Que Devient Eric Bruyas – Seul un parent proche, tel qu’un père, aurait une connaissance privilégiée des activités quotidiennes des victimes pour commettre de tels meurtres. Eric Bruyas et sa femme Samantha, née Bébé, ont été la cible de projectiles depuis l’aube des conséquences du drame.
Eric Bruyas, curieusement, n’avait aucune explication sur les fenêtres temporelles étrangement cohérentes des meurtres. Ses explications ne font qu’alimenter les soupçons des enquêteurs sans pour autant éclaircir quoi que ce soit.
Plus encore, Eric Bruyas ne montre aucun signe d’être ébranlé par la tragédie qui s’apprête à frapper sa famille parfaite. Il y en a eu de nombreuses interprétations différentes, et chacune a été plus radicale que la précédente.Après avoir découvert les corps à l’intérieur de la maison, il se sent d’abord coupable d’avoir allumé le feu.
Il espérait que sa petite amie verrait sa logique dans le suicide collectif et céderait à “l’effroyable vérité”. Lorsqu’il réalise à quel point son histoire est décousue, il décide d’en écrire une nouvelle. Après avoir regardé le drame, il apprend que le Bébien a été assassiné par un homme “de type nord-africain”, qu’il abandonne ensuite comme mort.
L Les équipes de plongée ont ratissé la rivière à la recherche de corps, mais n’ont trouvé que des armes, des munitions et des bleus uniformes. Tout ce qui a été découvert s’avère avoir appartenu à l’origine à Eric Bruyas.
Informational Lyon’s Tribune – Lundi, le responsable du triple meurtre de Saint-Andéol est sorti de prison, Sa peine d’emprisonnement à perpétuité dans une cellule a été suspendue pour des raisons médicales.
Le 30 mai 1995, un drame familial éclate dans la paisible commune rhônalpine de Saint-Andéol. La famille Bébien se retrouve au milieu d’un effondrement de toiture suite à un incendie dévastateur. Vincent, le père de famille, Odette, sa femme, et deux de leurs enfants, Vincent, 21 ans, et Aline, 16 ans, ont été identifiés comme victimes. Le médecin légiste établit rapidement qu’un pistolet de calibre 22 a été utilisé pour tuer les victimes.
Les preuves suggèrent que le tueur savait comment ses victimes passaient leur temps, c’est pourquoi les enquêteurs se concentrent sur leurs familles immédiates. Étant donné que plus de 200 membres de la famille ont déjà été interrogés, l’enquête devrait prendre un certain temps.
Samantha, l’une des filles des Bébiens, a épousé Eric Bruyas, qui correspond au profil du meurtrier idéal. L’entreprise commerciale de l’homme a échoué, il venait d’emprunter 30 000 francs suisses et il a assassiné la famille de sa femme pour mettre la main sur son héritage. Il admettra publiquement sa culpabilité. En 1999, Eric Bruyas a été reconnu coupable de quatre chefs de meurtre et condamné à la prison à vie. C’était une peine de 22 ans de liberté surveillée.
Le 30 mai 1995, à Saint-Andréol-le-château, Rhône, la maison de la famille Bébien prend feu. Vincent, Odette et leurs deux enfants ne sortent jamais de la maison, et pour cause. Tout le monde a été tué par balles avant que l’incendie ne se déclare. Lorsque l’arme utilisée dans le crime, un pistolet de calibre .22, n’est pas localisée, les enquêteurs sont obligés d’envisager la possibilité d’une tragédie domestique suivie d’un suicide.
Seule la fille adulte du couple, Samantha, s’en est sortie vivante. Elle a passé les dernières années loin de chez elle. Après le drame, son étrange comportement attirera l’attention des enquêteurs. Eric Bruyas, le mari de la jeune fille, est un tireur d’élite de la police.
En 1995, la petite ville de Saint-Andéol-le-Château dans la région française de la vallée du Rhône est secouée par un drame. Les Bébiens et leurs deux plus jeunes enfants ont été massacrés. Suspecte depuis aussi longtemps que l’on s’en souvienne, leur soul sister Éric Bruyas a été filmée en 2021 en train de recevoir une sursis. Pour résumer, permettez-moi d’expliquer pourquoi.
C’est une histoire qui a secoué toute la France jusque dans ses fondements. Le 30 mai 1995, dans la paisible ville rhodanienne de Saint-Andéol-le-Château, toute la famille Bébien est abattue.
Seule la fille aînée du couple, Samantha, est en sécurité pour le moment. La moitié masculine du couple Bébi, Eric Bruyas, a rapidement été soupçonnée d’être l’homme. Samantha a également été suspecte pendant un certain temps, mais elle a été rapidement innocentée de tout acte répréhensible. Depuis, il est connu sous le nom de “Le Romand du Rhône” et est accusé d’avoir assassiné sa charmante famille afin de lui voler son héritage.
Eric Bruyas sera condamné à la prison à vie avec sursis en octobre 2021.
Aujourd’hui, Éric Bruyas a 54 ans, mais il a toujours clamé son innocence en disant qu’un groupe d’hommes déguisés a tué ses proches. Mais il a dit qu’il avait éteint le feu dans la maison pour protéger sa femme d’un choc émotionnel. Le principal accusé dans une affaire de triple meurtre a été condamné à la prison à vie en 1999, quatre ans après les crimes, ainsi qu’à une peine de sécurité minimale obligatoire de 22 ans.
En 2011, il fait la demande à huis clos, mais sa demande de nouveau procès est refusée. Toutes les demandes de libération anticipée de prison ont été refusées, alors qu’il est éligible à une libération en 2017. En raison de son état de santé préoccupant, il a bénéficié d’une suspension de peine le 25 octobre 2021. L’accusé n’ayant jamais cessé de clamer son innocence, l’affaire restera mystérieuse pour le reste du temps.
Cet autre mystère impliquant les Romains. Eric Bruyas, 50 ans, est incarcéré depuis près de 22 ans, et ses demandes de libération conditionnelle ont considérablement augmenté ces dernières années. Bruyas a été reconnu coupable du meurtre de sa famille à Saint-Andéol-le-Château (Rhône) en 1995 en utilisant un schéma prédéterminé de coups de carabine et condamné à la prison à vie en 1999 à Lyon. En 1993, un faux médecin nommé Jean-Claude Romand a assassiné sa famille dans les régions françaises de l’Ain et du Jura avant de mettre le feu à sa propre maison du crime.
Contrairement à Romand, Bruyas n’a pas attendu la fin de sa période de détention provisoire pour exercer les options de libération qui s’offrent à lui en vertu de la loi française (telles que la libération sous caution ou la libération conditionnelle). Le 30 mai 1995, un incendie à Saint-Andéol-le-Château, Rhône, détruit complètement la maison de Vincent et Odette Bébien. Les voisins ont déclenché leur alarme.
Une enquête a été lancée. Avant même que les incendies ne soient signalés, le médecin légiste avait déjà déterminé que le Bébien avait été tué par balles. Les autorités pensent que le meurtrier avait une connaissance intime de la routine quotidienne de la famille après la réunion de la famille.
La maison de la famille Bébien à Saint-Andéol-le-Château, une petite commune au bord du Rhône, a pris feu le 30 mai vers 18 heures. Les corps des deux parents et de deux de leurs enfants sont découverts dans les restes incendiés de leur maison.
La famille a été assassinée avant que l’incendie ne se déclare. Le 30 mai 1995, un incendie à Saint-Andéol-le-Château, Rhône, détruit complètement la maison de Vincent et Odette Bébien. Les voisins ont déclenché leur alarme.
Une enquête a été lancée. Avant même que les incendies ne soient signalés, le médecin légiste avait déjà déterminé que le Bébien avait été tué par balles. Les autorités pensent que le meurtrier avait une connaissance intime de la routine quotidienne de la famille après la réunion de la famille.
Eric Bruyas, alors âgé de 31 ans, a été reconnu coupable du meurtre de sa femme et de ses trois filles à Saint-Andéol-le-Château, dans le Rhône, en 1995. Depuis le 18 octobre, il est jugé par la cour d’appel du Rhône.
Il est vrai qu’il n’embellit pas les faits, mais ses différents témoignages n’ont fait qu’alimenter les soupçons sur un homme qui semble bien dans sa peau mais incapable de mettre des mots sur ses émotions. Les visuels inarticulés d’Eric Bruyas empêchent toute émotion de se manifester. C’est un bon mineur mais il a le regard froid. Rien n’est jamais désagréable chez lui.
Jugé depuis lundi 18 octobre pour “assassinats” et “destruction par incendie”, il reviendra devant la cour d’appel du Rhône avec l’assurance d’un cow-boy et aucune des prétentions d’un flambeur. Aujourd’hui âgé de 31 ans, il est soupçonné du meurtre de sa “belle famille”, les Bébin, le 30 mai 1995, à Saint-Andéol-le-Château (Rhône). Leurs corps brûlés ont été découverts dans leur chaumière incinérée.
Il nie toute responsabilité dans les événements qui se sont accumulés contre lui dès le premier jour. La police chargée de l’enquête a examiné tous les angles, excluant tout, des crimes à motivation sexuelle aux suicides de masse à la Temple du Soleil en passant par les infractions liées aux gangs. Aucune utilité.