Prisca Thevenot Origine – L’ancien patron d’un centre d’appel est né à Strasbourg de parents mauriciens et représente une nouvelle génération de dirigeants mauritaniens. Bien qu’elle ait perdu l’élection de 2017 pour le siège du Blanc-Mesnil en Seine-Saint-Denis face à un candidat de tendance communiste, elle a pu remporter un siège dans le quartier plus favorable de Meudon dans les Hauts-de-Seine cinq ans plus tard.
Prisca Thévenot, membre éminente de la coalition présidentielle, a subi des “casserolades” lors de ses déplacements au printemps dernier, alors que le débat sur la réforme des retraites battait son plein. L’un de ses domaines d’expertise est la riposte aux Insoumis. “L’extrême gauche n’appelle pas au calme.
La dirigeante maoïste a déclaré : “Dans les émeutes qui ont suivi la mort de Nahel à Nanterre, elle voit une opportunité rêvée pour répandre son fantasme de chaos.” Elle est aujourd’hui à la tête du SNU et est consciente qu’elle devrait faire appel à une gauche largement opposée au projet du gouvernement.
La secrétaire d’État à la Jeunesse et à la mondialisation Prisca Thevenot reconduite
Ancien entrepreneur qui a grandi dans un quartier populaire de la Seine-Saint-Denis, le représentant des Hauts-de-Seine dit Renaissance déferle depuis trois ans dans les médias d’information 24h/24 et 7j/7.
Quand elle était petite, on lui a donné le surnom de “Non merci” à cause de sa timidité excessive. A 38 ans, Prisca Thevenot a accepté un poste au gouvernement, où elle occupera les fonctions de secrétaire d’Etat à la jeunesse et au SNU.
En attendant, la députée des Hauts-de-Seine Renaissance a montré qu’elle était capable de sortir de sa coquille et de furet, tant sur les plateformes des réseaux d’information 24/7 que, plus rarement, dans l’Hémicycle, à la défense du président de la République, Emmanuel Macron.
Cette mère d’origine mauritanienne semble incarner le macronisme originel à bien des égards : un pur produit de la méritocratie républicaine entré en politique par une fascination morbide pour Emmanuel Macron et qui prône désormais le franchissement des lignes politiques traditionnelles. Le monde politique est si éloigné de moi. Ce qui m’a d’abord attiré vers Macron, c’est l’homme lui-même, son parcours et sa philosophie.
Elle l’a dit en confidence au journal Les Jours, qui l’avait suivie tout au long de sa campagne de 2017 pour les législatives en Seine-Saint-Denis malgré le fait qu’elle avait perdu la circonscription au profit de la candidate communiste, Marie-George Buffet.
Prisca Thévenot a grandi dans cette région, dans une maison de la ville de Stains. Elle a fréquenté l’école primaire et secondaire dans une “zone d’éducation prioritaire” désignée, puis a fait le “grand voyage” à travers la ville pour assister à une classe préparatoire au chic lycée privé jésuite Saint-Louis-de-Gonzague (également connu sous le nom de “Franklin”) dans le 16e arrondissement.
Après avoir obtenu son diplôme en commerce, elle a géré un centre d’appels avant de se lancer à son compte. Elle avait prévu de sortir une « appli beauté » mobile avant qu’Emmanuel Macron ne la croise.
L’homme politique l’arrache lors du meeting public du futur président à Saint-Denis, où il présente son “projet d’émancipation” pour les quartiers populaires. Elle est d’accord avec lui, argumente-t-elle, et elle milite activement contre les inégalités sociales et le déterminisme. A La République en marche (LRM, ex-Renaissance), elle sera chargée de lutter un temps contre les préjugés et de promouvoir l’égalité des chances.
Elle est candidate à l’arrondissement Seine-Saint-Denis de Stains. Là, entourée de jeux d’enfants et de familles bavardant de balcon en balcon, elle passe son enfance et devient adulte. La maison où vit encore sa mère s’est détériorée au fil des années. Et contrairement à son enfance, Prisca ne laisse plus son fils jouer seul avec ses jouets. Avant de rejoindre En marche, elle n’avait jamais fait de politique.
Prisca est consultante et mère de deux enfants ; ses parents mauritaniens l’ont toujours encouragée à bien réussir ses études. Elle explique : “Je vois ces stéréotypes quand les gens omettent une partie de mon nom sur un CV ou mon adresse postale.
Sa réaction immédiate en entendant l’appel d’Emmanuel Macron pour les candidats aux législatives a été : “Mais regardez-vous dans le miroir”. C’est ainsi qu’elle a finalement choisi de se présenter. Prisca Thévenot sera l’une des porte-parole d’En marche d’ici 2020. En juillet 2023, elle deviendra secrétaire d’État chargée de la Jeunesse et du Service national de la jeunesse.
Une législatrice de confiance qui remplacera Sarah El Hary au poste de secrétaire d’État chargée des questions de jeunesse et du Service national de la jeunesse. Prisca Thévenot, 38 ans, a été élue députée des Hauts-de-Seine en 2022 après l’échec de sa première candidature en 2017. Elle a été nommée jeudi à la tête du département d’État auprès du ministère français de l’Éducation nationale.
L’une des promesses de campagne d’Emmanuel Macron était de “renforcer les forces armées de la nation”, et son nouveau ministre de la tutelle, Gabriel Attal, met les rouages en marche pour que cela se réalise d’ici 2020.
Communicateur efficace
Après être passée du rang de simple militante à celle de porte-parole de la Renaissance, elle est aujourd’hui membre de la commission des Affaires sociales de l’Assemblée nationale et siège au conseil régional d’Île-de-France depuis 2021. “Il est généralement admis que c’est une diva de la marche de la première heure. “Très autoritaire et agressive”
En apparaissant sur la scène de l’émission “Touche pas à mon poste !” de Cyril Hanouna, Prisca Thévenot est devenue l’une des figures médiatiques les plus reconnaissables de la macronation. Elle se décrit comme “timide et profondément émotive” et est bien connue de ses fans pour le sens stratégique qu’elle a acquis en regardant des jeux télévisés.
Aux commandes du SNU
Née à Strasbourg de parents mauriciens, elle a fait une ZEP à Stains, Seine-Saint-Denis, puis l’École de Management de Lyon, d’où elle sort diplômée en management en 2009. Autoproclamée « enfant de 93 », elle est aujourd’hui consultante télécoms à succès. Après cela, elle a décidé de créer une entreprise de formation politique appelée Civil Impact.
A elle maintenant de poursuivre les efforts de son prédécesseur pour relancer l’emploi des jeunes. Le chantier principal ? La mise en œuvre du SNU se poursuivra en 2024 pendant les heures de classe pour les élèves du secondaire diplômés des écoles secondaires volontaires.
Un arrêté présidentiel qui, à un moment donné, était censé s’appliquer à tous les citoyens d’une certaine tranche d’âge. Depuis l’année 2019, 60 000 bénévoles ont participé. Elle est née de parents français originaires de l’île Maurice, d’où son nom Prisca Thevenot. Prisca Thévenot, mère de deux fils âgés de 3 et 9 mois, a déclaré : “Ces hommes et ces femmes qui nous gouvernent depuis des années vivent désormais.
Cette entrepreneuse se dit “très attachée” à son éducation strasbourgeoise. « En fait, je suis à Maurice pour me marier. Et j’ai ramené mes quatre enfants au pays de leurs ancêtres maternels pour qu’ils en fassent l’expérience dès leur plus jeune âge, comme elle le révèle dans son confessionnal.
Le porte-parole médiatique du parti de la Renaissance est promu secrétaire d’État. À 38 ans, elle est désormais chargée de guider l’expansion nuancée du National Space Service.
C’est l’aboutissement d’une année législative avec une mention élogieuse. La porte-parole des députés de la Renaissance Prisca Thévenot, 38 ans, a été nommée jeudi secrétaire d’État à la jeunesse et au SNU.
En remplacement de Sarah El Hary, nommée au portefeuille de la Biodiversité, l’élue des Hauts-de-Seine s’est imposée comme un membre incontournable de la majorité au Parlement français.
Prisca Thévenot est de plus en plus connue pour sa ténacité et son envie car elle a pris l’habitude de diffuser le message du camp Macron à la télévision et à la radio. “Faire une émission matinale fait grandir. Elle confiait au Figaro en mai : “Faire un plateau à 19 heures, ça attire vraiment le public.”
Depuis sa première élection à l’Assemblée l’année précédente, Prisca Thévenot s’est fait un nom sur les questions d’égalité femmes-hommes. Elle est actuellement présidente de la commission parlementaire des affaires sociales. Mais c’est l’étui sensible du SNU qui n’arrête pas de résonner dans ses oreilles.