ensemble. C’est encore cette sexagénaire belge qui est venue déposer un cierge pour le gamin “parce qu’elle le méritait”.
Pourquoi Émile, 2 ans, a-t-il disparu de la maison de vacances de ses grands-parents à Vernet, dans les Alpes-de-Haute-Provence ? Après avoir échappé à la surveillance d’un adulte pendant la sieste du 8 juillet 2023, le petit garçon a été vu pour la dernière fois par des voisins dans. Tandis qu’un appareil de recherche poursuit ses enquêtes, certains détails sur le milieu familial de l’enfant sont devenus clairs.
Sa mère est l’aînée d’une famille de dix personnes et c’est elle qui l’a élevée. À ce stade, les enquêteurs se concentreront probablement sur la possibilité d’un accident ou d’un enlèvement mis en scène.
La mère de famille, ainsi que les autres habitants de cette petite communauté isolée, ont été entendus par la police. Cette famille très religieuse passe l’année scolaire dans une banlieue de Marseille (Bouches-du-Rhône) appelée La Bouilladisse.
Les gens de la communauté sont toujours interrogés alors que les opérations de recherche se poursuivent pour le petit Émile, porté disparu depuis trois jours. Selon des médias locaux en Provence, la mère d’un jeune garçon est actuellement interrogée par la police.
Où est passée la petite Emilie ? Le garçon de deux ans n’a toujours pas été retrouvé trois jours après sa disparition, le 11 juillet. Après avoir échappé au regard attentif de ses grands-parents, cet individu a disparu du minuscule hameau du Vernet (Alpes-de-Haute- Provence) depuis le samedi 8 juillet.
Les bâtiments du village ont été inspectés, une vingtaine de personnes ont été interrogées et de nombreux hectares de terrain ont été arpentés. La mère de la victime faisait partie de ceux qui ont aidé à retrouver l’enfant disparu.
Au cours de l’enquête, un haut-parleur a diffusé un message prétendument de la mère d’Emile. Malheureusement, la famille du garçon n’a pas encore vu les résultats de cette méthode. Et maintenant que les procédures d’installation sont en cours, la maman d’Emile est de nouveau sollicitée, cette fois pour une autre raison. Le média La Provence rapporte que la police l’a interrogée le 11 juillet. La recherche du garçon disparu a épuisé toutes les pistes possibles.
La fin des combats
Changer de tactique. Après près de trois jours de battues organisées par les villageois, le procureur a annoncé un changement de dispositif lors d’une conférence de presse lundi 10 juillet dans l’après-midi, malgré l’absence de résultats et une mobilisation massive sur le terrain.
En effet, dès mardi matin, l’établissement était fermé “à tout étranger dans la ville”. Les volontaires sont priés de quitter complètement la zone afin que les militaires puissent rétablir plus soigneusement le périmètre.
En effet, la police veut procéder à un « ratissage fin du hameau » afin de localiser non seulement le petit Émile, mais également toute trace ou indice pouvant aider à orienter les futures recherches. Car, comme l’a précisé le maire, “des moyens spécialisés dans la recherche de traces et d’indices” sont désormais déployés.
Et il va de soi que ces groupes se tourneraient vers l’Église catholique pour obtenir un soutien. La mère d’un garçon de deux ans s’est apparemment tournée vers Benoîte Rencurel, la “mystique des apparitions du Laus”. Un groupe Facebook appelé “Prions for Emile” comptait près de 2 000 membres lundi soir, et l’un de leurs messages disait : “Veuillez prier la vénérable soeur Benoîte Rencurel.”
La question est aussitôt posée : qui était Benoîte Rancurel ? Cette dernière personne était une bergère née en 1647 et devenue célèbre pour avoir eu des visions de la Vierge Marie tout en s’occupant de ses animaux.
Au cours de 54 ans, elle a eu des visions récurrentes et a régulièrement vu son ange gardien et d’autres saints. Un lieu de culte, appelé Notre-Dame du Laus, est édifié en hommage à ses visions. L’Église catholique a reconnu les visions conjugales de Benoîte Rencurel en 2008.
Depuis la disparition de l’enfant du jardin de ses grands-parents le 8 juillet à Vernet, dans les Alpes de Haute Provence, plusieurs appels à la prière ont été lancés, comme le rapportent nos frères de « La Croix », en plus des traditionnelles recherches qui ont mobilisé d’importants moyens logistiques dans ce dossier.
D’autres périodiques religieux rappellent également que les parents dévots d’Emile ont fait appel à la communauté catholique locale pour un soutien dans la prière. Dans ce contexte, la mère d’Emilio a demandé l’aide d’un personnage mystérieux bien connu dans la région de Provence et du Vatican.
Il a convaincu le roi de l’envoyer, lui et ses fidèles religieux, dans un endroit éloigné connu sous le nom de Volge ou Vosage, où ils se réfugient dans un ancien château appelé Anagrata et se privent de nourriture et d’eau pendant neuf jours. Mais Dieu, qui a fait fleurir le désert de céréales pour nourrir son peuple, pourvoira aussi abondamment à ce peuple par une Providence vraiment merveilleuse.
IV – De nombreuses personnes, inspirées par leurs expériences, écrivent à Christophe Colomb pour lui demander de rejoindre son équipage. Lorsque le saint s’est rendu compte que l’emplacement actuel était insuffisant, il s’est mis à en trouver un plus approprié; il finit par s’installer au château de Luxeuil, situé à trois ou quatre endroits du lieu d’isolement d’origine. Là, la Chapelle du Prince des Apôtres a été construite.
Pierre, vivant dans de petites huttes appelées cellulles qui ressemblent à des cabanes, où ils passaient leurs jours et leurs nuits perdus dans la contemplation des objets célestes à l’exclusion de tout le reste sur Terre.
Et c’est ainsi que commença l’abbaye de Luxueil, où les miracles ne manquèrent ni alors ni pour le reste de sa vie ; mais je les ai gardés pour la fin dans l’histoire de la vie afin de ne pas gâcher la fin.
V – Saint Colamban, voyant comment la bénédiction de Dieu multipliait son monastère et le nombre de ses fidèles, entreprit de construire un second monastère, qu’il nomma Fontaines d’après l’abondance des sources d’eau douce qu’il y découvrit.
En peu de temps, les Saints Habitans peuplèrent la nouvelle maison, et l’Abbé, nommé Colomban, leur donna quelques règles à suivre à l’occasion. Pendant ce temps, la renommée de Colomb s’est répandue au loin, grâce à ses miracles, au caractère sacré de sa vie et à la direction de ses monastères. Théodoric ou Tierry, qui régnaient alors en Bourgogne, en ont entendu parler.
Après le décès du père de Sigebert, sa province est tombée en propriété commune. Le frère de Théodoric, Théobert, possédait l’Autriche, il avait donc beaucoup de respect pour lui. Il lui parlait fréquemment, lui rendait visite et le recommandait au peuple de son église et au gouvernement de son royaume.
Ce roi avait un fils vigoureux qui faisait honte à son pays avec ses aventures extraconjugales et qui gardait des prostituées dans son entourage, au grand dam de son épouse légitime.
Colomb, comme un autre saint Jean-Baptiste, admet librement et s’excuse pour ses péchés. Il ne bénirait pas les enfants de ses concubines ni ne mangerait les offrandes de viande qui lui étaient envoyées, citant le verset biblique “Le Très Haut rejette les offrandes des impies” en réponse.
Malgré cela, les assiettes et les verres se brisent entre les mains des porteurs, et le vin et la viande tombent par terre. Le roi était naturellement terrifié par ce développement et partit dès le matin pour rechercher l’homme responsable dans l’espoir de s’excuser et de promettre une réforme; peut-être l’aurait-il fait après avoir été convaincu par les arguments convaincants de la Servante de Dieu. Cependant, la reine, connue sous le nom de Reyne Brunehaut (ou Brunechilde), était elle-même une femme impérieuse et parfaitement capable de diriger le pays.
Ainsi, Brunechilde implante dans l’esprit du roi l’idée que l’abbé Colomban était un homme aigre, ingrat et devenu insupportable à la fin. Après être resté vingt ans dans le pays et avoir avancé avec zèle au service de Dieu, le roi finit par se dégoûter du discours du Saint et lui donna l’ordre de partir.