Qui Est L Épouse De David Kammenos – L’acteur n’a jamais connu un tel succès, mais il y a une nouvelle et bonne nouvelle dans la série Falco. David tombe dans la comédie presque par accident. Le jeune homme ne se voit pas destiné à une carrière dans le cinéma, mais il est un grand amateur d’art et est issu d’origine grecque et italienne.
Ne sachant que faire d’autre à vingt-trois ans, il part à Paris pour étudier l’histoire de l’art. Entre-temps, il s’inscrit à des cours de théâtre plus par amour des arts que par désir de devenir acteur professionnel. David fait ses débuts sur grand écran aux côtés d’Emmanuelle Béart dans La répétition en 2001, et il évolue rapidement vers d’autres rôles et genres.
Le Transporteur 3 (action), Les Tuches (comédie) ou L’Origine (drame) — Richard Berry (violence faciale) — vous vont tous bien. L’acteur peut également se démarquer sur le petit écran, puisqu’il a rejoint le casting de Falco en 2016 en remplacement de Sagamore Stévenin.
David Kammenos, d’origine grecque et italienne, a grandi dans la petite ville de Bourgoin-Jalieu, non loin de Lyon. Ce premier passage en cabine de projection lui fera découvrir le monde du cinéma. Ainsi, après être apparu dans l’Empire des loups en 2004, il se fait connaître en 2005 dans Comme t’y es belle, une comédie française.
À partir d’avril 2016, David Kammenos succèdera à Sagamore Stévenin en tant que personnage principal de Falco. L’acteur travaille également simultanément sur le tournage de “L’origine de la violence”.
Nous avons convenu de nous rencontrer en fin de journée, à la fin du tournage. David Kammenos, toujours détendu, nous a rencontrés pour discuter du téléfilm “Menaces sur Kermadec”, l’un des “nombreux” qu’il a tourné l’année dernière. La télévision rend cela possible, dit-il, car il y a toujours beaucoup de monde.
Donc, je n’ai pas été trop affecté par le confinement et tout ça. Le reste, c’est qu’être intermittent nous place dans une position unique en termes de vie sociale. Je fais de longues tournées, puis je me précipite chez moi pour enfiler mon pyjama vert. Par conséquent, les effets de la pandémie sont moins perceptibles pour moi que pour quelqu’un qui mène une vie plus normale. Il est plus difficile de voir ses proches maintenant que… Pourtant, je pense que nous avons tous fait une grosse chute ensemble.
Il faut du beau temps, de l’air frais et les magnifiques paysages de la Bretagne pour filmer “Menaces sur Kermadec”. Ouais ! A Karnak, on s’est retrouvé dans un paysage bizarre. C’est quand même un luxe de pouvoir prendre une douche avant le travail. Tourner une comédie romantique, même s’il s’agit d’un polar, ça fait du bien.
Est-ce pour cela que vous avez choisi cette partie désolée de l’Arctique ?
J’ai créé des ours polaires traditionnels et adaptés aux familles, et ils semblent bien plaire à la foule. Mais je voulais autre chose, et ce qui m’a le plus séduit, c’est que malgré sa popularité, il offrait au moins une certaine marge de légèreté et d’exploration d’autres codes de jeu. On pourrait croire qu’ils sont tombés sur des “Meurtres à…” au début, mais ensuite les choses prennent une tournure surprenante.
Dans une scène, vous et Claire Keim vous disputez. On dirait un dessin animé !
”Bien vu ! (rires) C’est ce dont nous avons discuté avec le réalisateur ; comment nous voulions pousser l’histoire un peu plus loin sans perdre le public. Un dosage approprié était nécessaire. Mais il est désormais temps que cette bataille commence réellement. Cette production télévisuelle met en vedette Sami Nacéri. Le parcours de sa vie a été quelque peu surréaliste. Comment s’est passée la première rencontre ?
La chance dans ces appartements, c’est qu’il y a des gens de passage qui ont effectivement des histoires à raconter. J’ai fait quelques tournées avec Bulle Ogier… Maintenant, regardez qui est venu de nulle part ! Dans sa vie quotidienne et dans son travail. Il est accueilli avec toute son histoire. Mais j’ai vu un gars qui avait l’air plutôt content d’être là et qui était très agréable à côtoyer. Une glace”
Oui, je pense vraiment que j’ai vraiment ce truc. Pendant un moment, je me suis dit que je devais arrêter, mais récemment, j’ai commencé à accepter la possibilité que je sois pareil dans la vraie vie. Peut-être que je travaille de cette façon parce que j’aborde la vie un peu comme un dilettante.
Ensuite, tout le monde frappe dans ses mains plusieurs fois. J’étais dans une émeute cinématographique lors du tournage d’un court métrage sur lequel j’ai beaucoup aimé travailler avec Élodie Bouchez. Elle s’est lancée dans un monologue et j’ai ressenti le même genre d’émotion que lorsque je vais voir un film qui change complètement ma vision du monde.
Vous semblez avoir eu de la chance dans ce domaine. Quoi, dans ce cas ?
“La vie devant toi” met en vedette l’étonnante Zoé Heran dans le rôle de ma fille. Puis j’ai commencé le tournage d’une vieille série intitulée “Et la montagne fleurira”, écrite par Éléonore Faucher, aux côtés de “Menaces sur Kermadec”, ce qui était un vrai challenge car je voyageais entre la Bretagne et la Provence. Una gran realista aussi.
Au casting, Philippe Torreton, Constance Dollé, Hélènes de Fougerolles, Michel Jonasz, etc., et le spectacle se déroule à l’époque de Napoléon. L’effort déployé dans les tenues de cette série est remarquable. Nous sommes comme une bande de joueurs. Et en ce moment, j’utilise un unitasker Virgine Wagon.
C’est un gros problème pour les dames, ça. Vous regardent-ils différemment des hommes ?
Il y avait quelque chose dans l’image que le public féminin pourrait se faire de moi en tant qu’actrice.
Être un acteur ou un homme, purement et simplement ?
” À propos de l’homme moyen, vous avez tout à fait raison. Après cela, j’ai aussi vécu avec des réalisateurs de choses intéressantes, dans la manière dont ils projetaient sur moi leur moi idéal – en tant que fils, homme qu’ils aspiraient à être ou Non. Les femmes m’utilisent souvent en raison de ma capacité à les observer et à déterminer leur statut. Au cours de ma longue carrière, cela a joué un rôle important.
Né à Bourgoin-Jallieu (Isère) le 13 juin 1976, David Kammenos est un acteur français de théâtre, de cinéma et de télévision. Outre L’Empire des loups (2004) de Chris Nahon et Les Lyonnais d’Olivier Marchal et Le Transporteur III d’Olivier Mégaton, il est apparu dans plusieurs autres longs métrages.
Dans Comme t’y es belle de Lisa Azuelos, avec Michèle Laroque, Valérie Benguigui, Aure Atika et Géraldine Nakache, le public s’en rend compte. Il incarne Simon, le frère des héros et véritable drag queen, qui rend fou le personnage de Géraldine Nakache.
David Kammenos rejoint le casting de Falco, un drame policier de TF1, en 2016. Il rejoint la saison 4 pour en devenir le personnage majeur, le policier Maxime Kucing, après le départ de Sagamore Stévenin. Il rejoint le casting en même temps que Anne Sila, finaliste de la saison 4 de The Voice, qui incarne Claudia, la sœur de Maxime, la chanteuse.
David Kammenos a également joué un petit rôle dans la quatrième saison de l’émission Braquo de Canal+. Au cinéma, il a également tourné dans L’Origine de la violence (2016) d’Elie Chouraqui, avec Richard Berry, et dans le premier film de Clarisse Canteloube, L’Homme d’après (2016), avec Benjamin Biolay. L’acteur apparaît régulièrement sur les petits écrans depuis 2016. En 2017, on l’a vue dans plusieurs émissions, dont Profilage (TF1) et Meurtres à Orléans (toutes deux avec Michèle Bernier).
En 2019, il incarne François Gilbert, historien et anthropologue légiste, dans la série télévisée de France 3 Les Murs du souvenir. Il présente la réplique à l’actrice Galle Bona. Dans la série La Dernière Vague de France 2, les téléspectateurs le revoient. L’enfer se déchaîne dans une station balnéaire néerlandaise lorsqu’une énorme vague s’écrase sur le rivage.
David Kammenos, l’ancien mannequin, est également un danseur, chanteur et musicien talentueux. Il prévoit de sortir prochainement son premier album, rempli de chansons électro-rock françaises qu’il a écrites et composées.
