Petit Emile Disparu Retrouvé – Le procureur de la République de Digne affirme que les saisies ont été héliportées tard dans la nuit en hélicoptère. Une analyse menée par l’Institut d’enquêtes criminelles de la Gendarmerie nationale a prouvé que le sang n’était pas humain. Et le procureur d’ajouter que cet incident “illustre parfaitement quelle est la réalité de notre enquête”. Nous avons une grande quantité d’éléments techniques de différents types à inspecter.
Temps d’analyse
Le procureur de Digne a admis mardi soir que l’enquête n’avait révélé “rien”, ajoutant que si “une masse considérable” de données avait été collectée grâce à des entretiens, des visites de sites et des travaux techniques et scientifiques, y compris des enregistrements téléphoniques, rien n’avait été trouvé. pour expliquer la disparition d’Emile.
Le juge a annoncé “un second temps” pour l’enquête, les opérations dans le Haut-Vernet devant se terminer “en principe” mercredi : “Peut-être, sans le savoir, avons-nous pris un indice déterminant”, toujours à analyser.
En fait, les 30 bâtiments du petit hameau ont été fouillés, ainsi que 12 véhicules, les 25 habitants de la ville et 12 acres de terrain “méticuleusement ratissés”. Emile est-il tout seul maintenant ? S’agit-il d’un enlèvement ou d’un meurtre ? Reconnaissant que la probabilité de retrouver l’enfant vivant s’il s’était égaré seul était “très réduite”, Rémy Avon a insisté mardi soir sur le fait que “toutes les hypothèses restent d’actualité, aucune n’est privilégiée et aucune n’est exclue ” et que “son pronostic vital serait très engagé.”
Ce matin, les autorités du Vernet, dans les Alpes-de-Haute-Provence, mènent “une dernière opération de cliquetis” dans le but de retrouver Emile, 7 ans, porté disparu. Le procureur de la République de Digne-les-Bains, Rémy Avon, a précisé les zones spécifiques sur lesquelles cette entreprise se concentrerait, précisant : précisé qu’il s’agissait d’une “opération de sécurité”.
Jeudi, le procureur a annoncé que l’enquête ouverte pour “rechercher les causes d’une disparition mystérieuse” entrerait dans la deuxième phase d’extraction et d’analyse des données. Il a précisé : “Si d’autres ratissages sont effectués à l’avenir, ce sera pour vérifier ou corroborer les éléments recueillis au cours de l’enquête”.
Une unité d’enquête au niveau du gouvernement
L’unité d’enquête fonctionnera ensuite comme une unité d’enquête “nationale”. Un mécanisme de renforcement des ressources disponibles et de l’efficacité. S’il y avait déjà cinq enquêteurs travaillant sur cette disparition extrêmement préoccupante, ils seront bientôt vingt. La cellule “nationale” mettra également à disposition des ressources supplémentaires aux niveaux régional et national, ainsi que dans les domaines de la science et de la technologie.
L’Institut de recherche criminelle de la gendarmerie nationale (IRCGN) de Pontoise apporte une aide précieuse aux enquêteurs. Cette unité militaire de 600 hommes est envoyée “pour mener des observations complexes et des analyses d’experts”, comme l’indique le site Internet du ministère de l’Intérieur.
Ce sont eux qui ont, par exemple, fouiné dans le coffre de la voiture de Nordahl Lelandais et trouvé une tache de sang appartenant à la petite Malys, alors que Lelandais ne soupçonnait pas la disparition du bambin depuis des semaines.
Car “la masse considérable d’informations et d’éléments collectés depuis quatre jours” doit maintenant être analysée, comme l’a dit le procureur. En plus des ratissages, les 25 habitants de la ville et la famille du garçon ont été interrogés et les 30 bâtiments du petit hameau ont été fouillés. Les horloges doivent être revérifiées et tous les enregistrements téléphoniques de la zone autour du hameau au moment de la disparition d’Emile doivent être analysés.
Les médias se sont tournés vers les médias sociaux pour affirmer avoir retrouvé le tout-petit disparu, dont la disparition est signalée depuis deux ans. Ces méthodes choqueraient beaucoup de lecteurs en ligne. Depuis quelques jours, la France est secouée par divers événements. Depuis le samedi 8 juillet 2023, il a été porté disparu après qu’Émile, deux ans, ait échappé à l’œil vigilant de ses grands-parents.
Depuis lors, il y a eu de nombreuses batailles inutiles. Cette disparition inquiétante fait des vagues sur les réseaux sociaux, et tout le monde a une opinion sur ce que cela signifie. Certaines personnes qui se disent médiums affirment avoir même retrouvé l’enfant disparu.
Des internautes indignés
Dès lors, des voyants, dont certains utilisent des pendules, prétendent savoir où se trouve Émile à ce même moment. De nombreux internautes ont vivement désapprouvé ces pratiques douteuses sur Twitter. C’est la première fois que je vois quelque chose de cette ampleur, et cela semble se produire le plus souvent sur Tik Tok :
“C’est la première fois que je vois ça de manière aussi immense, notamment sur Tik Tok, mais sur une quantité dingue de médiums qui fait des lives afin de faire des spéculations sur l’endroit exact où se trouve Émile…” ; “Des faux “Médium” sur TikTok disent peut-être avoir localisé le petit Émile.
Ce médium prétend avoir localisé le petit Emile ; quelle honte de faire la lumière sur une matière aussi sombre. Il est possible de trouver le commentaire “Sérieusement le buzz n’a pas de limites” parmi les nombreuses réponses des utilisateurs.
Des données qui pourraient faire échouer l’enquête
Me Corinne Herrmann, avocate des familles de disparus, a déclaré au journal français Le Figaro : “C’est toujours comme ça : je n’ai pas vu un cas de disparition où aucun médium ne s’est manifesté.” Elle a beaucoup travaillé sur l’affaire Estelle Mouzin, ainsi que sur les disparitions de l’Yonne et de l’A6.
si on les compare à “beaucoup moins de crimes pour lesquels on a le corps”, note l’avocat, “les affaires où l’enquête patine sans aucun élément sont ‘plus simples pour eux'”.
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Corinne Herrmann est sans équivoque : « En 27 ans, je n’ai jamais eu un élément de leur côté me permettant de transmettre une affaire. Et pourtant je possède des tomes complets du truc. lectures ou interactions avec l’autre partie, car les agents doivent vérifier chaque témoignage pour dissiper le doute.
“un habitant du village” m’a confié que “l’ambiance est spéciale” à Vernet.
Depuis samedi après-midi, Émile, un jeune garçon d’environ deux ans et demi, a disparu du minuscule hameau du Vernet dans les Alpes de Haute-Provence. Ce jour-là, une réunion de famille a eu lieu chez ses grands-parents.
Depuis lors, beaucoup d’efforts ont été déployés pour tenter de retrouver Émile, mais jusqu’à présent sans succès. Mercredi, les enquêteurs ont cessé de chercher des indices sur le terrain mais ont poursuivi leur enquête. Rien n’est épargné, car toute personne présente dans le village au moment des faits est suspecte, selon le procureur de la République.
La famille du jeune Emilio “vivait un peu comme une secte”.
Nos camarades parisiens viennent d’arriver pour rencontrer les habitants de cette petite ville de 25 âmes. Chacun essaie de prouver son innocence, et le résultat est un enchevêtrement linguistique. A ne pas manquer : Le sang retrouvé sur une voiture près du Vernet ne provient pas du bambin disparu Émile, qui avait 2 ans et demi au moment de sa disparition.
Mais ce qui pique vraiment mon intérêt, c’est un témoignage différent. qui d’un couple de personnes âgées qui a passé ses vacances dans le village l’année dernière à participer à la Fête du pain et s’est ensuite fait virer du hameau. La femme affirme : “Nous étions clairement poursuivis ; nous n’avions pas le droit de nous arrêter.
Et apparemment, comme le dit un habitant, “l’ambiance est différente, tout le monde ne s’entend pas toujours”. Puisque les grands-parents d’Emile y possèdent une maison de vacances , tout le monde dans la communauté les connaît. Et certaines personnes pensaient que la famille du garçon “vivait un peu comme une secte”.
Le sang trouvé sur le tableau de bord d’une voiture appartenait à un animal, mais le petit Emile a disparu. le procureur de Digne, Rémy Avon, l’a avoué lors d’une conférence de presse mardi soir, affirmant que sans aucune « trace » ou « d’indice », l’enquête piétinait.
Même si beaucoup de temps et d’efforts ont été consacrés à tout “coude à coude”, les militaires mettent désormais davantage l’accent sur l’analyse de la “quantité massive” de données qu’ils ont collectées. Interrogé par Nice-Matin, Rémy Avon précise certaines infos de nos amis du Parisien.
En patrouillant dans la trentaine de résidences du hameau, la police locale aperçoit une voiture suspecte. Nos camarades ont écrit : ” Des prélèvements ont été effectués et transférés en urgence pour analyse ADN aux experts en génétique de la gendarmerie nationale “. L’analyse a été discutée.