Paula Hitler Petit Fils – L’analyseur de sang de Long Island, neveu d’Adolf Hitler, est décédé en 1987, mais ses fils Alexander et Louis et sa fille Brian sont toujours là. Plusieurs journalistes les ont retrouvés ces dernières années.
Emmanuel Amara, réalisateur du récent documentaire « Le serment des Hitler », en est un parfait exemple. Deux des plus jeunes petits-enfants, Louis et Brian, ont créé ensemble une entreprise de jardinage et vivent ensemble. Alexander, à 65 ans, mène une vie isolée à Long Island.
Beaucoup ont émis l’hypothèse que ces frères avaient délibérément choisi de ne pas procréer afin d’éradiquer les gènes du criminel le plus notoire de l’histoire. Cette alliance ne serait rien d’autre qu’un mythe. Il n’y a qu’une seule règle selon laquelle nous vivons. Alexandre avait prévenu Emmanuel Amara de “ne jamais parler aux journalistes”.
Cependant, la branche américaine de l’arbre généalogique hitlérien devrait disparaître d’ici quelques années. Elle ne lui parle pas du tout pendant ses années difficiles d’adulte (en tant que peintre à Vienne puis à Munich pendant la Première Guerre mondiale et au début de sa carrière politique). Paula et Adolf ne se reverront plus jusqu’à son retour à Munich.
Son frère a insisté pour qu’elle change son nom, c’est pourquoi elle est maintenant connue sous le nom de Paula Wolff (Wolf signifie « loup » en allemand et était le nom de famille donné à Hitler). Un laissez-passer annuel pour le rassemblement annuel du parti nazi à Nuremberg est fourni par cette personne.
Elle travaille comme secrétaire dans un hôpital militaire pendant la Seconde Guerre mondiale jusqu’à la fin de la guerre en mai 1945, lorsqu’elle est arrêtée par des agents des renseignements américains. Elle travaille comme secrétaire dans un hôpital militaire pendant la Seconde Guerre mondiale jusqu’à la fin de la guerre en mai 1945, lorsqu’elle est arrêtée par des agents des renseignements américains.
Paula Hitler, qui dépendait des services sociaux jusqu’à la fin de sa vie, est décédée il y a 60 ans. Elle a pu tirer un petit bénéfice du nom de son défunt frère, mais cela n’a pas suffi à compenser la douleur qu’il lui a causée. Hitler n’était pas non plus le seul enfant bizarre à grandir. Il est le plus jeune de cinq frères et sœurs et seule sa sœur Paula atteindra l’âge adulte.
Qui est ce type, d’ailleurs ? Alois Schicklgruber, à l’âge de 13 ans, abandonne ses études pour suivre une formation de chef à Vienne. Après quatre ans, il accomplit son service militaire et réussit son examen final de maroquinerie.
Deux épouses différentes, la plus âgée de 14 ans et la plus jeune de 24 ans :
En 1855, les services des douanes recrutent l’homme alors âgé de 18 ans. Après cela, il a progressivement gravi les échelons de l’entreprise pendant les 16 années suivantes. En 1873, lorsqu’il se marie pour la première fois, Alois a 36 ans tandis que son épouse, Anna Glasl-Hörer, en a déjà 50. Afin de réclamer son héritage, Alois adopte en 1876 le nom du frère de son beau-frère.
Même si les meilleurs plats sont préparés dans les anciennes marmites, il est néanmoins recommandé d’utiliser des produits onéreux. Le 17 février, le site Internet de l’hebdomadaire français “Le Point” a dévoilé un article qui avait déjà été couvert dans “Paris Match”… en 1977 (une copie du reportage original de cette année-là peut être vue en bas de ce document). article).
Qui est ce Jean-Marie Loret ? Ce “fils de pute”, né dans l’Aisne en 1918, s’est battu toute sa vie pour être reconnu comme apparenté au dictateur allemand. Sa mère lui avait raconté avoir eu une liaison avec le caporal d’Hitler en 1917.
Il ne reste qu’un obstacle avant de pouvoir affirmer avec certitude que c’est vrai, et Jean-Marie Loret n’arrive pas à le surmonter car, tant qu’il est encore en vie, aucun test ADN n’est disponible. Après son décès en 1985, son fils Philippe reprend le flambeau familial et poursuit sa route.
Ce plombier est plus discret que son papa et vit tranquillement à Saint Quentin avec sa famille (femme, enfants, gros chien et photos du salon d’Adolf Hitler). L’histoire revient de temps en temps lorsque les médias s’ennuient, mais aucune analyse ADN concluante n’a été réalisée pour prouver le lien familial. Début 2012, lorsque Philippe Loret a vu arriver chez lui les journalistes du Point, il a recommencé à y croire. Ils détiennent “Mon père est Hitler” de Jean-Marie Séguin, un livre écrit par son défunt père.
La presse anglaise est en émoi. Le “Mail on Sunday” consacre deux pages entières à une histoire encore plus convaincante qui a été reprise par les médias internationaux. Seul l’argumentaire de vente est présenté dans cet article.
Journaliste belge qui a été l’un des principaux défenseurs de la légende des “fils cachés d’Hitler” et est également l’un des rares détenteurs connus du code ADN d’Hitler (voir illustration). Ses arguments tiennent la route, mais pas assez pour empêcher le journaliste du “Mail” d’écrire l’histoire à sa manière, comme si c’était vrai. À tout le moins, vous devez avoir confiance que cela fonctionnera pendant la durée d’un « buzz ».
Loret, ravi de son récent succès, invite gracieusement les médias chez lui. Par mesure de sécurité, il évite de signer des contrats. Elle est emballée comme une boîte de Kleenex ou des échantillons de cigarettes, qui peuvent tous deux être utilisés dans une analyse. Comment oublier, en installant par exemple une épingle, que la clé de ce conte mystérieux et lent est enroulée autour d’une seule dent ?
Dans un essai publié la semaine dernière dans le très respecté hebdomadaire français “Knack”, Jean-Paul Mulders revient longuement sur le cas qu’il avait exposé pour la première fois en 2008. Le journaliste belge est plus assuré que jamais en parlant de “nouveaux éléments” et met Philippe Loret au défi de se soumettre aux tests ADNA. A-t-il omis d’inclure des index dans sa version finale ?
Le journaliste qui tendrait une serviette en papier à l’un des petits-enfants d’Hitler dans un fast-food ne commettrait pas sa première erreur en agissant ainsi. Joint par téléphone, il refuse de faire toute remarque, mais il nous laisse le temps de spéculer sur la façon dont il réagirait s’il se trouvait dans un pays où les lois sur l’ADN sont plus strictes que la France.
Où puis-je chercher l’ADN d’Hitler ? Comment utiliser.
Jean-Paul Mulders a déployé de grands efforts pour contacter sa famille élargie afin d’obtenir le code génétique d’Adolf Hitler. Où puis-je les trouver? D’abord en Autriche, où Adolf Hitler avait une grande famille élargie. En 2008, Mulders visite le village où ont grandi les grands-parents du dictateur et y retrouve deux de leurs proches.
Il les convainc de faire un test du chromosome Y qui peut être utilisé pour déterminer l’ascendance. Il se rend ensuite aux États-Unis, où l’écrivain britannique John Gardner dénonce l’existence des demi-frères et sœurs d’Adolf Hitler.
Il rassemble sur place les échantillons dont il a besoin pour réconcilier les deux Autrichiens et les deux néophytes américains. Cette conclusion ne peut être contestée ; ils partagent un ancêtre commun qui a vécu au XIXe siècle.
Bien qu’identique sur les quatre chromosomes, le code génétique de l’explorateur n’est pas le même que celui d’Hitler. Ils sont restés isolés pendant des décennies, vivant tranquillement de l’autre côté de l’Atlantique. Le père d’Adolf Hitler, Alois, avait un fils nommé Alois issu d’un précédent mariage.
En 1911, ce demi-frère d’Adolf Hitler donnera naissance à un garçon prénommé William Patrick. Après s’être enfui chez l’Oncle Sam en 1939, l’homme que le dictateur méprisait (il l’appelait « mon affreux neveu ») s’opposa publiquement au régime nazi et rejoignit la marine pour lutter contre lui.
Mais après la guerre, William-Patrick disparaît dans la nature et adopte une nouvelle identité avec l’aide du FBI. Les nazis se transforment en Stuart-Houstons. Ne parlez jamais aux médias.